samedi 18 novembre 2017

Gazette N°67

Ici, une lecture "entrelacée" de la Gazette N°67 de quelques articles en lien avec des publications qui peuvent être relues sur ce blog.
Cette Gazette N°67 est publiée sur le site parrainé par la Municipalité, lien ci-dessous : 
Page de couverture
Je me limite sur les sujets que je pense connaître un peu :

  1. Place de l'Horloge et Abrix-Bar
  2. Ancien captage et gaspillage de la ressource en eau (de dépannage).
Le but de cet article n'est pas de donner des leçons, ce ne sont que des constats qui devraient donner à réfléchir et non qualifié de "Critiquer pour critiquer" par refus de voir la réalité telle qu'elle est.
Si on tient compte de la réalité, il est possible d'apporter de meilleures réponses, humblement, en sachant que ça ne sera pas parfait pour autant, mais on aura fait au mieux avec les moyens financiers engagés. Pour le même prix, si ce n'est parfois moins cher, nous aurions un meilleur rapport qualité/prix à minima.

Place de l'horloge et Abrix-Bar.
Extrait d'un article du Groupe Protection Nature (GPN), suivi d'extraits d'un article concernant l'Abrix-Bar. Aucune intention de sortir des extraits du contexte. Le lien vers la Gazette N°67 est disponible en haut de page, les articles complets sont donc à disposition du lecteur.

Cet artifice d'extrait d'articles permet de mieux suivre l'idée développée.

Ce serait un sujet de problème "calcul de probabilités" à pauser au célèbre mathématicien médiatique maintenant élu député, je ne fais que poser le problème, mon niveau en maths suffisait en mécanique, mais insuffisant pour déterminer un pourcentage de probabilité de ce qui suit : 
  1. Imaginez une foule de 200 ou 500 personnes, parmi cette foule, probablement des dizaines de familles vont transiter Place de l'Horloge dont la petite surface se mesure en are(s ?) et non en hectare(s) soit 100 fois plus, un hectare serait bien utile ici au regard du succès de l'Abrix-Bar.
  2. Gazette N°67
  3. Imaginez quelques familles de deux adultes avec enfants, adultes légèrement grisés, certaines cases du cerveaux peuvent commander des actes involontaires, si en plus les enfants sont à l'abade, donc en "liberté". En liberté, les enfants jouent, c'est de leur âge, c'est un signe de vitalité, de joie de vivre, un passage de la vie indispensable pour avoir des têtes bien faites.
Problème, la liberté a des limites, elle s'arrête là où commencent celles des autres, dont le respect dû aux plantations de GPN, (codé GP10-17 dans certains de mes articles pour plus de respect de l'anonymat, ne pas viser une personne précise par principe).

Ajout du 2 août 2018, encore mieux pour le BIM : (800 participants)


Ainsi le problème est posé aux mathématiciens pour obtenir une réponse sur le pourcentage de probabilités que "le manque de respect involontaire" se reproduise à la prochaine saison de l'Abrix-Bar malgré les aménagements apportés.
GP10-17 a amélioré bénévolement (*) l'aménagement de la Place de l'Horloge suite au "manque de respect involontaire" par des chemins dallés, je crois savoir, ces chemins seront balisés par des plantations plus dissuasives, donc plus respectables naturellement.
Peut-être un architecte urbaniste, avec les données des points 1. et 2. aurait proposé un autre aménagement moins vulnérable au "manque de respect involontaire" tout en limitant trop de voitures en stationnement "laid", et tout en favorisant une circulation plus aisée des piétons à mobilité réduite.

(*) Bénévolat ? Au passage, certains bénévolats bien visibles de tous, sont mieux traiter que des bénévolats pourtant tout aussi d'intérêt général en visant l'économie des deniers publics, mais non visibles, car sous terre pour l'eau ou car dans un clocher devenu pigeonnier que personne ne voit
Donc pas de profits immédiats à tirer d'où ces galères avec pour seule explication : "Toujours dans la polémique" pour botter d'office en touche et visant à faire ignorer l'utilité. Que d'énergie nécessaire pour monter qu'une autre interprétation positive serait envisageable.
L'espoir n'est possible qu'avec ténacité, trouver un moyen pour convaincre, faire réagir, (1) , à partir  d'une extrême minorité de ceux qui restent à l'écoute
(1) Genre dépôts de courriers + enregistrements en mairie, parfois qualifiés "Mel"  incendiaires sans plus de précisions, pour avoir enfin une réaction, mais par "LR/AR" du 3/11/17 façon "involontairement quelque peu diffamatoire".
De ce point de vue, la mise en place récente des permanences des élus va dans le bon sens. 
Je pense avoir inauguré ces permanences le 17 novembre 2017. Enfin j'ai été entendu dans la sérénité, l'espoir est donc revenu possible. A suivre !

Encore un détour de quelques lignes avant de rappeler mon point de vue sur GP10-17.
Un rappel concernant le sens des mots qui perdent leur sens initial. Le sens des mots est déformé par l'abus généralisé de "Com." pour faire avaler une pilule, l'exemple vient de très haut, il vient d'être découvert que "Réforme" est quelque chose qui déplaît aux français, désormais le mot "Transformation" sera utilisé, en pratique l'objectif initial ne change pas.

Nuance entre "Sécurité" et "Secours", pas simple de rester serein s'il y a confusion sur le sens des mots. Les secours sont curatifs lorsque les règles préventives de sécurité n'ont pas été pensées en amont
Un investissement préventif de sécurité limite la nécessité impérieuse du curatif dont le coût peut ne pas être estimable si la prévention (Sécurité) n'a pas été traitée. 
Donc, ce serait en cas de chute dans l'escalier du clocher : "Responsabilité" avec faute de l'administration, et faute partagée par le bénévole, ou l'employé municipal même assuré par la municipalité. Si la sécurité est pensée : port d'un casque + harnais équipé de 2 mousquetons adaptés à la corde faisant office de rampe d'escalier, l'accident sera normalement pas létal, mais seulement limité à une chute banale avec bleus, entorse ou membre cassé, le lot d'une vie active normale.

Précaution utile pour ne pas me faire dire ce que je dis pas : Je respecte et reconnais le travail bénévole GPN.
En conséquence, il ne faut pas conclure que GPN est inutile, mon but est de faire sentir le sens d'origine des mots parfois dévoyé pour une meilleure Com. ou parce que ça "sonne mieux".
Ce qui importe de connaître est le véritable objectif qui peut-être tout aussi noble avec des mots sens originel sans double langage possible.
Donc :
N'y aurait-il pas confusion entre "Nature"  et "Embellissement" chez GP10-17 ?
Auparavant en 2008 "Ecologie" ou "Environnement" que s'attribuaient des participants d'un "GPE" dirigé par une élue, GPE baptisé commission ... ? à l'époque qui réellement était de l'embellissement qui a aussi son utilité s'il ne vient pas au détriment de l'écologie.
Pour mémoire un ancien président de la République avait utilisé l'expression : "les ayatollahs de l'écologie", qui a une audience dans des têtes dont celle d'un président américain.

La "Nature" c'est aussi économiser la ressource en eau. 
Embellissement est l'objectif concret visible qui résulteront des plantations Place de l'Horloge, les premières plantations "piétinées involontairement" ont nécessité arrosage, donc besoins en eau, de plus aggravé par la sécheresse sévère de cet été.
Si les plantes d'embellissement ne sont pas adaptées au terrain, au climat, c'est contre "Nature".
Ceci "contre nature", pourrait être un reproche si nous entrons dans des périodes de sécheresse dures et fréquentes.
Ce n'est que mon avis sincères sans arrières pensées, à chacun son opinion, je le rappelle.

Ancien captage et gaspillage de la ressource en eau
Pour une bonne gestion de l'eau, il me semble indispensable de tout prendre en compte afin d'apporter la bonne réponse. Si on ne tient pas compte de tous les éléments, il est probable que la réponse apportée ici dans "Gestion des prises d'eau" n'apporte rien, de plus privera la majorité des petits consommateurs sans empêcher les abus constatés.
Pour mémoire, lien vers le Compte Rendu de réunion où "Envisagé une horloge" provient.
https://vallabrixbm.blogspot.fr/2017/10/commission-eau-assainissement-compte.html
Je suis arrivé en retard à cette réunion, le sujet "envisagé" une horloge était traité.
Limité à une heure le matin et à une heure le soir n’empêchera des abus cités, seulement limiter le nombre d'occasionnels qui ne font pas partie nécessairement de ceux qui abusent.
Ceux qui possèdent des sulfateuses de grandes capacités devenues silencieuses de par l'usage détourné qui en était fait auront toujours la possibilité de faire le plein à la station de remplissage, il leur suffit d'être contribuable "Taxe Foncière non bâti" sur Vallabrix.

Autre réflexion non avenue si on veut vraiment s'en prendre au gaspillage et freiner les abus :
"On ne change pas une pompe de 12 m3/h qui fonctionne" selon les autorités, point de vue que je ne partage pas à cause du gaspillage engendré.
Avant que la pompe d'origine ne gèle, tous s'accommodaient de 3 m3/h liés à la capacité de la ressource.
Quelques indications simples devraient être suffisantes à qui veut bien entendre :

  1. Supposons une demie heure pour laver une machine à vendanger :
    Pompe 12 m3/h = 6 m3 d'eau nécessaire.
    Pompe 3 m3/h = 1, 5 m3 d'eau nécessaire.
    Economie 4,5 m3, soit pour 4 à 10 consommateurs occasionnels.
  2. Supposons être en présence d'un pompe de 3 m3/h comme à l'origine.
    Pour remplir une cuve de 3000 litres il faut une heure, ça peut être dissuasif.
    Sachant que cette catégorie de consommateurs dispose généralement de la station de remplissage à titre également gratuit, ne seraient éventuellement pénalisés que par le temps de trajet suivant où se trouvent les plantations à arroser.
  3. Qui a validé le surdimensionnement de cette pompe 12 m3/h au lieu de 3 m3/h ?
    Ce n'est pas la commission eau, elle n'est que très, très rarement consultée avant commande.
  4. Subsiste pour les utilisateurs occasionnels, non autorisés à l'eau gratuite de la station de remplissage, la possibilité de tirer un m3 à son domicile, durée 40 minutes, prix du m3 pour 120 m3/an est seulement de 4,23 € assainissement compris.
Si on me le demandait, j'ai une solution simple sans indiquer précisément comment, assujettir le fonctionnement de la pompe à un temps de présence correspondant à une quantité possible, par exemple 20 minutes, mais avec une pompe de 3 m3/h qui permet un volume d'un m3 déjà conséquent pour une majorité d'utilisateurs professionnels ou occasionnels.
Une sirène ou bruiteur dissuasif  au bout de 20 mn écoulées peut aider à se satisfaire d'un m3.
Il faut que les utilisateurs sachent pourquoi ça "klaxon". (Via arrêté du maire par exemple.)
Ainsi celui qui lave sa machine à vendanger va s'organiser pour moins gaspiller, voire bien laver, mais sans excès de consommation d'eau.
Si quand on veut on peut changer une pompe qui fonctionne d'autant plus que celui qui l'a installé n'est pas blanc comme neige, c'est une porte de négociation d'un prix plus serré.

Celui qui veut plus qu'un m3 repassera plus tard, le temps que d'autres bénéficient d'un peu d'eau.
Je pense qu'un tel agencement ne serait pas ruineux, mais ne serait pas de compétence Alliance Environnement, plutôt de compétence "sécurité" comme pour la sécurité d'accès mairie.
Il n'y a pas lieu d'installer une pendule à 13 coups si le problème est bien posé par écrit après prise d'infos de faisabilité limitées au besoin spécifique. Un écrit façon cahier des charges même seulement en quelques lignes est une garantie devenue indispensable pour un meilleur rapport qualité/prix.

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Pour clore cet article vers plus d'optimisme, quelques distinctions qui contribuent à une bonne image de Vallabrix :


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