dimanche 30 avril 2017

Observations d'un jour à l'autre (4) Travaux Place de l'Horloge

Un beau matin, nous voyons une pelleteuse Place de l'Horloge ?

Suite à un courriel avec une photo qui pose des questions, j'apprends que le Groupe Protection Nature souhaitait faire des plantations autour des arbres, excellente initiative pour embellir cette place, pour ma part rien à redire.

Ensuite j'apprends que le maire engage des travaux "pour le bien de tous"?


Méfiance, vouloir  "Faire le bonheur du peuple malgré lui" me dit quelque chose ?


Donc petit tour sur Internet.
Il s'agit bien de l'époque août 1939, document ci-contre à droite, des rapprochements trop hâtifs pourraient être hasardeux !

Passage objectif :

Dans le choix des termes "Pour le bien de tous", je ne doute pas que le représentant du Groupe Protection Nature était sincère, il estime que le projet de rénovation de cette place est bien.

C'est l'opinion qu'il s'est faite avec les éléments qu'il connaît et que j'ignore en ce moment.

Les riverains, premiers utilisateurs donc premiers concernés ont peut-être un avis différent ?
La moindre des choses aurait été qu'un élu vienne exposer le projet et échanger avant de décider ?

Transition vers le passage politicien :
Guère pensable à Vallabrix, voire un peu pire lors des campagnes électorales avec la pression que s'impose peut-être notre maire, absolument vouloir faire quelque chose qui se voit ?
N'y a-t-il risque, comme pour des rassemblements de foule immense lors des campagnes électorales, de ne convaincre que des convaincus, se faire plaisir au regard de cette capacité de mobilisation ?
En quelques mots : Flatter son égo.

Passage politicien :

Par la suite, j'apprends toujours par la bande qu'il ne subsistera que 2 places de parking, ce qui est estimé amplement suffisant ?

Genre de réponse dont notre maire a le secret, des Certitudes sans appel pour solder autoritairement par anticipation des remarques potentielles.

Peut-être à nuancer, nous sommes à "l'étiage" hors congés, seulement une habitation sur quatre occupée rue de la Côte par exemple.
Et dans le Village dit "Ancien" peu de maisons avec un garage privé suffisamment grand pour garer deux ou trois voitures ou avec de l'espace devant la maison pour se garer.

Deux ou trois voitures par famille est devenue la norme, une pour chacun des conjoints (avec enfants mineurs qui plus est), un utilitaire pour le bricolage ou jardinage est devenu fréquent.
En utilitaire, j'ai opté "Kubota", économe en surface de garage privé, Kubota bien suffisant pour aller à la nouvelle déchèterie, même si ça ne plait pas à certains.

S'il s'agit d'un couple non retraité, les deux voitures sont absolument indispensables pour rejoindre le lieu de travail en l'absence de transport en commun régulier sur Vallabrix.
Le transport scolaire "saisonnier" ne rend pas les services attendus d'un véritable transport en commun. 

Ci-contre à droite, une photo prise à la Tranchée lors des vacances de Pâques montre bien que les places de parking sont recherchées dans le Village.

Autre point toujours avec un ton politicien :

L'initiative " Grand travaux" (pour le "Bien de tous") provient probablement du maire, une idée du matin en se rasant et en pensant optimiser l'embellissement proposé par le Groupe Protection Nature ?

D'où précipitation par opportunité ici, sans délibération du Conseil municipal.

Redevenons simples riverains et citoyens susceptibles d'être entendus !!! (Démocratie participative ?)

Concernant le caniveau "roulis / tangage" pour voitures même à vitesse modérée (< 20 km/h) au droit de la maison ronde.
Ne me parlez pas d'effet ralentisseur, ou il n'est pas au bon endroit. Le lieu de danger se situe au niveau du mûrier "Eglise" et l'habitation en face, passage étroit sans visibilité. 
Il faut voir, heureusement très rarement, à quelle vitesse déboulent certain(e)s Vallabrixois(es) à cet endroit !

Pensant qu'il est aisé de corriger ce caniveau à l'occasion de ces travaux Place de l'Horloge, j'ai pris l'initiative de rencontrer le chef de chantier  Joffre +  courriel de ce 28 avril en confirmation au maire et à deux adjoints.

Photo explicative de ce jour 29/4, donc non inclue dans mon message du 28 avril.


"Bonjour,

Je me suis permis de poser la question au chef de chantier Joffre vers 13 h ce jour.
Avec le chantier et probablement la place rénovée, il faut se payer ce caniveau dans les 2 sens de circulation « Aller-Retour ».
Jusqu’à maintenant, en étant réveillé, on pouvait passer très à droite afin  d’atténuer les secousses dans le sens retour.
Peut-être ça ne gêne pas Odile plus jeune que nous. Personnellement ça va mieux quand je n’ai pas besoin de prendre de cortisone pour un mal de dos.

Ma question :
Est-il prévu de supprimer ce caniveau ?

Réponse :
« Non, c’est la mairie qui décide » .

Compte tenu de la présence de Joffre sur place, le surcoût devrait être acceptable ?
D’autant plus qu’une prédisposition « buses enterrées » facilite l’opération.

Après une petite discussion avec le chef de chantier :

Le chef de chantier m’a promis qu’il en parlerait à la mairie.

A suivre !


Michel"
Fin du courriel

Sujet "rénovation Place de l'Eglise" :

Je profite de cette article pour montrer comment sont conduits les travaux désormais.
Des maîtres d'oeuvre qualifiés "ISO 9001" (*) et autres intervenants ne se posent pas trop de questions pratiques si on observe tant soit peu le résultat des travaux lors de la réception des travaux.
(*) Si nécessaire pour un rappel "ISO 9001" qu'est-ce ? lien :

Ici rénovation de la Place de l'Eglise et comment ces intervenants censer aider les élus, (généralement depuis un bureau d'études),  ignorent ou se moquent du "savoir faire" des anciens. 
L'ancien "savoir faire" pour conduire les eaux pluviales n'était pas si ringard !

N'y avait-il pas plus "de bon sens près de chez soi" pour placer un slogan publicitaire ?

A la suite de quoi, les remarques d'administrés seraient par définition négatives selon les élus ?

Comment croire aux promesses des candidats aux présidentielles, notamment de la "France Insoumise" en ce qui concerne Vallabrix ?
La Direction municipale étant tendance "Front de Gauche" qui, en conséquence, soutient  le candidat JL Mélenchon, ne donne pas d'indices de mise en pratique locale du programme de "France Insoumise".

Que recouvre un des slogans du programme France Insoumise "Planification écologique" ?

Voir mon article précédent qui concerne concrètement la Protection de la Nature :

Probablement trouverait-on dans le programme "France Insoumise" une promesse façon "Démocratie Participative".

Y-a-t-il l'ombre (façon Pasqua) d'une trace de démocratie participative dans le projet rénovation de la Place de l'Horloge pour ne citer qu'un exemple ?

Ou plus terre à terre concernant le mode d'administration du maire de Vallabrix :

"Ne demande t-on pas à d'autres Vallabrixois de croire (1), voire de subir (2) ce qu'on est incapable , ou pas besoin (2) d'appliquer à soi-même ?"

  • 1) Laisser croire que la démocratie fonctionne à Vallabrix.
    Des exemples de réalisations montrant que la démocratie a bien fonctionné seraient les bien venus.
  • 2) Subir les fantasmes du maire Place de l'Horloge où deux places de parking suffiraient, alors qu'il possède toutes les commodités pour garer dans sa cour les véhicules de ses invités.
    Les Vallabrixois riverains résidents ou secondaires de cette Place de l'Horloge n'ont peut-être pas ces commodités ?

Hors sujet, un coupé Peugeot remarquable "pièce de musée" en excellent état. 
Félicitations au propriétaire inconnu(e) ! 
A fait l'objet d'une de mes publications sur Facebook.


samedi 29 avril 2017

Observations d'un jour à l'autre (3) Ancien captage


Cette article sera recommandé à mon ami Facebook Denis B. qui produit des légumes bio.
Principe de précaution :
En l'absence de clapet antiretour (*) sur le système de pompage, il faut rester vigilant sur la qualité de l'eau.
(*) Réglementairement, c'est un disconnecteur qu'il faudrait. Disconnecteur = clapet antiretour perfectionné, plus fiable.
Parfois, pour arroser ses plantations, Denis utilise l'eau de cet ancien captage où dans cet article j'émets de fortes réserves sur la qualité "bio" de cette ressource en eau dite agricole. 
Probable présence de pesticides ?

Petit rappel : Cet ancien captage dont l'utilisation est seulement tolérée serait essentiellement destiné au lavage des machines agricoles, mais aussi pour abreuver les animaux, et pour les particuliers qui auraient besoins d'eau pour leurs plantations. 
Ceci a été rappelé lors d'une réunion de commission eau, je laisse le soin aux lecteurs de retrouver sur mon site "Vallabrix goutte-à-goutte"  les CR de réunion sont en "fichiers ajoutés"  :

Lors de cette réunion (à retrouver sur mon site), il a même été précisé que l'eau de l'ancien captage était meilleure pour arroser les plantations que celle du réseau d'eau potable ? 
Le chlore est injecté dans le réseau d'eau potable pour l'assainir, pour freiner le développement des micro-organismes. Or ce chlore est instable dans l'eau. Une partie de ce chlore disparaît lors d'un remplissage de récipient sous un robinet, après un peu de repos et un autre transvasement dans un arrosoir, peu de chlore doit subsister. Je laisse le soin aux lecteurs intéressées de vérifier par eux-même de manière plus approfondie, et de décider quelle eau il serait objectivement préférable d'utiliser pour des plantations bio ?

Donc en "observations d'un jour à l'autre", je me suis aperçu que des agriculteurs utilisaient en toute confiance cette ressource en eau de l'ancien captage, économe d'eau potable par ailleurs, pensant que le système de pompage était conforme aux "règles de l'art". Règles de l'art peut sembler "pompeux", en réalité c'est un terme qui date "un peu" qui signifie simplement règles de l'artisan, donc les règles du métier, l'artisan étant devenu de nos jours parfois industriel.


D'autres agriculteurs et autres simples particuliers que j'ai informés, ou par ouïes dire, avaient connaissance de l'absence de ce fameux clapet antiretour. Ce qu'ils ont constaté facilement par eux-mêmes, et ils prennent leurs précautions et bonnes dispositions antipollution, dont laisser couler l'eau hors cuves ou sulfateuses afin de purger le tuyau avant de mettre l'embout de celui-ci à l'entrée de remplissage de la cuve ou de la sulfateuse.

Et surtout ne pas laisser l'embout dans le liquide pesticide des sulfateuses pour ne pas prendre le risque de polluer la resource en eau de l'ancien captage.

DONC TOUS LES UTILISATEURS DE CET ANCIEN

 CAPTAGE NE SONT PAS A METTRE

DANS LE MÊME


SAC.

Y COMPRIS LES AGRICULTEURS.


Je pense avoir tenté tout ce qui m'est possible du point de vue "pédagogique" auprès du maire et de son adjoint délégué Eau & Assainissement. Les réponses faites ne semblent qu'avoir pour but "d'enterrer" les risques sanitaires liés à cette absence de clapet antiretour, fonction qui existait dans la version léguée par les prédécesseurs du maire actuel !

Suite à des modifications liées aux réparations successives et normales, comme au réservoir (purges d'air), ces fonctions utiles se sont trouvées supprimées. 
("Il n'y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent pas !")
Chacun de nous a droit à l'erreur, le reconnaître est digne, le corriger rend l'intervention parfaite.

Or, pour ce cas particulier, placé devant une sorte d’obscurantisme, j'ai tenté un coup de poker dans le message ci-dessous via un prestataire de la municipalité, pensant assez bien connaître le métier de technico-commercial pour les avoir rencontré dans ma vie professionnelle. Je me suis toujours bien entendu avec ceux-ci selon le % de la part technico et le % de la part commerciale, part commerciale qui est tout aussi indispensable dans ce métier, surtout de nos jours où les marchés "s'arrachent" commercialement entre concurrents.
(Fameuse "loi du marché" avec ses conséquences violentes parfois pour les salariés !)

Message en question :
"Bonjour Monsieur X
Prestataire Y
Confirmation de notre entretien téléphonique de ce matin 25 avril à 8 h 30.
1)      Absence de clapet antiretour :
Je me permets d’intervenir directement en raison des risques sanitaires encourus à l’ancien captage à cause de l’absence de clapet antiretour sur le dispositif de pompage que la municipalité vous confie en réparation en cas de panne.
En tant que membre de la commission Eau & Assainissement, je pense que cette mise en conformité (ajout antiretour) sera gracieuse en faveur des usagers.
Cette réparation ne nécessite pas des frais onéreux, une version basique de clapet placé en ligne sur la tuyauterie rigide doit être possible.
2)      Devis et descriptif purges d’air au réservoir.
Ce devis descriptif semble égaré suite aux recherches sans succès du maire en ma présence ? (Voir  note : 1*)
Il a été prévu lors de notre dernière réunion de la commission d’eau de le joindre au CR publié sur le site de Vallabrix :

Afin de finaliser l’article (lien ci-dessus), je souhaiterais que vous me fassiez parvenir directement par courriel le fichier pdf de ce devis descriptif afin que je ne perde pas plus mon temps pour ce genre de détail.

Nota :
A la lecture du CR en pdf dans l’article (lien ci-dessus), liste de points traités en commission en fin de l’article, peut-être reste-il des points à traiter de responsabilité Y ?

Si j’en viens à ces extrémités, c’est à cause d’une sorte de « surdité » des élus de Vallabrix qui semblent oublier l’intérêt des usagers de la régie d’eau de Vallabrix.
Je rappelle que j’interviens en tant que membre de la commission eau, où l’intérêt des usagers est mon seul souci.
J’espère que Y, en tant qu’entreprise industrielle qui a par nature le sens des responsabilités vis-à-vis de ses clients, prendra en compte ma demande qui concerne ici un aspect sanitaire.

Par rapport aux élus de Vallabrix, je n’en resterai pas là, je compte bien user des réseaux sociaux sur le point « Aspect Sanitaire » en l’absence de ce clapet antiretour sur le dispositif de pompage de l’ancien captage.
Ce courrier, (en masquant les noms) fera partie d’un prochain article publié sur mon blog.

Exemple de sujets traités sur mon blog « Le photovoltaïque à Vallabrix » :

Cordialement.
Michel Voisin

Copies : Mairie et quelques membres de la commission d’eau dont je possède l’adresse courriel.
Les autres seront informés à l’occasion. "
Fin du message.

Note 1*) 
Jour où les tracteurs sont déclarés dangereux (?) sur une aire de déchèterie, lien pour mémoire :

J'ai repris contact quelques jours plus tard avec Monsieur X, pour la partie technique mon message a bien été compris. (1)
Pour la partie qui concerne les élus de Vallabrix, ce n'est pas du ressort de Monsieur X, je partage sa remarque à ce sujet, son rôle n'est pas d'intervenir dans des différents entre élus et administrés.
Dans mon message, ce passage n'est pas destiné à Monsieur X, ni au prestataire Y, il est seulement destiné à ceux en "Copies" et quelques autres pour préciser les raisons de ma démarche.

(1) Le partage des responsabilités (absence de clapet antiretour), ça se négocie (généralement) entre client et fournisseur.
Dans ce type de métier où la part technique est importante, le "sachant" est le fournisseur.

Il n'est pas demandé au client "collectivité locale" de tout savoir, mais de s'informer auprès d'autres collectivités : Comment ils procèdent avec leurs prestataires en cas de malfaçons (constat en fonction du problème engendré).
Avec la visite du Sivom de Collorgues à la demande du maire de Vallabrix, cette démarche "conseils" a bien eu lieue, savoir si les conseils sont pris en compte ?
Lien :

A l'attention du lecteur :

Dans cet article, mes propos sont principalement d'ordre "techniques", dans ma vie professionnelle, j'étais concepteur de machine spéciale pour la partie mécanique avec un "jargon spécifique" à ce métier.

D'où probablement des termes qui nécessiteraient d'être plus "vulgarisés" au sens noble du terme donc accessibles par une majorité de lecteurs.



Je ne comprends pas toujours ce qu'un médecin me dit dans le "jargon" médical, de même je ne comprends pas (souvent) ce qu'un informaticien m'explique dans son jargon.

Rien d'anormal de mon point de vue, l'art de "vulgariser", c'est la pédagogie qui est aussi un métier indispensable pour enseigner
Je ne l'ai pas appris, ma méthode empirique "pédagogique" a probablement des lacunes.

D'où, après réflexions. ..., une nouvelle idée "pédagogique" de mon cru, ces deux nouvelles photos ci-dessus à gauche et ci-contre à droite d'une reconstitution du principe de pompage de l'ancien captage, il faut encore un peu d’imagination, mais j'aurais tenté dans le but d'expliquer au mieux !

Ajout du 7 mai 2017
(1) Ré ouverte temporairement en 2015 lors des travaux D5
(2) Me parait très approximatif, le fer s'oxyde dans le temps (surtout en terre), se transforme donc en oxyde de fer.
Au niveau de l'atome, je suis incompétent, or l'oxyde de fer (Par exemple, un clou rouillé) est utilisé contre la carence des plantes en culture.
Les substances radioactives vieillissent ! ? Certes, mais durant des années, des siècles, voire des millénaires ?
(3) Pollution de l'ancien captage ? Ne pourrait-on pas prendre en compte dans un cadre "Protection Nature ?

dimanche 23 avril 2017

Photovoltaïque à Vallabrix. Positions municipales

Dans l'article précédent du 19 avril 2017, j'ai exposé ma "galère" et ma ténacité afin de réaliser mon installation photovoltaïque (1ère de Vallabrix) dans le secteur sauvegardé du Village.
Ceci à cause d'une loi de l'urbanisme qui date du 31 décembre 1913 (voir documents préfectoraux dont l'ABF publiés dans l'article précédent).

Il était cocasse de voir que parmi les photos prises, sur mes toits pour établir mon second projet, en arrière plan il y avait des "verrues" (terme utilisé par l'ABF, et bien d'autres organismes ou personnes bien vaillantes).
Ces "verrues" ont été utilisées par l'architecte conseil du CAUE pour défendre mon projet auprès de l'ABF.
Tout ceci pour rappeler qu'il y a des innovations "bonnes pour la Planète", que la loi de 1913 serait à corriger, et qu'interdire des innovations dans un rayon de 500 m autour de la façade, pris au pied de la lettre n'est plus d'actualité.

Notamment de tenir compte de la règle de non covisibilité depuis le domaine public:
Façade Renaissance / Photovoltaïque.
Reste vu du ciel : Sommes-nous nombreux à utiliser un avion chaque matin pour aller prendre son petit déjeuner ?
Dans mon cas j'ai obtenu l'application de cette règle, sans plus, sinon être "pionnier" à Vallabrix.

Loi 1913 prise au pied de la lettre sur Vallabrix ?

Source image : PLU Vallabrix.

Ecrire que le secteur sauvegardé se limite au village ancien n'est pas exact, (voir par exemple délibération plus bas).

Maintenant passons aux "atermoiements" du Conseil municipal.

Il est compréhensible que des demandes d'autorisation de travaux puissent interpeller les élus. Quand on ne sait pas répondre, ou pire répondre en faisant appel à "l'affect", il est possible de faire intervenir gratuitement un architecte spécialisé du CAUE, service compris dans nos impôts qui plus est !

"Si on ne sait pas en demandant on apprend."
Si on décide sans savoir on est un"idiot" et on demeure un "idiot"!
Peut-être peu "politiquement correct" mais il en va ainsi pour les particuliers, les élus n'y échappent pas.
Le fait d'être élu n'apporte pas la connaissance, il faut rester ouvert et aller chercher la connaissance.
Moment de liberté de ton sur un blog appréciable !

Revenons aux "atermoiements".

Délibération du 19 août 2011                                                                 Délibérations du 6 juillet 2016


         
                             
  Ci-dessus (à droite) on décide ?
Problème de mise en page ?
Cliquer sur une image pour les rendre lisibles.           
Ci-dessus (à gauche) :            
Les élus bottent en touche en 2011 !
Trop complexe pour délibérer séance tenante.  

(Page 1, ci-dessous à droite : Point 6 : Avis favorable pour le parc photovoltaïque.)

Page 2, ci-contre à gauche : Point 11 remarquable
Le CM confirme la loi 1913 prise au pied de la lettre, ne tient pas compte des innovations "bonnes pour la Planète". S'arrangent (probablement Certain sans "s") avec le rayon de 500 m, voir figure plus haut.
Le rayon de 500 m dépasse largement le "Vieux Village" ?
A priori tous les élus se situent dans ce rayon de 500 m. Donc collectivement ils se sont tirés une balle dans le pied par manque d'analyse, ou par peu d'intérêt réel sur les énergies renouvelables ?

Le comble de l'histoire, la demandeuse pour installer des panneaux solaire était la 1ère Adjointe, pensant bien faire et comptant sur un raisonnement "normal" et non dans "l'affect" ou "idiots" de quelques élus qui ont été majoritaire au point 11. 
Au passage, le CR du CM ne donne pas le résultat nombre de "Pour", nombre de "Contre" sur ce point 11.
Je lui avais exposé ma méthode auprès de l'ABF, ce dont elle m'avait remerciée, c'est rare depuis 2012. Cette méthode aurait pu être discutée en préparation de CM ?


Passons au projet parc photovoltaïque de Vallabrix.

Curieusement certains opérateurs sont très pointilleux sur la confidentialité, quand il s'agit de données chiffrées en €. C'est logique d'un point de vue "Affaire commerciale". 
Quand il s'agit de caractéristiques techniques, ce n'est plus justifié, ce sont des "Affaires" où le citoyen doit avoir un droit de regard. 
En "démocratie participative" souvent promise lors des campagnes électorales, une réunion d'information organisée par les opérateurs consultés qui répondent aux questions du public aurait été un minimum. De mémoire, parmi les trois opérateurs consultés, deux ont proposés la tenue d'une réunion d'information.
Etant curieux au sujet des énergies renouvelables, j'avais demandé au maire de pouvoir assister aux réunions "Présentation" opérateur qui sont venus d'ailleurs avec un préprojet pour Vallabrix.
Ceci permet d'avoir une "pré-impression" en fonction du projet initial présenté, comment fonctionne "commercialement" chaque opérateur ?

Petit détour :
Opportunité du Républicain d'Uzès de ce jeudi 20 avril 2017 en page 6 :
Stéphane Manier, journaliste, ancien grand reporter de guerre, administrateur de l'ONG Reporters sans frontières" a rencontré des élèves de 1ère et Terminale du lycée Gide.

J'ai retenu au sujet du mensonge moderne, citation de Stéphane Manier :
"Le mensonge moderne n'est pas dans ce qu'on vous dit de faux, il est dans ce qu'on ne vous dit pas."

C'est valable en affaire, les choses positives sont mises en avant, les points faibles ne sont pas abordés. 
C'est de l'expérience de terrain où les risques dépendent du nombre de zéros après le chiffre significatif.

Indication à la fin de l'article : A retrouver en vidéo sur http://prima-vera.net. (+ lycée Gide), + probablement de la ténacité pour voir la vidéo en question ?
 Fin du petit détour.


Revenons aux présentations des 3 opérateurs 
De-ci, delà ! 

Les préprojets des opérateurs rendus anonymes par un N°. 1; 2 et 3 arbitraire.

La position dans cet article est indépendante de ma volonté. C'est "Blogger" qui en a voulu ainsi ?

Passage technique.
Données de base, l'idée initiale était de réhabiliter l'ancienne décharge d'une superficie de 0,5 ha. Le préprojet N°1 s'arrange bien ! ?
Une superficie de 0,5 ha n'est pas intéressante pour les grands opérateurs, les 2 autres ont proposés un compromis rentable pour eux qui donnait la possibilité de se raccorder sur un transformateur de quartier (*) peu éloigné du site "décharge à réhabiliter".

(*) La légende ajoutée par moi-même fait suite à mes questions posées en réunion de présentation du N°2. 
La surface nécessaire pour une puissance de 5 MWc dépend de la technologie "suivi" du soleil sur un axe qui suit l'inclinaison du soleil ou sur 2 axes pour suivre d'Est en Ouest en plus la position du soleil au cours de la journée ou simplement panneaux photovoltaïques fixes orientés vers le sud. Les 7 à 8 ha nécessaires pour la puissance de 5 MWc  correspondent aux panneaux fixes. 
Les autres solutions "suivi" soleil sont plus performantes, plus techniques et consomment de l'énergie produite pour déplacer les panneaux au cours de la journée. Le choix appartient à l'opérateur selon ses calculs de rentabilité /maintenance supplémentaire comprise.

Passage écologie ?
Des études longues sont nécessaires avant d'obtenir l'autorisation sur de tels projets qui vont détruire des espaces verts de plusieurs ha, modifier la faune et la flore locale. Des solutions de "compensation" sont proposées qui consistent généralement à débroussailler une surface non négligeable en ha, conserver les meilleurs sujets. Une autre faune / flore renaît naturellement adaptée au nouveau milieu créée. 
Les sangliers iront ailleurs ?

Passage financier ?
Dépend essentiellement de ce que la municipalité attend de ce parc photovoltaïque.
L'aspect "écolo" énergie renouvelable peut se situer parfois dans un discours "langue de bois" ?
Il faut prendre en compte le fait que les municipalités cherchent des ressources financières immédiates. A décharge, l'Etat se "décharge" de plus en plus, baisse des subventions dont la DGF (Dotation Globale de Fonctionnement attribuée aux collectivités locales).
D'où le terme peu glorieux "Droit d'entrée" ce que demandent les maires aux opérateurs.
Deux opérateurs étaient réticents, l'aspect commercial l'emporte pour obtenir le marché.
L'un des deux a bien expliqué en réunion, "Ce qu'on vous donnera en "droit d'entrée" sera au détriment du projet".
Il existe encore des opérateurs prévenants qui font honnêtement leur métier !
Il se trouve que ce dernier a été retenu, ces hommes d'Affaires "pionniers" en technique de financement ont du répondant et s'adaptent. 
Principe du capital d'amorçage à risques d'actionnaires d'une société créée pour lancer et financer les études préliminaires sans être certains à 100% de l'issue positive, ensuite établir un montage financier auprès des banques afin d'emmener le projet à terme. 
Des articles de presse rapportent ce principe, dont dans Le Midi-Libre.
 (Principe de confidentialité respecté en ce qui me concerne, les chiffres en € proviennent de la Presse.)



Donc le Conseil municipal de Vallabrix a retenu Altergie 
(Opérateur sur les parcs photovoltaïques de Belvezet.)
Ci-dessous source Gazette de Vallabrix N° 65, un article signé de la 1ère Adjointe :

Par déformation que je pense professionnelle, j'ai fréquemment des remarques à formuler :
  1. Les contrats pour ce type d'installation sont de 20 ans, au bout des 20 ans le parc produira encore avec moins de performance certes, le bail signé par la municipalité (actuellement en l'état de promesse qui deviendra emphytéotique) a une durée de 25 ans. Peut être prorogé à l'initiative d'Altergie. Pas de lézard c'est clair.
    Autre possibilité (proposée en réunion de présentation par les mêmes 2 opérateurs) : Le contrat et le bail ont la même durée, au terme de cette durée (20 ans du contrat), l'opérateur et la municipalité décident de la suite dont reprise du parc pour l'€ symbolique par la municipalité.
    Dans 20 ans qui peut dire ce qui en adviendra, si le sens économique actuel va vers plus de libéralisme, peut-être que l'autoconsommation des parcs photovoltaïques sera courante, les projets plus modestes avec raccordement sur le transformateur de quartier était intéressante de ce point de vue et aussi du point de vue  écolo.
  2. Redevance et "Avances" sur Redevances :
    Clair dans le texte, de plus, chose promise = chose due. Sur ce point Altergie avait bien prévenu. On notera également que le terme "Droit d'entrée" n'a pas été retenu par Altergie.
    Disons que la redevance de 50 000 € est un geste commercial normal au regard de l'investissement.
    Par contre "Avances" déjà très clair en français lambda, remplacé par le terme "Prêt" serait encore plus clair. Concrètement Altergie va prêter 100 000 + 200 000 € à Vallabrix et se rembourser sur les redevances prévues.
  3. Redevances :
    Honnêtes.
    Au passage conseil d'une personne de l'ONF, ONF reste intéressée aux revenus des parcs photovoltaïques installés sur leur domaine de compétence, revenu des forets 12% (à vérifier) du produit de la forêt.
    L'autre pratique de revenu pour les municipalités : prix de location à l'ha qui ne tient pas compte de la puissance en MWc installée/ha et futures possibilité d'augmentation de puissance gérée par l'opérateur. Selon l'article, l'opérateur a bien prévu d'optimiser la production.
    Telle que définie dans la promesse de bail ce principe de redevances permet une rémunération liée à la performance du parc. Sachant que les opérateurs ne sont pas philanthropes, il est probable qu'Altergie ou la société filiale qui va gérer ce parc fera tout pour optimiser les performances.
  4. Point 3 bien vu sans tenir compte de l'incidence des "si" réservé aux affranchis, rien à redire.
    Par contre, les points 1 et 2 sont laissés en héritage aux élus futurs et générations futures.
    Savoir ce qu'ils vont en penser ?
    Nous avons déjà un gros souci avec notre carrière, un autre à gérer ?
Ennui de parcours qui arrive sur ce type de projet, moratoire de 3 ans ? Annoncé par la 1ère Adjointe lors de la réunion publique "Nouvelle Ecole" du 12 octobre 2016, dit autrement dans "Le Mot du Maire" Gazette N°66 :
L'art de positiver.
Tout en sachant qu'Altergie ne reste pas les pieds dans le même sabot, fait les démarches possibles pour réduire, voire faire annuler ce moratoire.

Rectificatif du 27 octobre 2017

Appris le 26 octobre 2017 lors de l'inauguration des tranches 4 & 5 du parc photovoltaïque de Belvezet. Source président d'Altergie. Ce moratoire de 3 ans est dû au projet où la part impactée au détriment de la zone classée forêt serait trop importante. 
Donc moratoire "local" spécifique au projet photovoltaïque de Vallabrix.
Les projets de parcs photovoltaïque en garrigue ont encore le vent en poupe.

En fouillant dans mes archives, j'ai retrouvé un compte rendu de novembre 2015.
Il vaut ce qu'il vaut, c'est ce que j'avais noté à l'époque.
A Belvezet, le moratoire subi faisait suite à l'évolution de la réglementation photovoltaïque afin de s'affranchir de l'aspect spéculatif, plus de réglementation et tarif de rachat du kWh revu à la baisse.
Le président d'Altergie ne désespère pas, il pense pouvoir trouver une solution afin de lever ce moratoire.

Article à venir sur le photovoltaïque publié vers le 17 novembre 2017.


Lien ajouté le 15 octobre 2017
Autoconsommation
http://autoconsommation.cre.fr/

mercredi 19 avril 2017

Photovoltaïque à Vallabrix

Quelques rappels de "précaution" :


Objectifs CSPE :
  • Sur ma facture de février 2017, la contribution CSPE est de 0,02250 € HT par kWh consommé.
    Peut-être est-ce le prix à payer pour soutenir les énergies renouvelables. (Entre autres.)
Instituée par la  loi n° 2003-8 du 3 janvier 2003 , la Contribution au Service Public de l'Electricité (CSPE) vise :
  • à compenser les charges de service public de l’électricité, qui sont supportées par les fournisseurs historiques, EDF pour l'essentiel, Electricité de Mayotte (EDM) et les entreprises locales de distribution (ELD), ainsi que les charges supportées par les fournisseurs alternatifs ayant des clients au « tarif de première nécessité ». Les charges de service public d’électricité couvrent :
  • Etc. Avec bien d'autres investissements ou charges supportés par le service public EDF.
Pour en savoir plus : Taper CSPE sur Google.

Une publicité du jour sur Facebook :
Maison Astuce
  • Sponsorisé= Pub. pour info, il est préférable de lire à 2 fois !
Comment certains Français gagnent-ils autant d'argent chaque mois en louant leur toit ?
La réglementation photovoltaïque évolue en permanence. Probablement trop subventionné en 2007 par exemple, Il fallait dynamisé la filaire photovoltaïque. 
Il y a probablement eu des abus afin de bénéficier de l'aspect "spéculatif".
L'Etat le constate d'où quelques moratoires de temps à autres, éventuellement pour relancer les éoliennes parfois (ou souvent). Éoliennes : Objet de vives réactions "Écolo".

De mon point de vue, le photovoltaïque (est très consommateur de surface au sol) lors qu'il est installé sur des espaces verts. Il est préférable d'installer du photovoltaïque sur les toits.

Les éoliennes à puissance égale consomment moins de surface au sol, sont souvent critiquées à cause de l'impact sur le paysage, voire accidents d'oiseaux piégés par la vitesse périphérique élevée des pales. 
Ne nuisent pas à la chasse, pas besoin de clôture de sécurité avec les éoliennes comme pour les parcs photovoltaïques. 
La République autorise la chasse, ceci doit être respecté. (Au moins pour les sangliers destructeurs de cultures !)

Donc le photovoltaïque a été très subventionné : Région, Crédits d'Impôts, tarif élevé du kWh vendu à EDF. Plus exactement à OA-Solaire, "filiale" EDF. (OA-solaire = Obligation d'Achat EDF.) 
Des ajustements de la réglementation "photovoltaïque" ont eu lieu, notamment en 2013 en ce qui concerne mon extension de 3 kWc sur un second toit également orienté "ouest", techniquement orienté à l'ouest n'est pas une position optimum. La position optimum étant face au sud, dans ce cas, j'ai un manque à gagner de 20 % env.
Pour l'extension 2013, coût de l'installation divisée par 2 (TVA 19,6% comprise). Le tarif d'OA-Solaire également divisé par 2, même quantité de kWk produite, comme les panneaux de 2007, l'amortissement de l'installation sera d'une dizaine d'années. Ce qui est encore très intéressant.

Depuis quelque temps, l’autoconsommation est possible, voir lien avec "Maison Astuce" cité plus haut, peut s'avérer une solution intéressante sans investissement du particulier ?
Je n'ai pas trouvé d'informations locales de particuliers en autoconsommation, je sais simplement qu'il n'y a pas de contrat avec "OA-Solaire". C'est logique, en autoconsommation on ne vend pas d'électricité. Cette énergie produite est consommée par le particulier, dans la limite de son besoin, au-delà du besoin, le surplus part vers EDF, via la règle du "court circuit" est probablement consommée par les voisins le proches du producteur ?

EDF facture selon les index de compteurs des voisins, il est peu probable que les compteurs fassent la distinction "Energie locale / Energie produite par EDF.
Pour bénéficier de la totalité de l'énergie produite, il existe des batteries performantes, pas encore suffisamment de mon point de vue ?
Je pense qu'il serait prudent de bien lire le contrat à signer sur la base "Location de toit" ?
Ceux qui rédigent ce type de contrats ne sont probablement pas des perdreaux" de l'année ?
Il en va de même pour les municipalités qui louent un espace "Garrigue".

Quelques chiffres en ce qui me concerne :
Investissement 2007 23 300 € TTC (5,5%) + 5 400 € TTC de maçon afin de redresser le toit.
La production dépasse 3.000 kWh/an
Ennuis d'étanchéité résolu en 2013 (+ isolation complémentaire en Ouate de cellulose). Les bacs plastiques (Inter Soles) n'étaient pas adaptés pour le midi de la France, (pour l'Alsace peut-être ?).
Les bacs plastiques ont été remplacés par des bacs acier plus fiables.

Malgré ces déboires d'étanchéité, l'opération 2007 avec réparation 2013 reste très rentable.

Comme on dit dans l'industrie : "Les risques industriels sont inévitables." Il faut s'y attendre avec la mise en oeuvre de technologies nouvelles. Ne pas dépenser à "tord et travers" les revenus photovoltaïques, un livret "Développement Durable" peut être utile bien que les intérêts soient très faibles. Ce livret fait office d'assurance en cas de panne sur l'installation.

Toutes proportions gardées (malgré la spéculation "Energie Renouvelable") possibles (?), le CSPE a été bien utile pour les particuliers qui veulent se lancer dans l'aventure "Photovoltaïque". 

Série de fichiers photos pour retracer ma "galère fin 2006/ début 2007.



Rappel pratique, un double clique sur image miniature donne accès à un diapo, les images peuvent alors s'afficher en plein écran.


Ci-contre à gauche 1er projet présenté le 31 octobre 2006. A Uzès, il existait encore une agence DDE (Direction Départementale de l'Equipement). Cette agence quitte Uzès fin décembre 2006 pour Villeneuve-lès-Avignon.
Ceci n'a pas simplifié mes démarches.

En principe, l'absence de réponse dans un délai de 2 mois on considère l'accord DDE acquis. Donc fin décembre 2006, il m'a fallu relancer la DDE, ce n'est que le 2 février 2007 que la Préfecture a signé l'opposition à mon projet. (Document ci-contre à droite)

Ci-contre à gauche, après "enquête", je retrace l'histoire de mon dossier, la DDE avait émis un avis favorable daté du 9 janvier 2007, courant janvier la DDE demande à la mairie de retourner le dossier ?




Ci-contre à droite, la Région accepte ma demande de subvention. Le montant non négligeable m'encourage à persévérer !

Donc plusieurs déplacements à Nîmes, dont le CAUE (Conseil Architecture Urbanisme et Environnement du Gard). Le CAUE a débloqué la situation auprès de l'Architecte des Bâtiments de France. (ABF)

Ci-contre à gauche croquis du CAUE afin de réorienter mon projet, le 1er ayant été refusé, il fallait présenter un autre projet, première condition pour ne pas essuyer un second refus.


Ci-contre à gauche nouveau projet, mise à jour du 1/3/2007. 
Ci-contre à droite un encouragement de l'ABF. (On avance !)






Ci-contre à gauche, même si le document n'en a pas l'air, c'est l'accord de l'ABF.
La DDE a confirmé plus tard en limite de délai de 2 mois, début mai 2007.

Ci-contre à droite principe de raccordement photovoltaïque. 
En dessous liste des formalités à accomplir.





Ci-contre à droite, installation terminée fin avril 2007.

Raccordement EDF : 26 décembre 2007. (Dossier complet en juillet.)

Ténacité patiente toujours de mise pour ce type d'opération.


En 2013 donc, nouveau projet "Extension photovoltaïque".

Fort de l'expérience 2007, j'ai bien pris soins de monter qu'il n'y avait pas covisibilité façade renaissance / champ photovoltaïque.

Entre temps, l'urbanisme est devenu compétence CCPU, plus proche, possibilité de discuter "normalement".


Ci-contre à gauche, 3 champs photovoltaïques qualifiables de discret par rapport à la façade renaissance.

Ci-contre à droite, résultat vu de la terrasse d'une maison d'en face.
On notera que l'extension 2013 est plus discrète que celle de 2007.

Pour en savoir plus sur la façade renaissance : Blog "Valabris Istoria"

Pour plus de détails :

En 2007, la façade se situait sur des propriétés privées, "petite" demi façade Mme Roche née Gouffet (précision permettant de faire les liens de succession) et "grande" demi façade contre le mur du "Grand Membre" de l'Indivision Desplans.
Les visites étaient possibles en présence de la famille Roche à Vallabrix ou via Pierre Gouffet qui disposait du double des clés.

Sous la mandature 2008/2014, la municipalité achète la propriété Roche, (rappel demi façade) restauration de la façade, les locaux sont devenus la médiathèque, inaugurée le 15 septembre 2012.

Le discours officiel disait que cette façade était "rendue au public". C'est positif !
La cour où se situe cette façade est aussi le passage pour se rendre à la médiathèque. C'est très bien !
Depuis peu, la municipalité a participé et a autorisé l'ouverture d'un débit de boisson saisonnier. (License II). Ce bar se situe au rez de chaussée de la médiathèque et utilise la cour.

Du coup, l'accès à la façade pour visite, l'accès à la médiathèque se font via une cour re-privatisée par la présence d'un bar fusse-t-il associatif ?

Outre l’incitation à consommer, les visites de la façades ne sont généralement possibles que pendant les heures d'ouvertures du bar en saison touristique.
Les touristes qui passent en dehors des heures d'ouverture du bar ou de la médiathèque repartent sans avoir vu la façade. Hors saison l'accès à la façade est parfois accessible au public.

Suggestion : Sur la même place (Place de l'Horloge) se situe la première Mairie Ecole du village (dite maison ronde). Sa mise en vente a été entérinée par le Conseil municipal.
N'aurait-il pas été possible de la restaurer et de la louer au bar associatif ?
Aucun inconvénient pour la bar du point de vue fréquentation, la Place de l'Horloge pourrait être mise à disposition sous conditions.
Avantages : Retour à l'accès façade et médiathèque 100% public sans passer par un lieu privé commercial.
Inconvénients : Financement de restauration à trouver pour la municipalité, pourrait faire l'objet d'un débat.

lundi 17 avril 2017

Observations au jour le jour (2) Suite pour exemples

Donc retour sur quelques événements locaux liés à ma passion pour l'eau potable, les déchets, et plus tard, probablement les énergies renouvelables, dont le photovoltaïque sur Vallabrix.

Cet article sur l'eau aujourd'hui, est une sorte de "coup de gueule" avec main sur la bouche afin de rester "politiquement correct" comme "ils" disent !

Un proverbe pour commencer :

"Trompe moi une fois honte à toi, trompe moi deux fois honte à moi."

Copie d'écran ci-dessous, source : https://citation-proverbes.skyrock.com/3106561651
(Au passage, ce proverbe s'applique pour les campagnes électorales en cours d'avril à juin.)

Nota :
Cliquer sur les photos pour les voir en plein écran. (Pour ceux qui ne sauraient pas.)

Ci-dessous quelques photos annotées de légendes.
La plus part du temps les légendes suffisent pour comprendre de quoi il s'agit.

1ère photo : Protection captage Eau Potable (EP)


2ème photo : Bloc de verre cassé au dessus du réservoir EP 


Pour ces deux premières photos, ce n'est que de la mise en sécurité : (Pas important peu-être ?)
  • 1) Captage, donc de notre seule ressource en EP et selon la réglementation de l'Avis sanitaire du 27 février 2012.
  • 2) Réservoir, En dessous de la plaque plexiglas, un bloc de verre a été cassé par un ou des individus irresponsables. Des eaux pluviales peuvent se retrouver dans notre EP, ou pire, ce à quoi il est préférable de ne pas imaginer. Cette plaque de plexiglas qui se dilate fortement avec la chaleur ne pouvait-être que provisoire, une solution bétonnée "avec soins et costaud" avait été retenue lors de la réunion citée en légende sur la photo "2ème photo".


3ème photo : Fuite qui perdure à la station de remplissage (EP pour l'eau agricole)


Ici, pas besoin de paroles, test grandeur nature, quelques "règles de trois" permettent de constater qu'un minimum de bon sens suffirait pour se décider de réparer, sans passer par l'écologie, voire "Planification écologique" abordée dans mon article précédent.

A titre d'information, si vous souhaitez estimer les fuites d'un robinet chez vous, via Google :
Raymond semble plus pessimiste que mon calcul en légende sur la photo.
Toujours par règle de trois, la tasse 23 cl de Raymond se serait remplie en 138 secondes.
138 = Valeur à saisir en cas de fuite importante  (à droite) + "Calculer".

Lors de la réunion de la commission Eau du 30 mars 2017, point concernant la consommation d'eau agricole, donc de cette station de remplissage raccordée au réseau EP. 
Calcule "coin de table" en l'absence de compteur d'eau réglementaire afin d'estimer la consommation agricole.
Résultat obtenu : 500 m3/an, niveau de fuite annuelle de la station de remplissage > 50 m3.
Il vous suffit de regarder votre facture d'eau (et pour la plus part des usagers avec assainissement *), avec les abonnements sur un an et taxes, l'ordre de grandeur se situe vers 200 €.
(*) Le budget eau n'est pas séparé de celui de l’assainissement à Vallabrix, les recettes des deux budgets (EP + assainissement) sont nécessaires à l'équilibre du budget, et si possible avec un peu d'excédent. 
Dans le village, si vous arrosez avec de l'EP votre pelouse vous payez aussi l'assainissement correspondant.

4ème photo moins affirmative, il faut vérifier si la ventilation du local est acceptable.


Se reporter au CR du 30 mars 2017, page 2, Point 3) Qualité tuyauterie inox, lien vers mon site :
https://sites.google.com/site/vallabrixgoutteagoutte/home/vallabrix-eau-annee-2017
La photo du CR montre une aggravation de l'oxydation des tuyauteries inox (1), outre la qualité qui pose question, un surplus d'humidité par manque de ventilation active l'oxidation. 
C'est seulement mon point de vue, donc à faire confirmer par ceux qui ont ce savoir faire, si possible non intéressés par un montant de facture, (ou nier un mauvais choix d'inox, responsable le maître d'oeuvre retenu). Principe de précaution lors que nous nous sentons  responsables de nos affaires !


  • (1) Précisions "techniques" importantes ajoutées après 2ème publication : Non seulement les tuyauteries sont concernées si la ventilation du local est insuffisante , ce local serait probablement totalement saturé d'humidité.
    Bien que les matériels installés dans ce local réservoir, surpresseurs de qualité industrielle, certes, de bien meilleure qualité comparée aux matériels de particulier genre TV ou autres appareils électroménagers. Trop d'humidité pourrait dégrader des composants électriques ou électroniques du coffret "puissance / commande".
    Les moteurs des surpresseurs sont à vitesse variable, vitesse qui s'adapte au débit d'eau instantané créé par les usagers, donc beaucoup d'électroniques de puissance pour alimentation électrique particulière de ces moteurs.
    (Alimentation électrique particulière : Variateurs de fréquence, soit modification de la fréquence (50 Hz) fournie par EDF.)
    Généralement l'humidité en présence de matériels électriques et électronique ne font pas bon ménage !
    Ce détail "bonne ventilation du local" me parait important de vérifier !
    S'il y avait des dégâts sur les matériels surpresseurs et associés, ce serait la régie d'eau (nous usagers représentés par les élus) qui serions responsables d'avoir supprimer le principe de ventilation d'origine, fonction de la fenêtre ouvrante derrière le panneau de verre. 
    De mon point de vue ce panneau de verre est trop étanche, et nuit à la ventilation du local, de plus cette fenêtre serait à fermer par grand gel, le volume d'eau du réservoir tempère, fait fonction de radiateur.
  • Remplacer seulement le carreau cassé aurait été préférable ?

Petit rappel : (Je suis légèrement tenace !)
Lors de cette réunion du 30 mars 2017, un élu me rétorquait :
  • "Le passé, c'est le passé, on oublie."
  • Plus tard concernant la liste des points abordés lors de nos réunion en commission depuis décembre 2014, (liste en fin de CR du 30 mars 2017, "Avec seulement une petite moitié de points traités") de façon péremptoire l'élu répond :
    "Les points principaux ont été traités." (Circulez. ...)
  • Ayant utilisé le mot "moitié" pour posant ma question au sujet des points restant à traiter, un autre élu a eu l'occasion de la placer :
    "C'est l'histoire du verre à moitié vide. ..."
Sauf la 4ème photo, où il faudrait examiner de plus près le niveau de ventilation, les trois autres photos ne rapportent que des faits. Conclure de prime abord que "Les points principaux ont été traités." peut paraître pour le moins "un peu court" pour le lecteur ?

Pour la petite histoire, les 2 photos concernant le réservoir sont d'hier, avant de prendre des photos de la station de remplissage, un camion conduit par le maire m'a doublé (sans problème, j'étais à pieds.). Comme moi il a passé à côté de la station de remplissage, à pieds on voit la fuite, proche de devenir un filet continu, depuis la route.
Ce matin, en préparant cet article, j'ai revisité sur Google "Raymond Plombier". Etant dans le cas grosse fuite, je suis retourné à la station de remplissage sans tasse de 23 cl, mais avec un autre récipient de mesure.

Donc pas besoin de politique politicienne ici pour l'eau agricole, seulement quelques règles de trois pour estimer le gaspillage annuel par négligence ou suite à ne pas vouloir tenir compte les points abordés en commission eau.