vendredi 1 décembre 2017

Que devient l'horloge ?

Attention : Article rédigé fin octobre avant réception le 4 novembre 2017 d'une lettre "LR/AR" de la marie. Le lecteur doit se replacer fin octobre pour le contexte de rédaction.
Lettre "LR/AR" probablement rédigée dans la précipitation sans tenir compte des responsabilités "sans faute" ou "avec faute(s) de l'administration.
L'accès au clocher est déclaré dangereux par un conseiller, et reconnu dangereux  en Conseil municipal en questions diverses.
S'il s'agit d'un intervenant bénévole (c'est mon cas), c'est une jurisprudence Responsabilité "sans faute" de la Municipalité qui serait applicable en cas d'accident. Soit une procédure "de routine" pour traiter les conséquences.
S'il s'agit de l'employé municipal qui est envoyé remonter (chaque semaine) l'horloge maintenant qu'il est reconnu et su que l'escalier d'accès à l'horloge est dangereux, en cas d'accident, sans avoir mis en place des consignes et moyens de sécurité appropriés, il y aura "faute" de l'administration, c'est à dire ici de la Municipalité. Le traitement des conséquences de l'accident pourrait prendre une tournure d'une autre ampleur. Pour une municipalité, c'est le maire en porterait la responsabilité. 
Peu probable que cet aspect eût été envisagé lors de la rédaction de cette "LR/AR".
Cet ajout date du 21 novembre 2017, des éléments nouveaux sont en cours à la suite de cette LR/AR, lorsque ces éléments nouveaux seront stabilisés, un article sera rédigé.

Retour à la rédaction d'origine de fin octobre 2017.
Commission horloge.

C'est nouveau, parait-il abordé ou seulement évoqué en Conseil Municipal (CM) du 19 octobre 2017 en questions diverses. Source BP10-17 par téléphone le 20 octobre.

Aucune trace sur le compte rendu du CM. (Photo plus loin prise le 23 octobre.)


Cette affaire de descendre l’horloge au pied de l’escalier du clocher est géniale, mais très lourde techniquement et financièrement.
Monsieur T. a discuté avec son ami spécialité horloger d'édifice sur l’idée de descendre l’horloge au pied de l’escalier du clocher.
J’ai fourni des infos complémentaires sur la place dispo. Je sais que Monsieur T. m’a lu suite à nos échanges de courriels.
Ci-dessous quelques précisions en vu d'une commission horloge, extrait de mon message du 20 octobre à destination du maire et adjoints, copie au professeur T.

Descente de l’horloge au pied de l’escalier :
Quelques indications "Pied escalier"
1)      Dans l’état de l’entrée de l’escalier mission impossible, cause place insuffisante.
2)      La faisabilité de trouver de la place et autres options passe par l’avis d’un architecte.
3)      Les nouveaux châssis (meuble horloge, agencement des poulies de renvoie des câbles) nécessitent des études, voire certificats de sécurité.
4)      Il faudra réviser et modifier la transmission du mouvement aux 3 cadrans extérieurs.
5)      Remettre en service l’horloge. (Qui ?)

Je souhaiterais que l’Ecole Horlogère de ... indique ses limites de fourniture ou confirme pour le Maire, ce que je pense avoir compris.
Ce qui peut se résumer ainsi à quelques détails secondaires près:
Prise en charge par l’Ecole de l’horloge livrée en ses locaux en Suisse durant 3 à 4 mois pour restauration gratuite et remise à disposition pour transport.
Donc restent toutes les parties en gras soulignés des 1) à 5) où il faut un maitre d’œuvre.
Je pense que Monsieur T. est en mesure de faire part de son avis sur cette première partie « Limite de fournitures ».

A part un horloger d’édifice de terrain, ou un architecte qui d’autres peut être maitre d’œuvre dans cette affaire qui sera lourde.
(Probablement une part non négligeable du produit de la vente de la maison ronde = 230.000 € ?)

L’idée d’une commission est bonne, il n’y a pas que des horlogers qui sont concernés, de plus un seul possible de Vallabrix.
Si on prend conscience de la lourdeur de l’affaire, je pense qu’il faut prendre l’affaire horloge autrement, se rendre à une réunion de commission les mains dans les poches ne présente aucun intérêt.

Il faut prendre en compte d’autres éléments :
1)      Faire établir un devis de révision sur place (si c’est possible) par un professionnel de terrain, par exemple les Ets. P.. (Anti-pigeons compris.)
2)    Pour la variante "restauration par l'Ecole Horlogère Suisse" avec un maître d’œuvre horloger d’édifice (Démontage horloge, remise en place, câbles, poids. … etc. …, ce n’est pas de compétence déménageurs.)
3)      Ordre de grandeur architecte aménagement pied du clocher si descente de l’horloge (compris réglementation sécurité) et du reste compétence horloger d’édifice.
4)      Même très bien restaurée ou révisée, cette horloge reste une pièce de musée qui nécessite un minimum de « savoir-faire » qui va au-delà de l’horloge des grands-parents. Je crains que ce « savoir-faire » ne soit encore connu de « monsieur lambda » ? Donc envisager une horloge électrique.
5)      Découle devis horloge électrique et possibilité d’exposer ce bijoux actuel dans un lieu public genre médiathèque faute de mieux à Vallabrix. Ou, voire future école ? (Comme pour la tour de l’Horloge de St Quentin.)
Sans avoir une idée des coûts de chaque variante, comment décider ?


Avec tous ces éléments, la commission horloge pourrait travailler concrètement et ouverte à plus de Vallabrixois, pas seulement à des spécialistes du métier horloger.
Rien d'officiel concernant l'horloge ?
Au passage, compte rendu plus laconique "tu meurs !" et près de 2 heures de délibération !
Point 1) Simple formalité administrative 5 minutes maxi.
Point 2) Sans objet 5 minutes maxi.
Reste un heure trois quarts pour délibérer sur quoi ?
Le 25 octobre 2017, bonne nouvelle, le professeur T. a répondu à mon message du 20 octobre après avoir consulté son ami horloger d'édifice en retraite susceptible de conseiller, voire participer aux opérations démontage remontage y compris intervention sur les mécanismes cadrans extérieurs.

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