samedi 18 novembre 2017

Gazette N°67

Ici, une lecture "entrelacée" de la Gazette N°67 de quelques articles en lien avec des publications qui peuvent être relues sur ce blog.
Cette Gazette N°67 est publiée sur le site parrainé par la Municipalité, lien ci-dessous : 
Page de couverture
Je me limite sur les sujets que je pense connaître un peu :

  1. Place de l'Horloge et Abrix-Bar
  2. Ancien captage et gaspillage de la ressource en eau (de dépannage).
Le but de cet article n'est pas de donner des leçons, ce ne sont que des constats qui devraient donner à réfléchir et non qualifié de "Critiquer pour critiquer" par refus de voir la réalité telle qu'elle est.
Si on tient compte de la réalité, il est possible d'apporter de meilleures réponses, humblement, en sachant que ça ne sera pas parfait pour autant, mais on aura fait au mieux avec les moyens financiers engagés. Pour le même prix, si ce n'est parfois moins cher, nous aurions un meilleur rapport qualité/prix à minima.

Place de l'horloge et Abrix-Bar.
Extrait d'un article du Groupe Protection Nature (GPN), suivi d'extraits d'un article concernant l'Abrix-Bar. Aucune intention de sortir des extraits du contexte. Le lien vers la Gazette N°67 est disponible en haut de page, les articles complets sont donc à disposition du lecteur.

Cet artifice d'extrait d'articles permet de mieux suivre l'idée développée.

Ce serait un sujet de problème "calcul de probabilités" à pauser au célèbre mathématicien médiatique maintenant élu député, je ne fais que poser le problème, mon niveau en maths suffisait en mécanique, mais insuffisant pour déterminer un pourcentage de probabilité de ce qui suit : 
  1. Imaginez une foule de 200 ou 500 personnes, parmi cette foule, probablement des dizaines de familles vont transiter Place de l'Horloge dont la petite surface se mesure en are(s ?) et non en hectare(s) soit 100 fois plus, un hectare serait bien utile ici au regard du succès de l'Abrix-Bar.
  2. Gazette N°67
  3. Imaginez quelques familles de deux adultes avec enfants, adultes légèrement grisés, certaines cases du cerveaux peuvent commander des actes involontaires, si en plus les enfants sont à l'abade, donc en "liberté". En liberté, les enfants jouent, c'est de leur âge, c'est un signe de vitalité, de joie de vivre, un passage de la vie indispensable pour avoir des têtes bien faites.
Problème, la liberté a des limites, elle s'arrête là où commencent celles des autres, dont le respect dû aux plantations de GPN, (codé GP10-17 dans certains de mes articles pour plus de respect de l'anonymat, ne pas viser une personne précise par principe).

Ajout du 2 août 2018, encore mieux pour le BIM : (800 participants)


Ainsi le problème est posé aux mathématiciens pour obtenir une réponse sur le pourcentage de probabilités que "le manque de respect involontaire" se reproduise à la prochaine saison de l'Abrix-Bar malgré les aménagements apportés.
GP10-17 a amélioré bénévolement (*) l'aménagement de la Place de l'Horloge suite au "manque de respect involontaire" par des chemins dallés, je crois savoir, ces chemins seront balisés par des plantations plus dissuasives, donc plus respectables naturellement.
Peut-être un architecte urbaniste, avec les données des points 1. et 2. aurait proposé un autre aménagement moins vulnérable au "manque de respect involontaire" tout en limitant trop de voitures en stationnement "laid", et tout en favorisant une circulation plus aisée des piétons à mobilité réduite.

(*) Bénévolat ? Au passage, certains bénévolats bien visibles de tous, sont mieux traiter que des bénévolats pourtant tout aussi d'intérêt général en visant l'économie des deniers publics, mais non visibles, car sous terre pour l'eau ou car dans un clocher devenu pigeonnier que personne ne voit
Donc pas de profits immédiats à tirer d'où ces galères avec pour seule explication : "Toujours dans la polémique" pour botter d'office en touche et visant à faire ignorer l'utilité. Que d'énergie nécessaire pour monter qu'une autre interprétation positive serait envisageable.
L'espoir n'est possible qu'avec ténacité, trouver un moyen pour convaincre, faire réagir, (1) , à partir  d'une extrême minorité de ceux qui restent à l'écoute
(1) Genre dépôts de courriers + enregistrements en mairie, parfois qualifiés "Mel"  incendiaires sans plus de précisions, pour avoir enfin une réaction, mais par "LR/AR" du 3/11/17 façon "involontairement quelque peu diffamatoire".
De ce point de vue, la mise en place récente des permanences des élus va dans le bon sens. 
Je pense avoir inauguré ces permanences le 17 novembre 2017. Enfin j'ai été entendu dans la sérénité, l'espoir est donc revenu possible. A suivre !

Encore un détour de quelques lignes avant de rappeler mon point de vue sur GP10-17.
Un rappel concernant le sens des mots qui perdent leur sens initial. Le sens des mots est déformé par l'abus généralisé de "Com." pour faire avaler une pilule, l'exemple vient de très haut, il vient d'être découvert que "Réforme" est quelque chose qui déplaît aux français, désormais le mot "Transformation" sera utilisé, en pratique l'objectif initial ne change pas.

Nuance entre "Sécurité" et "Secours", pas simple de rester serein s'il y a confusion sur le sens des mots. Les secours sont curatifs lorsque les règles préventives de sécurité n'ont pas été pensées en amont
Un investissement préventif de sécurité limite la nécessité impérieuse du curatif dont le coût peut ne pas être estimable si la prévention (Sécurité) n'a pas été traitée. 
Donc, ce serait en cas de chute dans l'escalier du clocher : "Responsabilité" avec faute de l'administration, et faute partagée par le bénévole, ou l'employé municipal même assuré par la municipalité. Si la sécurité est pensée : port d'un casque + harnais équipé de 2 mousquetons adaptés à la corde faisant office de rampe d'escalier, l'accident sera normalement pas létal, mais seulement limité à une chute banale avec bleus, entorse ou membre cassé, le lot d'une vie active normale.

Précaution utile pour ne pas me faire dire ce que je dis pas : Je respecte et reconnais le travail bénévole GPN.
En conséquence, il ne faut pas conclure que GPN est inutile, mon but est de faire sentir le sens d'origine des mots parfois dévoyé pour une meilleure Com. ou parce que ça "sonne mieux".
Ce qui importe de connaître est le véritable objectif qui peut-être tout aussi noble avec des mots sens originel sans double langage possible.
Donc :
N'y aurait-il pas confusion entre "Nature"  et "Embellissement" chez GP10-17 ?
Auparavant en 2008 "Ecologie" ou "Environnement" que s'attribuaient des participants d'un "GPE" dirigé par une élue, GPE baptisé commission ... ? à l'époque qui réellement était de l'embellissement qui a aussi son utilité s'il ne vient pas au détriment de l'écologie.
Pour mémoire un ancien président de la République avait utilisé l'expression : "les ayatollahs de l'écologie", qui a une audience dans des têtes dont celle d'un président américain.

La "Nature" c'est aussi économiser la ressource en eau. 
Embellissement est l'objectif concret visible qui résulteront des plantations Place de l'Horloge, les premières plantations "piétinées involontairement" ont nécessité arrosage, donc besoins en eau, de plus aggravé par la sécheresse sévère de cet été.
Si les plantes d'embellissement ne sont pas adaptées au terrain, au climat, c'est contre "Nature".
Ceci "contre nature", pourrait être un reproche si nous entrons dans des périodes de sécheresse dures et fréquentes.
Ce n'est que mon avis sincères sans arrières pensées, à chacun son opinion, je le rappelle.

Ancien captage et gaspillage de la ressource en eau
Pour une bonne gestion de l'eau, il me semble indispensable de tout prendre en compte afin d'apporter la bonne réponse. Si on ne tient pas compte de tous les éléments, il est probable que la réponse apportée ici dans "Gestion des prises d'eau" n'apporte rien, de plus privera la majorité des petits consommateurs sans empêcher les abus constatés.
Pour mémoire, lien vers le Compte Rendu de réunion où "Envisagé une horloge" provient.
https://vallabrixbm.blogspot.fr/2017/10/commission-eau-assainissement-compte.html
Je suis arrivé en retard à cette réunion, le sujet "envisagé" une horloge était traité.
Limité à une heure le matin et à une heure le soir n’empêchera des abus cités, seulement limiter le nombre d'occasionnels qui ne font pas partie nécessairement de ceux qui abusent.
Ceux qui possèdent des sulfateuses de grandes capacités devenues silencieuses de par l'usage détourné qui en était fait auront toujours la possibilité de faire le plein à la station de remplissage, il leur suffit d'être contribuable "Taxe Foncière non bâti" sur Vallabrix.

Autre réflexion non avenue si on veut vraiment s'en prendre au gaspillage et freiner les abus :
"On ne change pas une pompe de 12 m3/h qui fonctionne" selon les autorités, point de vue que je ne partage pas à cause du gaspillage engendré.
Avant que la pompe d'origine ne gèle, tous s'accommodaient de 3 m3/h liés à la capacité de la ressource.
Quelques indications simples devraient être suffisantes à qui veut bien entendre :

  1. Supposons une demie heure pour laver une machine à vendanger :
    Pompe 12 m3/h = 6 m3 d'eau nécessaire.
    Pompe 3 m3/h = 1, 5 m3 d'eau nécessaire.
    Economie 4,5 m3, soit pour 4 à 10 consommateurs occasionnels.
  2. Supposons être en présence d'un pompe de 3 m3/h comme à l'origine.
    Pour remplir une cuve de 3000 litres il faut une heure, ça peut être dissuasif.
    Sachant que cette catégorie de consommateurs dispose généralement de la station de remplissage à titre également gratuit, ne seraient éventuellement pénalisés que par le temps de trajet suivant où se trouvent les plantations à arroser.
  3. Qui a validé le surdimensionnement de cette pompe 12 m3/h au lieu de 3 m3/h ?
    Ce n'est pas la commission eau, elle n'est que très, très rarement consultée avant commande.
  4. Subsiste pour les utilisateurs occasionnels, non autorisés à l'eau gratuite de la station de remplissage, la possibilité de tirer un m3 à son domicile, durée 40 minutes, prix du m3 pour 120 m3/an est seulement de 4,23 € assainissement compris.
Si on me le demandait, j'ai une solution simple sans indiquer précisément comment, assujettir le fonctionnement de la pompe à un temps de présence correspondant à une quantité possible, par exemple 20 minutes, mais avec une pompe de 3 m3/h qui permet un volume d'un m3 déjà conséquent pour une majorité d'utilisateurs professionnels ou occasionnels.
Une sirène ou bruiteur dissuasif  au bout de 20 mn écoulées peut aider à se satisfaire d'un m3.
Il faut que les utilisateurs sachent pourquoi ça "klaxon". (Via arrêté du maire par exemple.)
Ainsi celui qui lave sa machine à vendanger va s'organiser pour moins gaspiller, voire bien laver, mais sans excès de consommation d'eau.
Si quand on veut on peut changer une pompe qui fonctionne d'autant plus que celui qui l'a installé n'est pas blanc comme neige, c'est une porte de négociation d'un prix plus serré.

Celui qui veut plus qu'un m3 repassera plus tard, le temps que d'autres bénéficient d'un peu d'eau.
Je pense qu'un tel agencement ne serait pas ruineux, mais ne serait pas de compétence Alliance Environnement, plutôt de compétence "sécurité" comme pour la sécurité d'accès mairie.
Il n'y a pas lieu d'installer une pendule à 13 coups si le problème est bien posé par écrit après prise d'infos de faisabilité limitées au besoin spécifique. Un écrit façon cahier des charges même seulement en quelques lignes est une garantie devenue indispensable pour un meilleur rapport qualité/prix.

- - - - - - - - - - - - - - - 

Pour clore cet article vers plus d'optimisme, quelques distinctions qui contribuent à une bonne image de Vallabrix :


vendredi 17 novembre 2017

Photovoltaïque et Garrigue

Reprise d'articles concernant l'implantation de parcs photovoltaïques dans la garrigue.
Le dernier parc inauguré localement est celui de La Capelle Masmolène, une longue histoire qui a débutée en 2008 à la même époque que celle de Belvezet.
La réglementation "photovoltaïque" est très fluctuante, jusqu'en 2008, le photovoltaïque pouvait être utilisé à des fins spéculatives. Afin de pallier à ces dérives spéculatives, les autorités de l'Etat ont eu recours au "moratoire". Belvezet et la Capelle Masmolène ont subi ce moratoire. Belvezet s'en est sorti en 2014 dans de meilleures conditions qu'à La Capelle Masmolène en 2017. 
Exemples de parc où on pourrait parler de compromis opérateur/municipalité. (Extraits d'articles.)
Lorsque la promesse de bail est signée entre la municipalité et l'opérateur, l'opérateur mieux armé juridiquement a "blindé" la promesse de bail, la municipalité peut ne plus pouvoir revenir en arrière.
Tous les opérateurs visent la rentabilité financière, pour certains c'est l'objectif principal, pour d'autres, on pourrait parler de compromis entre leur intérêt financier durant le contrat (20 à 25 ans) et les intérêts municipaux en fin de contrat.

En fin d'article : https://vallabrixbm.blogspot.fr/2017/04/photovoltaique-vallabrix-positions.html, j'aborde cet aspect compromis "opérateur / municipalité", selon le but municipale, l'opérateur s'adapte et devient un commercial "redoutable" où il ne fait que garantir la rentabilité de l'affaire pour son seul intérêt.
Extrait d'échanges sur Facebook :
Ex député : "B***c’est un des enjeux du Parc Naturel Régional de définir un schéma territorial de production d’énergie renouvelable. Les élus du PNR choisiront les lieux adaptés en concertation".

Ma réponse : "Oui ! Il faut s'adapter aux contraintes diverses (environnementales ou visuelles) pour créer des énergies renouvelables. Objectif sortir des solutions polluantes à court terme (CO2) ou long terme (nucléaire). Si le seul objectif est le montant du "droit d'entrée" (parcs photovoltaïques), ça ne va pas dans le sens intérêt général pour les générations futures. D'autant plus que les opérateurs parcs photovoltaïques en profitent pour verrouiller dans leur seul intérêt la possibilité aux municipalités d'aviser la suite au terme du contrat (20/25 ans). Dont envisager une autoconsommation locale, rendue moins efficace, voire inenvisageable, en ayant opté sur des parcs surdimensionnés, pour seul intérêt immédiat "Droit d'entrée". "

Ci-dessous un dossier du Républicain du 19 octobre 2017.
Le dossier en page 9 du Républicain aborde d'autres aspect du photovoltaïque, ci dessous, les "Panneaux à domicile".
Les pièges à éviter sont nombreux, peuvent aussi provenir d'appels téléphoniques de commerciaux "redoutables". De l'époque où le photovoltaïque était un moyen spéculatif de réaliser des profits. Des entreprises peu scrupuleuses ont dû utiliser cet aspect "profit" commercialement. Des particuliers bien informés aussi.
Ce qui serait intéressant serait un bilan des bonnes affaires et des mauvaises comme celles citées dans cette partie du dossier du Républicain.
Personnellement, bien qu'ayant consulté plusieurs entreprises, en 2008 c'était encore un peu nouveau en version "intégrée" (= noyée dans la toiture) en toiture par rapport aux problèmes d'étanchéité de toiture. 
On dira que les tarifs  avantageux du kWh produit en 2008 et subvention en Languedoc Roussillon compensaient les risques étanchéité, ce qui atténue l'aspect spéculatif.
En 2008, un dossier photovoltaïque nécessitait de la ténacité. 


Ci-dessous, fin du dossier photovoltaïque du Républicain, une autre approche citoyenne du photovoltaïque à faire connaître : http://www.citre-asso.org/2016/12/23/souscription-a-cooperative-ouverte/
Citre est citée dans cet fin de dossier. J'aurais souhaité d'autres exemples d'installation en cours de Citre dont Sanilhac, je n'ai pas trouvé les plans de ce projet sur Internet.
Par contre, le 25 octobre 2017, une visite du chantier à l'école de Sanilhac était organisé par Citre. Photo du chantier ci-dessous, et un lampadaire (sur deux) photovoltaïque à proximité de l'école.


Fin dossier du Républicain
Le 26 octobre 2017, inauguration des tranches 4 & 5 du parc photovoltaïque de Belvezet. Dispositif "tracker" (suivi du soleil) qui permet aux panneaux de s'orienter à partir d'un axe Est / Ouest face au soleil. Nouvelle mécanique fiabilisée, gain de production 15% par rapport aux panneaux fixe. 


Nouvelles du 26 octobre 2017 qui m'ont conduit à corriger ma conclusion en fin d'article :

Lors d'une discussion avec le président d'Altergie, même opérateur à Vallabrix, j'ai eu des explications sur le moratoire de 3 ans subi pour le projet de parc photovoltaïque de Vallabrix.
Il a été considéré que la proportion de forêt impactée dans ce projet de parc était trop importante. Bien que de mauvaise qualité, cette forêt est dans une zone classée boisée.
Le président d'Altergie ne désespère pas pour trouver une solution afin de se sortir de ce moratoire.


Ci-dessous 2 pages du dossier Midi-Libre
Le 





vendredi 10 novembre 2017

Souvenirs (2) Chaud dedans, chaud

Dans Souvenirs (1) du 3 novembre 2017 est abordée la complexité contractuelle à laquelle il faut ajouter la durée administrative normale avant le contrôle "réglementaire" de la comptabilité une fois par an.
La comptabilité d'un immeuble est généralement assuré par des professionnels, "Syndic d'immeuble". Ce professionnel est contrôlé par le Conseil de gérance de l'immeuble, le client. La réglementation prévoit une assemblée générale par an, comme pour une association "1901". Avant chaque assemblée générale, quand le Conseil de gérance fonctionne normalement, il y a contrôle de la comptabilité du Syndic. Si le Conseil se limite à faire défiler les factures pendant une paire d'heures dans les locaux du Syndic, ce n'est qu'une formalité qui consiste à constater que l'informatique n'a pas fait d'erreur d'addition, peut de chance de soulever des lièvres. Notre Conseil de gérance, comme quelques rares autres immeubles, se faisait apporter la comptabilité au domicile du Président du Conseil et disposait d'un mois pour contrôler cette comptabilité. 

Mon épouse était chargée de préparer ce travail de contrôle. Très vite, constat de la complexité, si ce n'est pas une certaine nébulosité (*) des factures liées au chauffage et ECS (Eau Chaude Sanitaire). Peut-être 10 à 12 contrats à étudier pour comprendre la facturation. De plus, comment vérifier 10 mois plus tard une facture de chauffage ou d'ECS sans avoir les éléments de base, index d'une douzaine de compteurs, calcul au prorata. ... 
(*) Nébulosité d'apparence à cause de l'utilisation de coefficients "surprenants" parfois tant qu'il ne sont pas compris. Coefficient lié à la puissance souscrite (contrat initial), à la puissance utile (ou réelle utilisée), à la puissance journalière (liée à la performance sur une période). Après avoir clarifiée la nébulosité apparente lorsqu'on a compris la méthode de facturation, on s'aperçoit que chaque poste de facturation est justifié, pas de salade entre les énergies entrantes part électricité, parts combustibles séparées charbon, fioul, gaz avec les cours du marché, etc..

Notre sous station de chauffage au pied de notre immeuble (Le 1er construit) desservait 2 autres immeubles construits plus tard. Par exemple pour l'ECS, l'eau froide à réchauffer est de l'eau potable avec compteur du fournisseur d'eau = facture officielle pour la consommation de 3 immeubles. Chaque immeuble avait son préparateur ECS avec un compteur qui servait au chauffagiste pour la facture de chauffage de l'eau. Les 3 compteurs préparation ECS étaient utilisés pour le calcul au prorata afin de répartir le volume d'eau froide sur les 3 immeubles. Un compteur d'eau a une marge d'erreur admise (+ ou - 5% env.), la somme des 3 compteurs divisionnaires ne correspond généralement pas au compteur général, d'où calcul au prorata.
Pour le chauffage, même principe de prorata, un compteur général et 3 compteurs divisionnaires.
D'où, 1ère mesure, relevé hebdomadaire de tous les compteurs nécessaires à la facturation, demande d'une copie dès impression des factures, contrôle dès réception de la facture si conforme à nos calculs.
A la construction de la sous station, il n'y avait qu'un compteur thermique général avec répartition au % en fonction des "tantièmes" des logements. Notre immeuble avait une contribution de 32% env. des MWh comptabilisés par le compteur thermique. 
En me garant sur le parking chaque jours pour le repas de midi, j'ai constaté que les fenêtres étaient ouvertes même par temps de gel, et ceci bien plus sur un immeuble "logements de fonction".
D'où seconde mesure : 
Séparation de notre immeuble des 2 autres, investissement pour la pose d'un compteur thermique propre à notre immeuble, désembouage du circuit de chauffage, équilibrage du chauffage. 
Facture lourde, mais gain de 30% sur le coût d'une saison de chauffe. Par ricochet, la performance du chauffage de chaque immeuble intervient dans d'autres contrats dont la contribution de notre immeuble aux emprunts en cours. 
Il y a prescription, négociation un peu ardue, au niveau hiérarchique au-dessus du Chef de la centrale chauffage locale, qui a abouti, le fournisseur de chaleur nous a demandé de ne pas ébruité notre succès. Le chargé d'affaires de notre syndic n'en revenait pas : "Comment avez-vous fait ?". 
Mon immeuble est devenu membre de DACOR avec une cotisation de soutien de 1500 Frs.

Ne pas ébruité : Les immeubles qui faisaient confiance à DACOR étaient une exception qui confirme la consigne du fournisseur de chaleur.
Dans l'article qui suit, l'immeuble associé  à la même sous station ne nous a pas suivi  "en même temps" malgré nos conseils. D'où quelques grincements de dents dans l'article. 
Les 2 autres immeubles associés à notre sous station, quelques années plus tard, ont investi dans un compteur thermique.


Sur cette photo, une personne nous a quitté avant 2005. Le temps passe !
Ce qui est possible dans une ville de 40 000 habitants, n'est pas possible dans un village de 400 habitants ? Dans les 2 cas, chauffage urbain propriété communale en affermage ou régie d'eau communale, ce sont les deniers publics qui sont engagés.

A Vaulx-en-Velin, le maire ne m'a pas insulté, au contraire, procéder ainsi, c'est rendre service à l'immeuble, aux clients chauffage urbain  et aux élus. S'il y a des contrôles, le fermier est plus respectueux du contrat d'affermage passé avec la municipalité.

Dans une localité de 400 habitants, dans l'état des choses, ce n'est pas pensable. Voir l'énergie nécessaire, dans mes articles sur l'eau, pour peu de résultats concernant la régie d'eau. C'est comme s'il s'agissait d'affaires privées, la notion du "Bien Commun" reste à comprendre. Le "Bien Commun" étant mis en avant par la "France Insoumise", dont se présente BP10-17 en tant que sympathisant, au moins avant les présidentielles 2017.

Un exemple : Nous étions en partie dans l'ignorance du sujet chauffage au début, nous avons convié à une des réunions de travail de DACOR, le chargé d'affaire du bureau d'études maître d'oeuvre du chauffage urbain pour le compte de la ville. Le siège de ce bureau d'études se situait en région parisienne, ce bureau d'études a missionné un chargé d'affaires en dehors des heures de travail normales, la réunion débutait à 18 h.

Cette réunion nous a permis d'aborder quelques points techniques et les grands rouages de fonctionnement d'un chauffage urbain propriété de la ville et affermé à un fermier.
Comme quoi, la rigueur d'analyse est utile dans l'intérêt général.
Sans nuire aux relations Clients /Fournisseurs.
L'exploitation est assurée par le fermier, certes, mais le Conseil municipal contrôle et délibère à peu près sur tout. (Contrats, tarifs, investissements, voire maintenance lourde.) 

Imaginer que quelques Vallabrixois convient le chargé d'affaires d'un des intervenants sur des chantiers municipaux afin de parler "malfaçons" face à face ?

DACOR avait cette capacité grâce à la reconnaissance du but de l'association dans l'intérêt général. Reconnaissance des résidents, ainsi que des élus.

Pour la petite histoire, le Chef de la centrale locale, accompagné de son adjoint nous (Président du Conseil de gérance et moi-même) a invité à un repas "d'affaire", et nous a remis un cadeau à chacun, un thermomètre électronique de qualité.
Le Chef de centrale nous a précisé : "En cas de réclamation, je saurais que vous disposez d'un thermomètre fiable".

Souvenirs (1) 1988 Vaulx-en-Velin

Dans les années 1980 à 2000, nous étions un "quarteron" de copains hyperactifs, chacun avec des avantages selon certains et des inconvénients selon d'autres.
L'un fin stratège et créateur d'associations, un autre branché Politique et Syndical, d'autres pour leurs connaissances des habitants du quartier, des problèmes des gens, des problèmes "techniques et contractuels" de quartier, etc.
Ceci en plus des 39 heures alimentaires de vie professionnelle, presque impensable au XXIème siècle !
Une belle école pour militants qui se parlent, s'écoutent, écoutent autrui avec une réelle empathie. Le résultat permet une synergie redoutable.
Au 1er degré et par ignorance de la réalité, avec de "fins analystes" années 2010, nous aurions été classés frondeurs dans le meilleur des cas ou utopistes , voire "critiqueur pour critiquer" ou "emmerdeur de service". Les termes réactionnaires ne manquent pas. ...
Parmi les exploits de notre Fin Stratège, la création de "DACOR" ou DACoR (Défense des Accédants Copropriétaires et Résidents) en 1987.  
Au départ, DACOR a mis en place une organisation de renégociation de prêts immobiliers. Jusqu'en 1883 avec une inflation à "2 chiffres", le taux (parfois progressifs) des prêts est devenu insoutenable suite à la "pause" mise en place par la gauche. Quelques années plus tard, à partir 1985, apparaît le surendettement, y compris chez les Accédants Copropriétaires.
Après une période de mise en route, quelques bâtons dans les roues, dont un notaire menacé d'être rayé de l'Ordre des Notaires, s'il persistait à aider DACOR. ... Tous les obstacles placés sur la route de DACOR ont été levés, des centaines des prêts ont été renégociés en dessous de 9 % constant.
Pour les candidats à la renégociation, également un parcours du combattant. Mais comme on dit : "Aide-toi, le ciel t'aidera". 
En prenant garde à ne pas s'enfler les chevilles, DACOR a un peu joué le rôle du ciel !
Quand on aime, on ne compte plus le temps passer à recevoir et conseiller, une soirée par semaine débutant à 20 heures, finissant à. ... parfois 23 heures ou un peu plus.
Par la suite DACOR s'est intéressé aux impôts locaux, l'aménagement du quartier, puis le chauffage collectif urbain affermé à la Cofreth (Qui a dû changer plusieurs fois de noms depuis ?), comparable à une installation municipale d'eau potable affermée à une société privée.
Pour un chauffage urbain, la technique et le contractuel sont bien plus complexes que pour une adduction d'eau potable. 
"Faut vraiment avoir envie !" 
Mais je me suis régalé, rendu utile pour ceux qui s'appliquaient "Aide-toi, le ciel t'aidera", dans le sens où une association, ce n'est pas un supermarché où des clients viennent se servir.
Il faut "se former" à la technique globale, d'où découle un contractuel complexe (Abonnement, énergies chauffage/électrique, eau à réchauffer, eau du circuit chauffage, garanties, contribution aux remboursements d’emprunts. ..)
Passage obligatoire pour savoir comment aborder chaque chausse trappe dans cette gingle contractuelle.
Je reviendrais sur le chauffage dans un article suivant.
Passons à l'aspect communication informative de l'époque via le journal municipal "Vaulx ma Ville" 1988.

Sur cette photo, des personnes actives nous ont quitté avant 2005.
Dont l'un avant l'âge de la retraite lors d'une réunion publique.
Une pensée ineffaçable pour sa famille.


Ces documents sont issus de mes archives, depuis 1988, l'eau est passée sous les ponts, cette usine de production de chaleur suit le progrès, cogénération (chaleur + électricité).
En 1980, soutient du charbon français, charbon encore à la mode. La chaudière charbon a été supprimée et remplacée par une chaudière bois.
Passage du réseau primaire haute température en réseau basse température avec moins de déperditions de chaleur.
Avec le réseau haute température, lors d'hivers enneigés ou sol gelé, pas besoin de détecteur à métaux pour suivre les canalisations !
Probablement d'autres innovations depuis  2005, date de mes grandes vacances où j'ai quitté Vaulx-en-Velin.