vendredi 31 juillet 2020

Bouyer ou Brugas ?

Le lotissement à venir est baptisé "Brugas", mais se situera bien sur le lieu-dit Bouyer, parcelle en dessous de l'ex cave coopérative de Vallabrix, entre le chemin de la Cave et la route d'Uzès.


Photo issue de l'article cité
Pour mémoire, article précédent :
https://vallabrixbm.blogspot.com/2018/09/bouyer.html


Depuis le projet a bien évolué, les deux petits immeubles prévus ont disparu, immeubles  à Vallabrix devaient sans doute choquer bien qu'il y ait des avantages du point de vue optimisation de l'espace occupé et absence de travaux de jardinier autour d'une maison pour ceux qui n'ont pas le temps ou les moyens physiques.

Des logements en immeuble pouvaient intéresser certaines couches de population.

Source : documentation disponible sur le site municipal, lien :
https://www.vallabrix.com/sujet/category/la-mairie/urbanisme


Sans lien direct avec le lotissement, par opportunité :
(TH) La Taxe d'Habitation ! ?
D'un point de vue égoïste, on ne peut que se réjouir de la suppression de la TH, à terme, probablement moins de revenus pour la commune.
Une part de la TH était une contribution directe de l'occupant (propriétaire ou locataire) à la gestion de la commune ce qui donne un sens à l'impôt;pour le vivre ensemble, via les élus municipaux.
Ci-dessous un "Copier-coller" d'un article de Médiapart à ce sujet





vendredi 24 juillet 2020

Philo

Source de cet article paru sur Internet le 5 juillet 2020 :
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/le-populisme-contre-la-science-un-nouveau-clivage-politique/ar-BB16lJYA?ocid=spartan-ntp-feeds

A méditer !
Le populisme contre la science : un nouveau clivage politique ? Camille Ferey © Copyright 2020, L'Obs

Rarement la science a suscité autant d’espoirs avides et de controverses musclées que ces derniers mois. C’est que la chose est d’importance : de ses avancées dépend la neutralisation d’une maladie qui a cloîtré chez elle la moitié de l’humanité, de ses conseils et prévisions dépendent désormais notre droit à nous déplacer, nous réunir, nous embrasser. Pourtant, nombreux sont les commentateurs qui brandissent la menace d’une « défiance » venant saper l’autorité de la science, voire de la Vérité, dans nos démocraties. Or, la grille de lecture qui tend à s’imposer consiste à assimiler ce phénomène (bien réel) de mise en doute, à un autre phénomène, politique lui : le populisme. Le clivage politique contemporain est alors réduit à une opposition binaire entre raison et populisme, qui finit par disqualifier toute critique des institutions scientifiques et politiques.

Défiance envers la science et déviance populiste : une assimilation problématique
C’est un discours largement diffusé, avec ses sondages, ses études statistiques, ses indices, et ses relais médiatiques : les démocraties contemporaines seraient malades de l’adhésion irrationnelle d’un nombre croissant de citoyens à un ensemble de fake-news, contre-vérités et théories complotistes (les vaccins sont mauvais pour la santé, la théorie de l’évolution est un mensonge, le réchauffement climatique n’aura pas lieu). Sans que ne soit jamais analysé s’il s’agit là d’un désaveu des théories, des protocoles, des scientifiques, des institutions de recherche, des applications techniques de la science ou de ses usages politiques. Un flou dans la description du phénomène qui permet de ramener systématiquement cette défiance à un phénomène unique : le populisme, désigné pêle-mêle comme cause et effet du règne de l’erreur et du mensonge.
Le dernier sondage du CEVIPOF sur les rapports science-société, établit ainsi une corrélation entre, d’un côté un « indice » de défiance calculé à partir de questions comme : « Avez-vous l’impression que la science apporte à l’homme plus de bien que de mal, autant de bien que de mal, plus de mal que de bien ? » ; et de l’autre côté, un « indice de populisme », fondé lui sur les questions suivantes : « Les hommes politiques sont-ils plutôt corrompus ? Un bon système politique est-il celui où les citoyens et non un gouvernement, décident ce qui leur semble le meilleur pour le pays ? La démocratie fonctionnerait-elle mieux si les députés étaient des citoyens tirés au sort ? » Une définition pour le moins étonnante du « populisme », qui ressemble plutôt à la définition de la démocratie, ou du bon sens.
Par un heureux hasard, ces deux catégories, défiance et populisme, définies par ceux qui les dénoncent, fusionnent. Ce sont bien les mêmes sondés qui pensent que le tirage au sort peut être un bon outil démocratique et qui pensent que la science n’a pas forcément apporté plus de bien que de mal à l’humanité. Conclusion ? Les populistes seraient donc bien défiants envers la science et inversement, les deux postures se disqualifient l’une l’autre, et le tour est joué.
Quelle vision du monde sert cette assimilation entre les « populistes » et les « défiants » ? Cette grille de lecture permet d’abord à ses auteurs d’expliquer le succès grandissant de leaders populistes par une déviance cognitive des individus. Ainsi, ce ne serait pas des processus économiques, sociaux et politiques (le creusement des inégalités, la ghettoïsation des sociétés, la paupérisation, la professionnalisation de la politique par exemple) qui seraient la cause des élections de Donald Trump ou de Jair Bolsonaro, mais des « dispositions mentales » et des « erreurs de jugements » de leurs électeurs. Du fait de sa mise en lien avec une « défiance » scientifique, le populisme est ainsi essentiellement expliqué, dans cette grille de lecture, par une analyse des comportements individuels empruntée à la théorie des « biais cognitifs ».

Que nous apprend cette théorie, largement médiatisée ? Principalement que les phénomènes politiques qui ne vont pas dans le sens de l’ultra-centre libéral sont avant tout le résultat de comportements irrationnels. Le « populisme précautionniste » consisterait par exemple à surestimer et à agir en fonction de ce qui est craint (l’immigration, le chômage…), un comportement irrationnel donc, qui pousserait vers les « extrêmes ». Le problème étant que le passage se fait très rapidement, dans une telle analyse, de la dénonciation de peurs illégitimes à celle de toute forme de critique de l’idéologie dominante, puisqu’aucun critère n’est proposé pour distinguer la défiance et la peur de la critique et de l’indignation.
Dès lors, un populisme « de gauche » dénonçant une science à la botte des intérêts financiers et un populisme « de droite » dénonçant une science ruineuse pour une tradition fantasmée seraient ainsi strictement équivalents puisque la répartition sur l’échiquier politique se ferait en fonction de la « défiance », peu importe ses causes, ses raisons, sa définition. Ces discours mettent ainsi sur le même plan des groupes politiques pourtant divers, sous prétexte que les sondages montreraient qu’ils ont en commun d’adhérer plus que les autres à une critique de la science : gilets jaunes, Donald Trump, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon, climato-sceptiques, anti-vaccins… tout cela constituerait finalement une mouvance unique, celle de l’obscurantisme contre la vérité. Le vieil adage thatcherien de l’ultralibéralisme autoritaire n’est jamais loin : il n’y aurait donc pas d’alternative.

Analyser les causes légitimes de critique de la science
Si la dimension idéologique de ce clivage entre rationalisme et populisme apparaît clairement, reste qu’il pointe à l’origine un phénomène bien réel. Il existe bien un ensemble de contre-vérités (mensonges ou erreurs) aux effets délétères pour l’humanité : climato-scepticisme, négationnisme, anti-darwinisme et complotismes en tout genre. Mais le besoin se fait précisément pressant d’en analyser les causes réelles, plutôt que de les renvoyer au dysfonctionnement cérébral de masses imbéciles : on ne peut pas défendre la démocratie en étant antidémocrate.
Au rang de ces causes se trouve d’abord une cause politique : le processus de scientifisation du politique dans des démocraties largement technicisées. L’organisation du capitalisme libéral subordonne en effet largement les décisions collectives à des modélisations économiques mathématisées régulièrement présentées par une cohorte « d’experts » proches du pouvoir comme des vérités éternelles. Or, présenter des choix politiques comme des choix scientifiques, une rhétorique largement utilisée pendant la gestion du Covid (la doctrine, disait Edouard Philippe, n’est pas politique, elle est scientifique), expose la science au scepticisme dès lors que ces choix s’avèrent avoir des conséquences négatives. Comment croire, par exemple, à l’irréfutabilité des lois économiques après la crise de 2008 ? Exclure toute réflexion critique, immédiatement taxée de populisme défiant et irrationnel, d’une vision techno-scientifique de la politique et soustraire au débat public un ensemble de thématiques, sous prétexte de leur scientificité, participe donc directement à la mise en cause de la science.
Une autre cause, d’ordre sociologique, peut venir expliquer l’absence de confiance envers la science. Comme s’appliquent à le montrer toute l’histoire et la sociologie des sciences : aucune science n’est neutre au sens où elle serait la production d’un observateur sans qualité et sans détermination. La science est produite par les scientifiques, et si les scientifiques appartiennent tous à la même classe sociale ou au même groupe, ce qu’elle produira en sera nécessairement influencé. Ainsi, le fait que pendant des siècles les scientifiques aient été des hommes, peut expliquer le retard abyssal des recherches sur l’appareil génital féminin, ou encore sur certaines maladies, comme l’endométriose, qui ne touchent que les femmes.
Si aujourd’hui les femmes gagnent peu à peu (et difficilement tant l’institution scientifique peine à s’ouvrir et se renouveler) du terrain, il n’en est pas de même pour les classes populaires, du fait de la longueur et de la précarité du chemin menant à une carrière de chercheur (inversement proportionnelles aux montants et à la quantité dérisoires des bourses proposées). Or, tant que la science sera faite par les classes les plus aisées, elle sera forcément dans une certaine mesure faite pour les plus aisés. L’objectivité et la neutralité sont filles de pluralisme et d’égalité. Sans quoi, comme l’écrivait déjà le philosophe John Dewey en 1927 : « Une classe d’experts est inévitablement tellement coupée des intérêts communs qu’elle en devient une classe avec des intérêts privés et une connaissance privée, ce qui dans les affaires sociales, ne représente aucune connaissance du tout. »

Enfin, l’organisation économique de l’institution scientifique participe grandement à la méfiance, légitime, envers ses productions. Le mode de production de la connaissance n’échappe ainsi nullement aux logiques de rentabilité et d’accumulation du profit propres à notre système économique en général. Le financement de plus en plus privé de la recherche scientifique soustrait ainsi à la délibération démocratique les choix d’investissement et les priorités de recherche, alors même que la science prend une place croissante dans nos vies, détermine comment nous vivons, mourons, mangeons, nous reproduisons, nous déplaçons.
D’un autre côté, l’argent public continue tout de même de financer massivement la recherche, notamment sous la forme de cadeaux fiscaux, mais avec un manque total de transparence. Une situation qui facilite l’accaparement par le secteur privé des profits générés par les découvertes. Exemple : la chaîne du médicament, privatisée à petit feu par des décennies de gouvernements libéraux, comme le montrent Pauline Londeix et Jérôme Martin, co-fondateurs de l’observatoire de la transparence dans les politiques du médicament. Le système de recherche, le développement, la production et la distribution des produits de santé, biens communs largement financés par l’argent public, est ainsi littéralement accaparé par le privé grâce au système des brevets. En outre, le secteur privé supprime des postes de recherche qui sont pourtant, encore une fois, largement financés par le public, et continuent de verser des milliards de dividendes à ses actionnaires tout en refusant de relocaliser la production de médicaments pour des raisons de « coût ». Comment exiger la confiance dans un fonctionnement si peu démocratique ?

Ne pas restaurer la confiance dans la science, mais rendre la science digne de confiance
Ces constats, loin de mener au scepticisme, doivent nous conduire à transformer la « défiance » en critique. Dans une démocratie, toute institution doit faire reposer son autorité sur sa légitimité et non l’imposer par principe. La science n’échappe pas à la règle. Or pour être légitime, elle doit pouvoir faire l’objet d’une critique, c’est là un des principes fondamentaux de la légitimité démocratique. C’est donc par une critique démocratique efficace de la science, et non par l’imposition autoritaire de ses certitudes, que l’on peut espérer venir à bout des contre-vérités.
Une telle critique doit d’abord consister à décider collectivement quel est le périmètre d’autorité de la science : sur quelles questions elle s’exerce et sur quelles questions ce sont d’autres régimes de vérité et de valeur, tout aussi importants pour les hommes, qui doivent faire loi. La crise du Covid l’a montré : les conseils et prévisions strictement scientifiques ne sont qu’un seul des paramètres, à côté de dimensions économiques, sociales, culturelles, religieuses même, de tout événement collectif. C’est donc à la communauté démocratique de décider quelle est la juste place de la science dans l’organisation de la vie collective.

Pour cela, les orientations de la recherche doivent être planifiées de manière transparente et soumises à la délibération démocratique. Une telle organisation doit permettre de réintroduire démocratiquement la question des valeurs auxquelles la science doit être strictement subordonnée, afin de servir l’émancipation et le bonheur collectif et non les intérêts de quelques-uns. De plus, toutes les productions scientifiques doivent être considérées comme des biens communs strictement inaccaparables. Les scientifiques doivent quant à eux être totalement indépendants de toutes relations avec des intérêts industriels ou politiques, notamment grâce à une protection statutaire et financière renforcée.
Enfin, chaque domaine d’application de la science à la vie doit pouvoir faire l’objet de contre-expertises. Si l’on veut donner du pouvoir à la science, il faut lui donner des contre-pouvoirs. Pour cela, toutes les études sur lesquelles s’appuient les décisions politiques doivent être rendues publiques. Le rôle déterminant des contre-expertises demandées ou réalisées par les citoyens dans de nombreux conflits politiques et sociaux, de l’affaire Adama aux luttes écologiques en passant par la lutte contre l’épidémie de SIDA, a montré à quel point la critique de la science était un outil démocratique majeur. Ce mouvement de science citoyenne a aussi montré combien était erronée l’image d’un public ignorant voué à être guidé par les Lumières. Cela nous invite enfin à un changement de regard afin de rappeler toujours, contre les visions anti-démocratiques de la Science reine, que le savoir n’est pas une vertu mais un droit.

Une juste critique politique de la science est ainsi une critique de ses institutions : leur financement, leur transparence, leur accessibilité, leurs représentants et leur impact. Or, rendre compte de notre présent par le prisme d’une opposition entre des forces rationnelles et irrationnelles constitue une disqualification profonde de la notion de critique, pourtant essentielle à la démocratie. Car la science n’est pas qu’une affaire de vrai et de faux, elle est aussi, n’en déplaise aux ultra-nationalistes, une question de valeur, comme le rappelait avec ses mots déchirants Albert Camus aux lendemains d’Hiroshima. Il fallait être bien idéalistes, nous disait-il, ou bien impénitents, pour croire qu’il est des sciences qui flottent légères au-dessus de la violence et des folies du monde.
Camille Ferey, bio express
Doctorante en philosophie, Camille Ferey enseigne à l’Université de Paris-Nanterre où elle réalise une thèse sur les théories philosophiques de la démocratie participative et les mouvements sociaux démocratiques.

vendredi 17 juillet 2020

Pour mémoire

Image Médiapart de la vidéo "A l'Air Libre du 15/7/20
Image Médiapart de la vidéo "A l'Air Libre du 15/7/20

Médiapart revient sur l'affaire "Infiltration" du journal Fakir à des fins privées.
Ou la mobilisation de certains services de l'Etat français au profit d'une multinationale spécialisée dans le luxe.

Lien pour voir et écouter :
https://www.mediapart.fr/journal/france/150720/l-air-libre-le-squale-operations-secretes

Ou :
https://www.youtube.com/watch?v=XP5O7D1K3YE










vendredi 10 juillet 2020

Idèologies


Ci-dessous, un message d’un nouvel adjoint au maire (TE) ayant la délégation « Eau & Assainissement » en réponse à mes propositions d’amélioration de la distribution de l’eau potable.
 
Source Internet, idéologies "anciennes"
Il y en a de nouvelles qui seraient à ajouter.
Avertissement : avant de replacer ce message dans son contexte technique, ici, la technique ne sera plus le fonds du sujet, seulement un support, la forme ou le ton du message sera mis en évidence.
TE, semble fonctionner par idéalisme, la couleur politique importe peu.
Quel que soit le bord politique on trouvera des adeptes d’une cause avec des aprioris, des certitudes « vraies et définitives » sans connaitre vraiment le sujet qu’ils abordent.

De ce fait, souvent par ignorance, si ce n’est pas par obscurantisme, tout peut être remis en cause, par exemple, avec la Covid-19, des pétitions ont été lancées par des influenceurs pour autoriser la chloroquine.
A décharge, à l’époque des pétitions, les chercheurs ignoraient et ignorent encore beaucoup de cette vacherie, virus Sars CoV-2.
A charge, aller plus vite que la recherche, c’est risque qui peut être lourd de conséquence pour les malades de la Covid-19. Laissons aux soignants le soin de faire au mieux en toute sérénité.
En l’absence de remède spécifique Covid-19, c’est aux soignants de prescrire un médicament X ou Y selon son expérience et non au citoyen lambda de donner un avis par pétition ou référendum.

Dans le domaine de la physique appliquée, (dont adduction d’eau potable), il y a des lois physiques énoncées depuis des siècles, voire des millénaires qui nous permettent de trouver des solutions à nos problèmes.
Il peut suffire d’un influenceur avec écoute médiatique ou via les réseaux sociaux pour faire basculer du progressisme vers l’obscurantisme en entraînant ceux qui ne savent pas, voire ceux qui doutent. Dans un autre domaine d’actualité, les climato-sceptiques influents font feu de tout bois pour faire barrage aux connaissances acquises sur le changement climatique.

A la fin de cet article, extrait du livre "CORRIDA POPULAIRE ... et POLITIQUE" ! ?

Revenons à notre sujet « amélioration distribution eau potable ».
Au départ un graphique établi suite à des relevés de pressions et de débits instantanés au pied du réservoir d’eau potable.


Ensuite une demande de devis à notre intervenant sur les installations eau potable.

Bonjour Monsieur D.,

Compte rendu de notre entretien téléphonique du 23 juin 2020.
Présence de Monsieur W.

Points abordés (+ devis à établir pour décisions des élus.)

1)    Oui pour tester consigne 1,1 bar ayant pour objectif d’atténuer la vague de pression, Intervenant C. L.
2)    Oui pour un enregistreur chez N et O G. Famille G informée.
Une semaine avec surpression et 1 ou 2 jours sans surpression.
Photos coffret compteur + possibilité d’alimentation électrique à une trentaine de mètres.
Voir lors de l’installation enregistreur si une mini purge d’air en amont du compteur serait possible ? 
(Légende remarque sur la photo.) Ajouté à ce CR nota (a)
(Légende remarque sur la photo.) Ajouté à ce CR nota (a)
3)    Lors de l’intervention A sur la surpression, C. L va former G. B pour lire l’afficheur de la surpression et interpréter les défauts.
Éventuellement et si possible supprimer l’accès « Utilisateur initié » permettant de changer la consigne pression.
Seul A « Travaux » ou autre exploitant averti et désigné par les élus (Sivom C par exemple ?) aura accès.
4)    Ajout condition fonctionnement surpression en option.
Inhiber la surpression en dessous d’un certain niveau de conso (dont en milieu de nuit) serait envisageable. Les compteurs d’eau du réservoir sont équipés de capteur d’index.
Niveau mini débit départ surpression réglable (que je situerai vers 9/10 m3/heure).
Ceci revient à ajouter un module électronique (probablement ou pas ?) pour exploiter le débit instantané en temps réel, par exemple via les compteurs d’eau équipés de capteur d’index ?

Nota (a) : Suite à la prise de photos de l’abri compteur.
L’adduction d’eau du chemin du Réservoir a été rénovée en 2007/2008. Pour les raccordements des usagers, l’entreprise faisait une boucle sur le tuyau au droit de l’emplacement du compteur. Boucle coupée au sommet pour poser le compteur avec 2 coudes à angle droit. (= perte de charge sur un point haut du village où la pression naturelle est déjà faible.)
Un montage conventionnel du compteur en ligne sur le tuyau serait préférable.

Il n’y a pas eu de purge d’air installée sur cette antenne.
Les inconvénients de cette absence de purge m’ont été rappelés par la famille G.

Pour être précis sur la chronologie, le message ci-dessous a été rédigé avant connaissance du compte rendu téléphonique. TE et ses collègues avaient été informés de mes constats liés au graphique la semaine précédente et de mon intention d’en discuter avec notre intervenant « A » pour conseils.

Message TE d’origine du 24 juin envoyé aussi à d’autres élus.
Paragraphes ajoutés afin de faciliter la lecture.
En vert ajouts liminaires MV interrompus au paragraphe b) par manque d’imagination de ma part. …
En orange, sous-entendus mis en évidence pour les paragraphes numérotés.
En orange italique, mon commentaire.
Ce qui reste en noir est technique, au lecteur d’approfondir s’il le souhaite.

J’essaye d'apprendre tous les jours en m'appuyant sur mon expérience. Et celle d’autrui ?

a)    Mais j'avoue que les dernières infos confirment mes connaissances. ! ?
Mon prof de maths (années 60), nous disait en début de 4ème, ce que je vous apprends cette année sera faux l’année prochaine. Ça peut paraître gros, mais c’est la réalité, plus on avance dans la connaissance, plus on s’aperçoit qu’on ne savait pas tout, voire peu de choses quel que soit le domaine.

b)    M : j'attends beaucoup de votre analyse à ce sujet.
Tutoiement possible même si ce n’est pas naturel de ma part _Région d’origine + Déformation professionnelle pour distanciation avec les clients et fournisseurs afin de ne pas se laisser enfumer lors des repas d’affaire...)

1)    Certes un ballon surpresseur peut améliorer l'adduction en eau des résidences assez proches.
2)    Et surtout permet un contrôle de la mise en route du pompage selon les données qu'on lui donne et ses propres capacités. Cela évite en même temps une surconsommation électrique et à plus ou loin terme l'usure des pompes.

3)    D'après mes connaissances et mes dernières études, modifier la pression du ballon ne résout pas forcement le problème de pression des habitations en bout de ligne et en hauteur.

4)    Pour mieux imager mon propos, je préfère partager mon propre vécu.

5)    J'habite 55 le Planet, dans une maison de village qui m’est louée par ma propriétaire qui habite derrière. Nous avons l'a même arrivée d'eau. Ma maison est au niveau du Planet, celle de ma propriétaire est un niveau au-dessus puisqu’elle sur la route de Bagnols. Nous avons donc la même adduction.
De septembre à juin pas de soucis, j'ai une alimentation et une pression d'eau normale. Mais en été, à deux sur le même réseau et avec une différence de niveau, mon alimentation est diminuée, avec une pression divisée par trois. Après vérification, son alimentation est normale avec une pression divisée par deux. J’ai fait les tests en hiver et en été. Lorsque nous tirons de l'eau tous les deux en été... La fontaine se tarit.

Mes conclusions : Ce n'est pas un petit ballon surpresseur qui va changer la donne, ni le passer de 0.6 bar à 1.1 bar. Surtout en été. Avis définitif sans avoir compris le graphique d’origine.

6)    Les installations de notre réseau vont souffrir d'autant plus.
Sans vérifications scientifiques, mais juste avec des observations. Bigre !

7)    Plus la nappe phréatique est haute, plus l'alimentation en eau est bonne et moins le système souffre. Les habitations sur les terrains les plus haut et en fin de circuit ne sont pas forcément les moins alimentés en eau.
Le niveau de la nappe n’intervient pas dans notre cas, schémas après ce message, différence entre installation domestique et collective.

8)    Effet bouchon ou effet fin de ligne : Le retour d'eau non consommé sur une fin de ligne vient amplifier la pression.
TE a dû prendre des douches en débranchant des tuyaux d’arrosage ?
Confusion entre poches d’air le long d’un réseau d’eau potable et air emprisonné au bout d’un tuyau d’arrosage.


9)    Variante : Il est évident que l'alimentation naturelle de la nappe phréatique joue sur le fonctionnement du réseau. La hauteur des habitations joue sur l'alimentation en eau même en dehors de "l'effet bouchon". Le nombre d'habitation sur un même réseau modifie la distribution et donc la pression. La multiplication de la population touristique l'été sur la commune augmente le besoin.
Pas très scientifique pour le coup, plutôt du verbiage. …

10)  Solutions : Aucunes. Sympa pour les usagers moins bien desservis qui sont ses électeurs ! ?

11)  D'abord échangeons et partageons sur les causes. Merci M. pour toutes ces données, mais nous devons partager encore.
Sous-entendu, discutons, partageons, encore et encore. …
Le tout sans se documenter sur les installations telles qu’elles sont, dont TE à la charge en tant qu’adjoint (indemnisé).
S’il reste dans cet état d’esprit, n’apprend pas, inutile de compter sur cet élu.

Cordialement

TE

12)  PS : Pour l’été laissons passer les urgences. Inscription et partage des données personnelles pour la commission eau- assainissement - travaux, réunion de présentation le jeudi 3 septembre au foyer à 19h, commission le lundi 7 septembre 20h.
Est-ce une naïveté ou un sous-entendu me concernant ?
Naïveté s’il pense que tous les élus partent en vacances en été quoi qu’il arrive.
Le maire reconduit et l’adjoint prédécesseur faisant l’intérim vont sans doute apprécier ?
Ou,
« Urgence » à interpréter « ma pseudo urgence », (donc sans fondement) à laisser oublier d’ici septembre.
Faire la roue en public ou faire des réunions en venant les mains dans les poches doit-être plus gratifiant électoralement que de traiter les problèmes d’adduction d’eau.

Ne voyant plus venir de remarques de la part de TE, relance sur le thème : « Échangeons Partageons ».
TE s’aperçoit que les mots ont « dépassé » sa pensée, qu’il était nécessaire de mieux connaître les installations d’adduction d’eau potable du village avant de faire des suppositions.

Un peu de technique pour savoir de quoi on parle.

Installation domestiques
Le niveau de la nappe phréatique intervient sur le rendement pompage.
Le contacteur mise en route pompe (4) se situe sur le ballon
Principe d'un ballon ou réservoir à vessie
Version utilisable pour l'irrigation d'un jardin.

Principe adduction eau d'un village.
Le niveau de la nappe phréatique n'intervient que pour la partie captage.
Ensuite, c'est l'altitude de la réserve d'eau (château ou réservoir) qui intervient pour la pression (statique ou dynamique) disponible pour l'usager.
Il peut être nécessaire d'installer une surpression pour obtenir une pression de confort, des purges d'air aux points hauts de l'adduction d'eau pour vider les poches d'air qui peuvent freiner le passage de l'eau, voire bloquer totalement le passage.
Evolution au réservoir d'eau potable.
Etat d'origine depuis 1972
Etat surpression d'origine
Purges d'air oubliées, remise en eau du réseau très laborieuse.
Etat actuel après quelques corrections ou modifications.

CORRIDA POPULAIRE ... et POLITIQUE ! ?
Pour la référence de ce livre
Pour la petite histoire, Henri Gaillard (Communiste militant) était le prédécesseur, en tant que secrétaire de la section locale, de notre maire qui assure actuellement cette fonction de secrétaire.

Les temps ont changé, que reste-t-il du communisme militant (mise en avant d'un mode d'action, à partir d'analyse de l'état des lieux, dans l'intérêt du plus grand nombre) de nos jours ?
Le terme plus approprié qui conviendrait : "Militant politicien", pour décrire le mode de fonctionnement actuel de la plupart des politiciens en place. La notion d'analyse de l'état des lieux semble avoir disparue. 


Tout est dit dans les phrases soulignées en rouge
Beaucoup de politiciens fonctionnent à partir d'éléments de langage savamment élaborés par des experts en communication afin d'orienter les électeurs vers un objectif où l'intérêt du plus grand nombre n'est plus la motivation.

Le mode de fonctionnement décrit ci-dessus, ne serait-ce pas une modernisation du stalinisme appliquée de tout bord, "On formule une théorie et on oblige les faits à s'y plier." ?

Si on refait l'historique de la Covid-19, l'affaire des masques a été un bon exemple avec les éléments de "Com." pour expliquer l'inutilité, complètement à l'opposé de ce qui était enseigné aux soignants. 
Pour la chloroquine, après le battage médiatique et quelques mois de recul, nous en saurons peut-être plus ?




vendredi 3 juillet 2020

Actualité (Suite)

Source Internet










Pour prendre date :


Analyse des réponses du Président de la République à la Convention Citoyenne pour le Climat.


En lien avec l'article précédent :
https://vallabrixbm.blogspot.com/2020/06/actualite.html
















Article de Médiapart du 30 juin 2020 ci-dessous.