vendredi 27 septembre 2019

Ecole



Le chantier école a débuté en juillet 2018.
Voir article du 21 juillet 2018 :
https://vallabrixbm.blogspot.com/2018/07/chantier-ecole.html


Le Républicain d'Uzès du 29 août 2019 a publié un article au sujet de l'école du village.

C'est l'occasion de prendre connaissance de l'avancement du chantier.



Dans l'ensemble, cet article informe, même si parfois, le ton est un peu trop promotionnel.
Peut-être aussi, quelques raccourcis malencontreux, dont "Actuellement éloignée du centre, l'école sera rapatriée à proximité de la mairie" (! ?) . 
Consulter le plan joint en début de page aurait permis de remarquer que le texte retenu ne correspond pas.

L'imprécision sur le biopropane n'est pas trop pédagogique, sans aller dans le détail, le biopropane est obtenu à partir de la biomasse qui peuvent être parfois des déchets genre huiles de friteuses, ou huile de palme "neuve" parfois au détriment de la biodiversité.

Avec Primagaz qui serait le fournisseur de biopropane pour l'école semble plus respectueux de la biodiversité que d'autres fournisseurs. 
Actuellement biopropane Primagaz comporte 66% de déchets de la biomasse avec engagement d'augmenter ce pourcentage.
Primagaz commercialise le biopropane de Neste (Hollande) qui s'approvisionne en huile végétale auprès de producteurs sélectionnés respectant la durabilité (sans déforestation par exemple).


Pour en savoir plus :



vendredi 20 septembre 2019

Conseil municipal

Le dernier compte-rendu du Conseil municipal du 25 juillet n'a pas été publié sur le site communal probablement à cause de la période de congés.


A lire ci-dessous :


mardi 10 septembre 2019

Actualité pesticides


Au sujet de la distance "sanitaire" de 5 ou 10 mètres des habitations pour l'utilisation des produits phytopharmaceutiques pesticides, site officiel pour donner son avis :


Titre sur la page d'accueil :

Consultation publique sur un projet de décret et un projet d’arrêté relatifs aux mesures de protection des personnes lors de l’utilisation des produits phytopharmaceutiques à proximité des zones d’habitation.


Ceci est une chose (5 ou 10 mètres), même si probablement, il n'y a pas grand chose à en attendre. 

Il serait d'abord utile de rappeler aux utilisateurs de ces pesticides qu'il y a des préconisations sur les emballages de pesticides, dont la vidange et rinçage du matériel sur les lieux du traitement et non proche d'une ressource en eau comme la photo ci-contre le montre.



Mon expérience sur ce site "Consultations publiques" laisse subsister des doutes quand à savoir si mes remarques sont arrivées à destination.
Le site indique une erreur à deux reprises, par contre un courriel émis par le "robot" du site accuse réception de ma première tentative ?

Si ce sujet tient à cœur, chacun peut tenter sa chance.

Résultat en trois images (ou pages) issues de copier-coller :



Au sujet des pseudo associations (fin de la seconde page écrit en orange), revoir en fin d'article de quoi il retourne. (Exemple parmi d'autres.)
https://vallabrixbm.blogspot.com/2018/07/pesticides.html

Autre lecture non sans intérêt :
https://travail-emploi.gouv.fr/archives/archives-courantes/metiers-et-activites/article/phytosanitaire-utilisateur-de-produits-phytosanitaires-ou-phytopharmaceutiques 
Cet article de bonne source confirme que ces produits phyto sont bien des pesticides utilisés pour la "santé des plantes".

vendredi 6 septembre 2019

Surpresseurs

Le gonflage du ballon en air doit se faire ballon vide d'eau.
La vanne de vidange d'eau n'existe pas.

Ci-dessous un rapport concernant l'intervention de l'installateur sur notre ligne de surpresseurs mise en route fin 2013 au réservoir d'eau potable.



Le commercial, qui a quitté l'entreprise depuis, nous a vendu cette installation de surpresseurs comme on vend un paquet de lessive "qui lavait plus blanc que blanc". 


De plus, compte tenu du montant des travaux de 27 181 €HT en 2013, il a fallu prendre un "bureau d'études" maître d'oeuvre probablement proposé par le commercial.
Comment ont été faites ces études, quel niveau de qualité ?
Avec le temps, des habitudes du siècle précédent qui perdurent, où on pouvait faire confiance aux fournisseurs seraient à revoir, les mentalités changent, certains intervenants "Eau Assainissement" sont en quasi position de monopole local auprès des petites municipalités.

La lecture du rapport d'intervention ci-dessous qui n'a pas suscitée de remarques de la part de l'installateur met en évidence pour le moins d'un mauvais choix. 




Intervention Canonge (22 août 2019)

Objectifs : Exposer nos besoins et optimiser la programmation des surpresseurs.
            Ces points avaient été abordés lors de la réunion du 16 juin 2019.

Etaient présents : Clément Larguier pour Canonge
                                    Bernard Rieu (Maire) et Michel Voisin (commission eau) pour Vallabrix.

Premiers constats : Sur le site, au réservoir.

La consommation d’eau semblait plus importante entre 9 h 30 et 10 h 30, durée de fonctionnement des surpresseurs un peu plus longue mais fréquence de démarrage encore trop importante au détriment de la durée de vie des surpresseurs. Ces mauvaises conditions de fonctionnement remontent à bientôt 6 ans.
Ces mauvaises conditions de fonctionnement sont-elles dues à un mauvais choix de matériel qui peut s’exprimer en gros « surdimensionnement des surpresseurs de l’ordre de 3 fois trop ».
Nous avions besoin de 0,8 bar, nous en avons 2,8.
Fiche signalétique surpresseurs.
Débit max 45 m3/h s’entend avec les 3 pompes en fonctionnement, donc 15 m3/h par pompe.
L'autorisation de captage est de 28 m3/h 10 heures par jour au maximum ?

Néanmoins, Clément Larguier a pris contact par téléphone avec un technicien agréé de la marque KSB de nos surpresseurs qui confirme ce mauvais choix initial.
Toutefois, bien que l’usure prématurée soit là, quelques modifications du programme peuvent améliorer le fonctionnement.

1)    Fréquence délivrée par les variateurs de vitesse 50 Hz ramenée à 40 Hz.
Sous 50 Hz, les pompes tournent à 3 000 tours/mn env., sous 40 Hz à 2 400 t/mn.
A 2 400 T/mn, le débit en m3/h (15 par pompe) et la pression (2,8 b) sont plus faibles, et se rapprochent « un peu » de nos besoins.

2)    Temps de fonctionnement mini de chaque pompe passe d’une minute à 5 mn.
Nette amélioration du fonctionnement des surpresseurs dont constat du mode régulation actif, la pression délivrée 0,7 bar maintenue à ± 0,1 b. Par moment 2 pompes en fonctionnement pour soutenir le débit devenu plus important, (Cas de figure prévu par KSB).

3)    Ajustement de la consigne de régulation après essais, passe de 0,7 à 0,8 bar afin de garantir 0,7 b mini en plus dans le réseau.
Les pointes de pression à 1,5 b (40 fois par heure) s’en trouvent supprimées, les pompes tournent quasi en continu en se relayant les unes après les autres (Fonctionnement normal).

En quelques manipulations, Clément Larguier a optimisé le fonctionnement des surpresseurs tel qu’indiqué sur les documents KSB, ou, au mieux avec ce qu’on a. « Merci Canonge ! » 
Le maire m'a appris que cette prestation ne sera pas facturée, à prendre comme une reconnaissance de l'erreur de choix initial, mais après près de 6 ans !

Ballon anti-bélier, réservoir surpresseurs, etc. Quel volume ?

Les avis divergent, premier constat de Clément Larguier, le ballon anti bélier actuel en mauvais état de 300 litres suffit pour assurer le bon fonctionnement.
Pour mémoire, pour nos surpresseurs « standard » utilisés dans les conditions prévues par la fiche signalétique, un réservoir de 8 litres suffit techniquement selon KSB.
Par ailleurs, sur des documents d’un des sites KSB, il est conseillé de prévoir un réservoir plus important afin de pallier aux fuites potentielles du réseau.
Extrait :


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Soit, en journée, avec un débit conséquent en sortie de réservoir, le ballon actuel suffit, il faut donc constater comment se comportent les surpresseurs avec un débit faible, donc au milieu de la nuit, chose faite le 23 août vers 02 h. le débit était de 110 litres/mn (*) (6,68 m3/h mesurés).

Temps de fonctionnement de chaque pompe 5 mn (comme programmé), arrêt 1 mn.
Résultat suite aux modifications du programme, de 40 cycles heure, nous sommes à 10 cycles heure. Recommandations KSB 20 cycles heure maxi pour cette taille de surpresseurs.
Les consignes KSB sont bien respectées.

(*) Le ballon actuel en bon état, gonflé à 0,7 b, permet de stocker une centaine de litres d’eau, soit une durée d’arrêt majorée d’une minute, le temps de cycle serait de 7 mn soit 8,5 cycles heure. C’est négligeable (et cher payé à plus de 3 300 €, total offre du 5 août 2019).

Un contrôle de nuit à 02 h montre que le volume du réservoir surpression a peu d’incidence sur le fonctionnement des surpresseurs. (Rappel, Seulement un volume de 8 litres en version standard KSB).
Un réservoir de 100 litres en inox sans vessie suffirait amplement, nettement moins onéreux que 2600,96 €TTC de l’offre du 5/8/19, (Pour info 100 l en inox : 738,75 €TTC, exemple soumis à Canonge le 24/8), maintenance facilitée avec un niveau visuel d’eau, pas besoin d’être gonflé à l’air, seulement vidange d’eau de temps à autres.

Par contre, au milieu de la nuit, les longues pointes pression (quasi 5 mn sur les 6 mn du cycle) envoyées dans le réseau montent entre 1,5 et 1,7 b.
A part amplifier le volume de fuite du réseau et éventuellement les fuites de chasse d’eau défectueuses d’abonnés, augmenter inutilement la facture EDF, il n’y a pas d’intérêt de surpresser la nuit, mettons de 23 h à 06 h.

Ne serait-il pas judicieux de mettre à l’arrêt (automatiquement) les surpresseurs de 23 h à 6 h, économies d’eau et d’électricité en retour.
Lorsqu’il y a une faible consommation, dont de 23 h à 6 h, les abonnés aux points hauts du village sont moins pénalisés par 0,8 b en moins dû à l’arrêt des surpresseurs. Un hydraulicien pourrait le confirmer.