vendredi 29 juin 2018

Hirondelles

Ceci  a commencé dans le cadre de la semaine du développement durable à St Quentin la Poterie : Conférence (sujet hirondelles) animée par Christian Hubert (Cogard).
La conférence portait principalement sur les hirondelles de fenêtre, chez nous leurs nids sont sous les toits, à l'extérieur, plus précisément sous les génoises.

Quelques photos issues d'Internet pour reconnaître l'hirondelle de fenêtre.

Ne pas confondre hirondelle et martinet
Le martinet mesure de 16 à 17 cm de longueur pour une envergure de 42 à 48 cm et une masse de 38 à 50 g.
Source : 
https://fr.wikipedia.org/wiki/Martinet_noir

A savoir, même si ce n'est pas une pratique fréquente : ces oiseaux sont protégés par la réglementation. Détruire ces oiseaux ou leurs nids peut entraîner de lourdes peines.

Parfois des contradictions ou faute de frappe selon les sources, même en ne retenant que : risque de 15 000 € d'amende et ou 1 an de prison donne à réfléchir.
Placer une planchette sous les nids d'hirondelles est plus respectueux des oiseaux, qui plus est, revient moins cher que détruire les nids.

Phase pratique :
Cogard a établi un protocole d'enquête sur les hirondelles de fenêtre. 
Pour avoir une idée de l'évolution du nombre d'oiseaux dans le temps, il faut 10 années d'enquêtes. 
La tendance est à la baisse, comme pour beaucoup d'oiseaux. La cause probable étant l'utilisation de plus en plus intensive de pesticides, moins d'insectes = moins d'oiseaux !
Un indice que vous avez sans doute remarqué, par le passé, il y a une ou deux décennies, après chaque sortie en soirée en automobile, un nettoyage de pare-brise était nécessaire, ce n'est plus le cas de nos jours !

Exemple de fiche pour devenir enquêteur.

Contact local (Uzège) : Christian Hubert Tél. : 06 29 59 29 70
Christian Hubert, sur le secteur qu'il suit, peut vous aider à mettre en place le protocole d'enquête. 
Il recommande de ne pas suivre un secteur trop vaste, il est préférable de voir moins grand (plus raisonnable, plus à notre portée) pour tenir dans la durée.

Ne reste plus qu'à observer pour compléter ce tableau. A priori et malheureusement beaucoup de nids sont inoccupés en ce mois de juin 2018 !
A suivre !

lundi 25 juin 2018

Mauresca en concert


La prestation de Mauresca Fracas Dub en concert à Vallabrix le 24 juin 2018, dans le cadre « Total Festum 2018 », a été remarquable.


Qui est-ce « Mauresca Fracas Dub » ? Petite visite sur Internet pour en savoir plus.

Extrait du site de Mauresca Fracas Dub : http://mauresca.fr/a-propos-2
Les artisans du dub se sont réunis pour un voyage immobile, affranchis des codes et des modes, de l’espace et du temps : en route pour un 6e opus. Une union de coopérateurs pour une aventure musicale alternative et indépendante : verbe haut et poing levé.
Ils piochent dans le terroir du dub, travaillent la puissance des subs, frappent des claviers électriques et n’hésitent pas à insuffler un peu de funk ou de trap dans unraggamufin à l’occitane. Mélangeurs de générations, agitateurs de langues, passeurs de cultures populaires : leur langue d’oc parle au monde entier et fait bouger les lignes.
Après presque 20 ans d’existence (since 1999), ils sont là : forts de leur histoire, bien ancrés, ici, mais déjà ailleurs. Toujours fidèles au poste, honnêtes, ils ne trichent pas et posent leur son inclassable. Les valises pleines de rimes, de machines et de porte-voix : ils débarquent avec des remèdes à la morosité ambiante, parce que, avec eux, en toutes circonstances : « la musica es une medecina » !
Suivez-les, la route file, vers Big Sur paraît-il, la lointaine Californie ? À moins que ce ne soit une libre et sauvage Occitanie, hors frontières administratives et autres réductions de l’esprit…

Extraits de Presse
« Ils nous accueillent à Montpellier, sur un reggae entraînant, et nous ouvrent les portes d’une culture active qui fait le lien entre l’Europe et le bassin méditerranéen » ARTE. Metropolis.
« À Montpellier, la musique est xénophile et on la boit jusqu’à la lie, pourvu qu’elle soit bonne… Profitant d’une escale, ils viennent à nous, pour chanter le sud, les voyages, les va-et-vient, les délices de la Méditerranée mais aussi les errances et les maux sourds… Chanter ça sert aussi à ça… » FRANCE CULTURE. Continent Musiques d’été.
« Chez eux, le rap se décline en occitan et le reggae devient proche de la Méditerranée ! Groupe militant et engagé, le combo n’est jamais à court de punchlines, pour pointer du doigt les dérives du système. Armés de slogans qui prônent la diversité et le multiculturalisme, Mauresca ne fait pas dans la demi-mesure et n’a pas de censure. Chez Mauresca, on plaide pour la coopérative plutôt que l’individualisme ! Chez Mauresca on pourfend l’intolérance, on scande à coup de scratch et on trinque à la culture ! » IDEM.
« Alternant français et occitan, le groupe nous fait entrer dans la danse quel que soit le style. Hiphop, musiques traditionnelles, ragga, rock et reggae s’amusent ainsi à se croiser au service de paroles lucides et humanistes. Mélangeant les esprits festifs et révoltés de façon fédératrice et pacifique, Mauresca réveille autant les jambes que les consciences ! » FRANCOFANS
« Laissez-vous emporter par la vague Mauresca. Une louche de vitalité, une cuillère de folie et une pincée de sensibilité, c’est Mauresca, groupe montpelliérain de reggae/hiphop qui chante en oc et en français le soleil, les luttes et la solidarité. » La Gazette de Montpellier.

Depuis 1999.
Plus de 700 concerts, de salles en festivals et lieux militants. De la Grande Scène du rendez-vous altermondialiste du Larzac en 2003 au printemps de Bourges, du Zenith de Montpellier et Toulon au Médiator de Perpignan, à Victoire 2 ou au Rockstore à Montpellier en passant par le Trabendo, La Boule Noire ou le Batofar à Paris, Le Metronum à Toulouse, L’Estivada de Rodez, la Festa Major de Sants à Barcelone ou Palma de Majorque, Le Ned à Montreux, des festivals en Italie, en Corse, en Espagne, en République Tchèque… Les lieux sont nombreux où Mauresca a laissé sa trace, forgeant son style dans l’énergie du live, en France et dans toute l’Europe.


Concert du 24 juin à Vallabrix :

Merveilleux moment.
« Chez eux, le rap se décline en occitan et le reggae devient proche de la Méditerranée ! »
« La musique est une médecine. »
De très belles paroles avec de la profondeur qui nous (les anciens) réconcilient avec le rap.

Bémol : L’emplacement (en forme de couloir) du concert à Vallabrix était un peu juste chemin de la Fontaine.
La disposition scène / bar / places ombragées pour le public n’était pas idéale de ce fait.
Aussi présence d’un public important moyennement (à priori) intéressé par la musique pour la dance et l’ambiance, par les paroles porteuses de messages, ce qui est dommage au regard de la qualité de la prestation Mauresca.

Titres au programme du concert :



dimanche 24 juin 2018

Expression Libre

Parue dans le Républicain d'Uzès le 21 juin 2018.



Comme en toutes choses, probablement une part de vérité dans cette publication. N'ayant pas connaissance du détail de tous les épisodes, il serait prétentieux de porter une appréciation générale.
Je ne connais pas le mode de fonctionnement de tous les élus d'opposition signataires de ce texte, mais je connais trop bien le mode de fonctionnement de mon élu local.
Avec tout le respect dû à cet élu, si je puis me permettre : il voit la paille dans l’œil du président de la CCPU, mais ne voit pas la bûche qu'il a dans le sien !
Nombre d'articles de ce blog permettent de se faire une idée dont :

A chacun de se faire une opinion.

vendredi 22 juin 2018

CAUE 30-EIE

CAUE 30 (Conseil de l'Architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement du Gard).
EIE (Espace Info Energie).



Que nous soyons particuliers, professionnels ou élus, le CAUE peut aider à une réflexion neutre où il n'y a pas d'intérêts  commerciaux en arrière plan, voire en réunion d'études notamment et avant d'entendre des commerciaux.
Ceci peut permettre de recadrer les discours, de ne pas se laisser embarquer vers ce qu'on ne demande pas.







Et enfin un dépliant plus général du CAUE.






Au passage, pour la restauration de la Place de l'Horloge, peut-être aurait-il été possible d'éviter des erreurs, dont circulation rendue difficile aux personnes à mobilité réduite ou vulnérabilité des plantations lors d’événements populaires.
En effet, sans imager d'ententes illégales avec un fournisseur ou autres malversations, au niveau d'une réunion d'étude du projet "Place de l'Horloge", on suppose que des idées sont émises et retenues car paraissent de bon sens, plaisent aux présents, rentrent dans le "Savoir-faire" du commercial de l'entreprise qui réalisera les travaux.

Problème, ce "savoir-faire" était-il suffisant dans ce cas ? 
Mon point de vue est non au regard des obstacles créés involontairement à la circulation des personnes à mobilité réduite, ou des aménagements qui sont apportés après la première saison d’événements estivaux pour tenter de protéger les plantations.
Ici pour les élus, les compétences en urbanisme (dont réglementations en vigueur) du CAUE pouvaient être utiles à la réflexion lors des réunions d'étude du projet.

GPN (Groupe Protection Nature), par ses plantations et aménagements de barrières, tente un embellissement plus adapté aux événements populaires. 




vendredi 15 juin 2018

Pistes

Pistes est une association loi 1901 (Patrimoine Innovation Savoir Faire Territoire EnvironnementS).
https://www.architectes.org/actualites/3-formations-propaille-uzes-association-pistes
Autre lien : http://pistes2015.blogspot.fr/

Le 24 mars 2018 au jardin médiéval d'Uzès ont été organisées 2 visites d'une heure du chantier  école "Rénovation du pavillon d'accueil".
Lien vers In Situ (en haut et à droite de l'affiche) :
http://www.uzes-culture.fr/association/in-situ--jardin-médiéval





Initialement, les visites étaient prévues le 10 mars, reportées à cause du temps pluvieux. Ici, l'isolation thermique du bâtiment est réalisée à l'aide de bottes de paille, or, pour réaliser une isolation de qualité et durable, il est impératif que la paille ne soit pas soumise aux intempéries lors des phases stockage et construction. 
Lorsque la construction est terminée la paille est protégée des intempéries ou projections d'eau par les enduits.

Tant que la paille n'est protégée par un enduit, l'ensemble du pavillon est bâché, les visites du public ne présentent peu d'intérêts.

Ce report de deux semaines a engendré une coïncidence de date, un second événement important avait lieu à Sanilhac, l'inauguration du photovoltaïque sur le toit de l'école.

Le photovoltaïque m'intéresse, en conséquence je n'ai pas assisté à la totalité des explications de la présidente de Pistes.

Pistes est une association innovante (*) à faire connaître, donc un peu de promotion via mes "Copier-coller" ci-dessous. 

(*) Ce chantier école a retenu l'attention d'un chef d'entreprise local bien connu dans le domaine de restauration de bâtiments historiques. Ce chef d'entreprise y est venu suivre un stage de formation sur ces techniques de construction à redécouvrir.

La visite était organisée par l'EIE (Espace Info Energie) du CAUE 30 (Conseil de l'Architecture, d'Urbanisme et de l'Environnement du Gard).
Quelques informations sur "CAUE 30 et EIE" la semaine prochaine.

Pistes était présent au salon de l'habitat 2018 à Uzès


Exemple de construction en paille parmi bien d'autres



http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/05/19/dans-les-vosges-un-hlm-de-huit-etages-en-paille_4421393_3244.html
(Précisément St Dié des Vosges)
Ces techniques de construction n'ont rien d’utopique, elles sont anciennes parfois oubliées.


Merci à Pistes de nous le rappeler.

dimanche 10 juin 2018

Conseils municipaux (3)


En attendant la réorganisation du secrétariat de mairie, l'affichage ou publication des compte-rendus des délibérations du Conseil municipal, ce blog sert de support pour votre information.

Convocation au Conseil du 23 mai 2018
Extrait du registre des délibérations


Point 6) : Suite au recours de l'employé révoqué, le Conseil de discipline du centre de gestion de Haute Garonne a été moins sévère que celui du Gard. La révocation devient une exclusion temporaire de 18 mois.

Personnellement, je n'ai pas tous les éléments pour apprécier concrètement cette affaire.
Mais "fort" de mon expérience, chargé d'affaire avant la retraite, quelques connaissances des pratiques locales de gestion du personnel municipal, il est possible de nuancer le bien fondé de la révocation prononcée par le Conseil de discipline du centre de gestion du Gard.
Rien n'est noir, rien n'est blanc en général, notamment localement.

En tant que chargé d'affaire, en même temps délégué du personnel, j'ai été amené à défendre des salariés face aux dirigeants de l'entreprise. 
Parfois, il faut faire face aux contradictions que le directeur technique n'a pas manqué de me rappeler : "Si j'avais mis ce salarié dans votre équipe à la place d'un tel, vous me l'auriez reproché ! "
Le directeur technique avait raison du point de vue efficacité pour  mon affaire en cours. Je me suis permis de rappeler mes 2 casquettes, une en tant que délégué du personnel, une autre en tant que chargé d'affaire. 
Quand j'interviens en tant que délégué, mon devoir est de défendre le salarié mis en cause.
Quand j'ai la casquette chargé d'affaire, à moi de faire avec les moyens dont je dispose, dont les salariés placés sur mon affaire par lui-mêle (le directeur technique), tant que le niveau est représentatif du potentiel de l'entreprise fait de très bons éléments et d'autres un peu moins bons. Il y a toujours des tâches plus ou moins complexes, à moi de savoir les répartir en fonction des compétences de chacun.

Une commune, c'est une entreprise, le maire en est le directeur élu pour 6 ans. C'est de sa responsabilité de suivre son personnel en temps réel, seul, il ne peut pas tout contrôler, donc savoir déléguer aux autres élus qui devraient jouer le rôle de chargé d'affaire(s).
Certains problèmes peuvent se résoudre par des formations adaptées du personnel à condition de savoir faire l'état des lieux sans à priori.

Avant d'envisager une révocation, ce travail de suivi, d'anticipation, etc., a-t-il été fait ?

Ce n'est pas faute de tirer la sonnette de temps à autres.
Par exemple :



Pour ce second exemple, dès 2011, je signalais que l'utilisation du logiciel de facturation "Eau & Assainissement" pouvait être optimisée. 
Ressaisir chaque semestre les usagers, auparavant les reclasser par ordre alphabétique (voire ressaisir (?) les index du semestre précédent) me semble user le soleil
Cette ressaisie semestrielle inhibe la comparaison des consommations d'eau automatique d'un semestre à l'autre. 
Pour un même usager, son N° discriminant change à chaque facture, à quoi sert l'informatique dans ce mode d'utilisation ?
1er semestre, le N° discriminant commence à 001 ou 002 pour le 1er par ordre alphabétique, au second semestre le 1er N° peut commencer à 270.
Personnellement mon nom commençant par un "V", je suis en fin d'ordre alphabétique, chaque semestre mon N° qui pourrait être discriminant change : 223 ; 461 ; 229 ; 476 ; etc.
De mon point de vue, le N° du compteur (ordre chronologique de raccordement au réseau) devrait être le N° discriminant =064 dans mon cas.

Je ne suis pas informaticien, mais il me semblait que les logiciels, surtout professionnels,  étaient conçus pour faciliter la tâche du personnel, dont le classement alphabétique ou autres tris suivant besoins.
Si ceux qui dirigent ce salarié ne s'aperçoivent pas de cette mauvaise façon de travailler en temps réel, il est certain que 10 ans plus tard, on ne peut constater que des dégâts, au mieux que de mauvaises  habitudes prises, travail inutile, que de temps perdu. ...
Ceux qui avaient en charge l'employé "révoqué" ou autre sanction (exclusion temporaire) ne sont pas blancs comme neige de mon point de vue !

Pour mémoire.
Rappel de ma proposition de présentation de facture d'eau.


vendredi 8 juin 2018

Citre / Sanilhac

Ici, rappel "de promotion" pour Citre et la municipalité de Sanilhac, un véritable exploit en partant quasi de zéro en juillet 2015, notamment du point de vue administration de la coopérative.
Lien vers Citre : http://www.citre-asso.org/
Sur le site ci-dessus, vous trouverez des informations, dont la présence de 2 associations sous le nom de Citre : Citre l'association et Citre la coopérative, chacune ayant un rôle spécifique.
De gauche à droite : Philippe Pourchet président Citre la coopérative, Bérengère Noguier conseillère départementale, Manon,  Guy Crespy maire de Sanilhac et Agnès Langevin 3ème vice présidente de Région. 



Citre était présent au salon de l'habitat 2018 à Uzès.

dimanche 3 juin 2018

Conseils municipaux (2)

Suite article du 27 mai 2018

Publication CR-CM du 29 avril 2018. (Convocation pour mémoire.)


Le point "3)" de ce CR-CM fait référence à une délibération du CM de Belvezet, lien :

Extrait concerné, point 11) :
La remarque du point "c." avait été traité "jadis" par le "COMITUS" = Comité d'usagers (en gros) du Sictomu. A la quasi unanimité, la TEOM (Taxe Enlèvement Ordures Ménagères) était contestée. Le principe "REOM" (Redevance Enlèvement Ordures Ménagères) est plus équitable.
Il nous avait été rapporté que la REOM au poids était sujet à contestation.

En tant que mécanicien, compte tenu des contraintes pour garantir une pesée fiable, (horizontalité et absence de vibrations), je pense logique cette remarque me parait justifiée, imaginer fiabiliser un système de pesée embarqué sur un camion qui vibre et peu souvent sur un terrain horizontal tient d'une vue de l'esprit qui n'existe pas dans la vraie vie.

Une REOM à la levée serait plus fiable, voire simplement au nombre de personnes au foyer.
Les opposants à la REOM mettent en avant le côté social de la TEOM ?
La REOM peut être rendue sociale en incluant une part fixe par foyer de base + une part en fonction du nombre de personnes. La part fixe atténue le coût pour les familles nombreuses.

Autres remarques :
Dans ce même PV, on remarquera que Belvezet s'oriente vers un projet de nouvelle mairie qui sera conforme à la réglementation.
On remarquera également que ces PV de CM sont plus développé que localement. ...


vendredi 1 juin 2018

Nettoyons la garrigue

Embellissement de la place réalisé
par GPN (Groupe Protection Nature)
Chaque année au printemps, une tradition s'est installé : "Nettoyons la Garrigue". Cette année 11 communes (*) se sont inscrites sur 32 communes de la CCPU (Communauté de Communes du Pays de l'Uzège). CCPU = environ 29 000 habitants.

(*) Dans l'article du Républicain du 31 mai 2018, on notera la participation de 14 communes. (Soit 3 en plus qu'inscrites le 6 mars 2018.)
Le Sictomu (Syndicat intercommunal traitement des ordures ménagères) fournit les sacs et les gants. Les déchèteries réceptionnent les déchets triés de "Nettoyons la Garrigue".
Il suffit de quelques volontaires disposant de 2 ou 3 heures de temps et un moyen de transport des déchets pour participer.

Il est exact, localement, cette opération "Nettoyons la Garrigue" n'a pas un énorme succès. Il en va un peu de même pour l'ensemble de la CCPU, un "gros" tiers des communes participent.
Localement, la faible participation en 2017 à "Nettoyons la Garrigue" était précisément 4 personnes, au regard de l'ensemble de la CCPU, ce n'était pas nul !
Espérer que "ça ira mieux" l'année prochaine, après une année d'absence, ne parait pas très encourageant dans la démarche.
En présence d'un Club Nature et de GPN (Groupe Protection Nature) et de VITAE (Vallabrix Initiatives Traditions Accueil Environnement), logiquement un potentiel de bénévoles devrait exister ?

Le "Nettoyons la Garrigue" n'étant pas d'actualité localement cette année, je me suis porté volontaire sur la commune d'à côté.
Pour info, des participants souhaitaient l’anonymat.
Dans ce village, l'opération "Nettoyons la Garrigue" était organisée par l'association "St Quentin Environnement".
Les services communaux ont mis à disposition un container. (*)

Du point de vue participation, une douzaine de volontaires (
dont 3 venant d'autres communes) sur 2 900 habitants de la commune, c'est peu, seulement 0,4% env. de la population, mais l'opération "Nettoyons la Garrigue" a eu lieu.
Localement en 2017 nous étions 4 volontaires, ce qui représentait 1% de la population, ce n'était pas ridicule, sauf que ce sont toujours les mêmes volontaires, il n'y a pas de renouvellement.

Même si cette opération peut paraître symbolique pour certains, il est utile de la maintenir avec pour objectif de faire mieux l'année prochaine.

(*) Pour la petite histoire, au fond du parking du lavoir de St Quentin, des colonnes de tri sont installées. En fin de séance "Nettoyons la Garrigue", un dépôt sauvage aux pieds des colonnes se produisait, l'employé municipal a été informé et intervenu, il a remis le "dépôt sauvage" dans le coffre de la voiture d'où il sortait. 
Pour mémoire, le samedi, la nouvelle déchèterie de Vallabrix est ouverte, elle se situe à 5 mn de ce parking. Que dire, que faire !


Le Républicain d'Uzès du 31 mai 2018 a publié une page sur le sujet "Nettoyons la Garrigue". Ci-dessous en cinq images, "copier-coller" de la page.
"Fin du "Copier-coller"

 Autre exemple que nous pourrions baptiser "Nettoyons nos quartiers".
Initiative d'un ancien copain du 20ème siècle, de "Corvalan" de mon ex quartier Sauveteurs / Cervelières de Vaux-en-Velin  (durant 30 ans) et Yoyo France :



122 sacs
16 trieuses et trieurs