vendredi 13 octobre 2017

Commission E & A - CR commenté

Abréviations du titre E & A = Eau & Assainissement ; CR = Compte Rendu.
Finalement, avec 45 mn de retard à cause d'un rendez-vous fixé avant la convocation à cette réunion, j'ai pu assister à la réunion du 19 septembre 2017.
En l'absence du sachant (l'intervenant sur les installations Eau & Assainissement), j'avais envisagé de ne pas assister à cette réunion, c'était une erreur, les absents ayant toujours tord.
Modestement, je pense que ce n'était pas inutile aussi bien pour préciser mon point de vue que pour bien comprendre celui des autres membres de la commission.
En l'absence de sachant, subsistent des points où des pratiques à risques perdurent en l'absence d'informations de bonne source. 
L'idéal serait d'utiliser les services techniques du département destinés aux communes comme la nôtre qui ne disposent pas de services techniques, notre commune cotise pour bénéficier de ces services, qui plus est : neutre commercialement.
Dommage de ne pas y penser d'office !

En début de mon article du 16 septembre 2017, j'écrivais que ces réunions, telles qu'organisées étaient des réunions d'informations et non des réunions d'aide aux prises de décisions après discussion. Ici un exemple concernant le point "Réflexion sur l'ancien captage".
Cette ressource en eau s'est tarie suite à la sécheresse qui entraîne une forte sollicitation de cette ressource à laquelle s'ajoute la période traditionnelle de vendange où cette ressource est également utilisée pour laver les machines à vendanger.
L'électricien, intervenant sur l'éclairage public a été mandaté pour vérifier le bon fonctionnement du pompage. Rien à signaler, en état de marche, confirmation de présence du capteur "manque d'eau" au fond du puits comme prévu afin de protéger la pompe. (Coupure de l'alimentation électrique pour ne pas fonctionner à vide = détérioration définitive de la pompe.) 
A l'occasion l'interrupteur de mise en marche de la pompe a été changé, le précédent fonctionnait ?
Tout laisse penser que la "Réflexion sur l'ancien captage" était bien avancée avant la réunion ?

Au 20ème siècle, même avec un presse étoupe (étanchéité sur l'entrée d'un câble électrique dans un boîtier), la réglementation (de bon sens) imposait d'arrivée au-dessous du boîtier selon l'exemple de l'ancien interrupteur.
Au 21ème siècle la réglementation, voire le bon sens ne sont plus les mêmes ?
Grand merci à ceux qui me lisent !
CR de réunion définitif. Validé par défaut (Absence de remarques des membres de la commission sous huitaine, soit avant le 27 septembre 2017)
Les passages en écriture bleue sont des commentaires ajoutés après la réunion, je ne désespère pas faire passer un jour des remarques qui vont vers des économies des ressources en eau, pour cette raison, il me semble que certains rappels peuvent servir à la longue. 

Compte rendu de la réunion du 19 septembre
Ordre du jour du 13/9/2017 :
·         Travaux au captage, tuyau à remplacer.
·         Remplacement vessie du ballon de 200 litres des surpresseurs.(A l’origine : Remplacement vessie surpresseur)
·         Remplacement vanne station de remplissage.
·         Réflexion sur le fonctionnement de l’ancien captage.
·         Questions diverses.

Étaient présents : Bernard Rieu (Maire), André Béteille (Adjoint), Hervé Depasse (30 mn au début), Guy Vignal, Jérémy Bonnaud et Michel Voisin (retard 45 mn)
Était absente excusée : Régine Greer
Non conviés : Nicolas Bouvard (Alliance Environnement (AE)) et Nicolas Mourbrun employé municipal.

1.        Travaux au captage (Tuyau à remplacer) – Sujet en cours de discussion à mon arrivée.
Une photo vaut mieux qu’un long discours : A été utile pour recentrer et clarifier les discussions.

Aide à la discussion en salle de réunion en l'absence de visite du site.
Peu de membres de la commission ont lu mon CR par anticipation. Le plus important ne se fait pas en réunion, mais entre les réunions.
Le tuyau de couleur bleu à refaire se situe en bas à droite de la photo.
En cause l’oxydation importante au niveau de la soudure du manchon recevant un robinet de purge de la conduite allant au réservoir, également utilisé pour recueillir des échantillons d’eau pour analyse.
Pour l’instant il n’y a pas péril dans la demeure, sauf s’il y a rupture totale de la soudure.
Il en résultera une fuite permanente incontrôlable, donc à subir durant le pompage, ensuite vidage de la conduite allant au réservoir.
Pour info : Volume d’eau contenue dans cette conduite = 28 m3. (Données de base source Cereg Ing. -Schéma Directeur EP-, cette conduite est longue de 2336 m en fonte Ø 125 mm, au passage, ici et au réservoir ce n’est pas de la fonte mais de l’acier non inox).
C’est une réparation obligatoire si possible en période de basse consommation, le réservoir de 180 m3 ne sera plus alimenté en eau pendant une grande partie des travaux.

Combien de temps sans alimenter le réservoir ? (Là je « n’imagine pas », je ne suis pas du métier.)
Ce sera un chantier relativement lourd, il faut retrouver la suite du tuyau bleu autour du cabanon.
Ensuite le chiffrage de AE sera possible.
On me parle de possibilité de carottage dans le béton du cabanon, de rejoindre la conduite allant au réservoir en creusant sous le cabanon.
Pourquoi pas, mais un peu du travail en aveugle pour enfiler un gros tuyau avec des coudes ?

Personnellement, après avoir mis au jour le départ du cabanon de la conduite allant au réservoir, je sens mieux de traverser le mur du cabanon à l’horizontal, en ligne avec le dernier tronçon de tuyau inox. De travailler dans de meilleures conditions à la fabrication du tuyau de remplacement.

Chlorage non conforme :
Quand j’ai vu le maire, il a abordé le sujet « Tuyau à remplacer », mais pas le sujet chlorage non conforme.
Or c’est l’occasion opportune de corriger, coût quasi nul, un bossage seulement en plus à prévoir !
Si le maire ne le signale pas, EA ne prendra pas l’initiative, c’est regrettable, par ailleurs, EA est le sachant, il a un devoir de conseils envers les élus.
Ici, j’insiste pour la mise en conformité du chlorage. A inclure dans le devis et la commande.

Après discussion sont retenues :
1)      Traversée du mur à l’horizontal, le hors gel du tuyau extérieur n’est pas un problème, (du simple tas de terre, ou caisson rempli de terre comme à l’ancien captage, etc.).
2)      Mise en conformité chlorage.
3)      Mise hors crues de la pompe chlorage à gauche du coffret électrique. (Voir photo page 1)
Et, je rappelle que cette non-conformité chlorage est du fait de Lauriol, de moins de 10 ans, prédécesseur de AE, un geste commercial serait donc logique.

2.        Remplacement vessie sur le ballon de 200 litres des surpresseurs.

Idem légende précédente image, où se situe cette vessie défectueuse sur site.
Ce ballon sert à éviter les coups de bélier sur le réseau, à « réguler » les arrêts /démarrage des surpresseurs. Lorsque la consommation d’eau est faible, le ballon est rempli d’eau, les surpresseurs s’arrêtent ballon plein (pression = + 0, 7 bar env.), lors d’une nouvelle augmentation de consommation d’eau, le ballon se vide, la pression chute, à un seuil de pression prédéterminé les surpresseurs se mettent en marche.
Cette vessie sépare le ballon en 2 parties, une partie réserve d’eau, une partie chambre à air comprimé re gonflable comme une roue de vélo.
Cette vessie est très sollicitée, la demande en eau fluctue en permanence au cours d’une journée, le ballon se vide, se remplit, agit sur la vessie en permanence.
Dans notre cas la pression d’utilisation est de 0,7 bar avec une tolérance en plus ou en moins, côté « chambre à eau » idem côté chambre à eau.
Un manomètre permet de vérifier les valeurs de pression coté air ou côté eau par un jeu de vannes pour la sélection du côté. Info importante à connaitre pour le suivi de l’installation surpresseurs.
Pour diverses raisons, selon AE, cette vessie peut se percer (après 1 an ou 20 ans d’utilisation) et ne plus remplir sa fonction.
Parmi ces raisons, une maintenance peu suivie peut être la cause d’endommagement de la vessie, AE a prévu une formation de maintenance afin de s’affranchir du risque de défaut de maintenance.
A noter : l’employé municipal a été en arrêt maladie de longue durée, habituellement visite hebdomadaire des installations et relevé des compteurs captage réservoir avec saisie des relevés sur un tableur. 49 jours se sont écoulés entre 2 saisies ?. J’avais pris soin de demander à l’adjoint chargé de l’eau qui assurait les visites et relevés en l’absence de l’employé, il m’a répondu que le service était assuré.
Dans le cas où une personne ne peut pas assurer le service « intérim », il serait naturel d’informer la commission afin de trouver une autre personne qui tient ses engagements.

Je souhaite être informé du jour de cette formation et de suivre cette formation, ce n’est pas à AE de m’y convier, c’est à un élu de m’y convier.

Pour regonfler cette chambre à air, il faut un « tout petit » compresseur sur place pour rendre l’opération de maintenance moins désagréable et immédiate. Un mini compresseur de bricolage devrait suffire.
Je suggère un geste commercial, que AE reprenne la pompe de cave devenue inutile après avoir recréer l’existant (trous d’évacuation d’eau au point bas du local) et remplace cette pompe par un mini compresseur.
Ce n’est pas la tasse de thé, ni la volonté du maire de marchander, pourtant c’est un des moyens pour économiser les deniers de la régie d’eau d’autant plus s’il y a eu intervention inutile.
D’après Jérémy, une pompe à vélo suffit, en l’absence de AE en réunion, j’attends la formation prévue pour confirmer. (Très faible pression 0,7 b, certes, mais grand volume si j’ai bien compris ?)

Hors CR : Infos ultérieures à cette réunion prises auprès d'un frigoriste / chauffagiste : "En partant de la pression atmosphérique, augmenter la pression que de 0,7 bar avec une pompe à vélo nécessite beaucoup d'huile de coude pour un ballon de 200 litres, pour un appoint peut-être une pompe à vélo quand on ne dispose pas de compresseur ?"
Ces explications mon remémorées des souvenirs d'une sous station de chauffage de mon immeuble que j'ai suivi années 80 à 2005, il y avait 2 ballons de (500 litres de mémoire) sur le circuits de chauffage, ces ballons étaient équipés chacun d'un petit compresseur (d'air) automatisé pour maintenir la pression optimum de la vessie.

3.       Remplacement vanne station de remplissage.

Enfin ! Niveau de fuite mesurée en avril : 50 m3/an, consommation d’un ménage.
Revoir le point « 45 » de la liste en fin de CR qui date de septembre 2016.

4.       Réflexion sur l’ancien captage. (Petit retour sur ce sujet déjà traité pendant mon retard)

Petit historique :
Petit historique très utile, le maire doute toujours sur la pompe de 3 m3/h d’origine.
Photo + temps de remplissage d’une cuve de 1000.litres pour mémoire.
Même approche que pour le paragraphe 3, enfin examiner sérieusement ce captage du point de vue gaspillage d’eau, pollutions organiques et pesticides, devenu dangereux en l’absence de clapet antiretour depuis la mise en place du principe pompe immergée.
Au départ une pompe de 3 m3/h (20 mn pour remplir une cuve de 1000 litres) qui a gelé dans le local fermé, muni d’un radiateur hors gel, mais en position « Arrêt » !
Un petit rappel au sujet de l'ancienne pompe, qui donnait
satisfaction à une majorité d'utilisateurs, ne nuit pas.
1ère réparation, AE installe une pompe immergée 6 m3/h (Ma cuve remplie en 10 mn). Pompe au bout un tuyau flexible souple. Ce tuyau s’est naturellement sectionné à force de réagir aux à-coups de démarrage de la pompe
2ème réparation, AE installe une pompe de 12 m3/h. (Ma cuve remplie en 5 mn)
C’est un gain de temps, certes, mais en 20 mn c’était plus dissuasif pour les grands volumes prélevés, ressource ancien captage moins sollicitée.
A titre indicatif, à la maison, il me faut 40 mn pour remplir ma cuve de 1000 litres, c’est encore acceptable.
« Faut un grand débit » ?. Je ne connais pas cette unité de mesure utilisée par les « Mr + » ?.
Ce que j’ai constaté, l’ancienne version à 3 m3/h convenait pour laver les machines à vendanger, pour certains cas il faut compter une demie heure.
Donc 1,5 m3 d’eau utilisée avec la pompe d’origine.
Et 6 m3 avec la pompe actuelle. Le temps de lavage est resté le même, pour certains moins de 10 mn, pour d’autres une demie heure.
C’est 6 m3 d’eau gaspillés (moins 1,5 m3) par jour par chaque « Mr + ».
D’autres trouvent qu’il y a trop de débit, tuyau difficile à tenir lors du remplissage de sulfateuses.
Relire éventuellement :

Réflexion :
En cette période de sécheresse, cet ancien captage a été très utile avec des abus, des personnes qui ne contribuent pas au budget eau & assainissement (par une facture d’eau) viennent se servir.
(Il en est de même pour la station de remplissage, des non-résidents sont autorisés à l’utiliser sans contrepartie, les revenus des taxes foncières sur le « non bâti » ne vont pas dans le budget eau & assainissement, les élus sont trop généreux avec l’argent d’autrui -la régie d’eau-.)
Autoriser ou s’autoriser à laver les sulfateuses et « dés herbeuses » sur l’aire de l’ancien captage n’est pas faire preuve de responsabilité par rapport à la ressource en eau et la nature environnante.
Rappel : Ce captage n’est pas réglementaire au regard de l’Agence de l’eau, s’il y a des amendes à ce sujet, ce sont les usagers de la régie qui régleront les amendes, pas le maire seul.
Groupe Protection Nature devrait pouvoir soutenir les réflexions qui sont en accord son objectif.
Si le lavage des machine à vendanger est autorisé, le « bon sens » voudrait que cette aire de lavage soit un minimum aménagée, pente partant du puits (point haut) en direction du fossé en face, plus éloigné possible de l’Alzon. Au minimum goudronné pour résister au jet d’eau 12 m3/h actuels.
Enfin :
- Revenir à une pompe de 3 m3/h afin de faire durer cette ressource en eau en cas de sécheresse.
- Réparer la conduite de refoulement (fuite probablement sur un coude de traversée de boisseau dans le puits).
- Ne pas oublier de placer un clapet antiretour simple à purger pour le mettre hors gel.

Ce qui a été retenu :
1)      Aménagement des abords du captage, pente pour évacuer les eaux polluées vers le fossé via un trou de décantation afin de retarder l’arrivée des eaux polluées dans l’Alzon. Rappel pour la énième fois, avec un débit de 12 m3/h durant une demie heure, le trou de décantation devra être conséquent.
2) Eventuellement un programmateur (horloge électrique + contact) de périodes de fonctionnement de la pompe. (matin et soir)
3)      Concernant le clapet antiretour, la présence de AE aurait été bénéfique pour aboutir à une solution simple, facile d’accès. Il m’a semblé que les membres de la commission s’en font tout un monde alors que ce clapet ne sera pas plus vulnérable que l’interrupteur « marche/arrêt » pompe, de ce fait beaucoup d’arguments pour compliquer une prise de décision franche.
4)      Réparation de la fuite sur le tuyau de refoulement de la pompe.
5)  Pour la pompe surdimensionnée 12 m3/h, difficile d’admettre qu’elle est source de gaspillage, argument imparable du maire : « On ne va pas changer une pompe neuve qui fonctionne ! ». Moyen d’évacuer l’origine de l’erreur de choix.

Rappeler sans cesse est nécessaire.
Photo ci-contre ajoutée le 21 septembre afin d’illustrer mieux ce qui se passe avec seulement 1 m3 prélevé en 5 mn (pompe 12 m3/h). Sur un sol plus ou moins saturé en eau, c’était le cas en avril, le m3 s’étale quasi sur le pourtour du pavillon. 
Après une demie heure, (donc 6 m3) soit une machine à vendanger « hyper » nettoyée, à chacun  d’imaginer. Même avec une pente bien réalisée, s’il n’y a pas à minima un bon goudronnage, par infiltration les eaux polluées retourneront dans le puits.

Les agriculteurs nettoient l’aire de lavage au tractopelle après les vendanges, soit, s’ajoute l’érosion à cause du débit d’eau, si le sol n’est pas suffisamment résistant, nécessairement le sol sera de nouveau creusé autour du puits. A la saison de vendange suivante, nous nous retrouverons dans une configuration proche de l’actuelle.

Rappel : Avec le débit 3 m3/h d’origine, il fallait 20 mn pour arriver même résultat que sur la photo de la page précédente, si ce n’est pas du gaspillage d’eau quel est le mot qui conviendrait ?

L’absence de clapet antiretour est abordée, et réglementairement en présence de pesticide, c’est un disconnecteur qui est nécessaire, comme à la station de remplissage, pas le même prix et beaucoup plus encombrant.
Ma demande est donc bien à minima.

Pour appuyer encore plus :  Ou BP10-17 = voir article du 10/10/2017.
Ce qui est décrit ci-dessus (en couleur bleue) ne devrait pas avoir lieu d'exister entre personnes soucieuses de l'intérêt général, qui vont également dans le sens de "Protection de la Nature", les formules à l'emporte pièces des décideurs afin d'évacuer le sujet m'y obligent. Quand le politicien (en général, pas une personne en particulier) + un égo mal placé prennent le dessus, il devient impossible d'aborder un simple sujet technique "de bon sens" dans la sérénité. 
Toujours une "bonne" raison de ne rien faire !
Ce n'est pas la faute du décideur, c'est celle de .... (des autres) ?
C'est bien le décideur qui a passé les commandes sans consulter la commission Eau & Assainissement ?
Et aussi celle de l'intervenant en profitant du manque de connaissances du décideur. L'intervenant a devoir de conseil, mais le montant des factures améliore le chiffre d'affaire de l'intervenant.

Avec prise de recul, s'il en est ainsi c'est parce que le pot de confiture et la cuillère sont tenues par BP10-17, avec autoritarisme en cas de remarques, ce qui n’incite pas à défendre une position de "bon sens".
En rapport avec : "On ne va pas changer une pompe neuve qui fonctionne !" cité plus haut.
Parfois une idée intéressante est émise, (par exemple par GP10-17 concernant l'embellissement du village). BP10-17 s'en saisie en mesurant l'intérêt "politicien" immédiat. (C'est mon point de vue.)
Une certaine synergie (BP10-17/GP10-17) apparente en résulte, on ne va pas trop se contredire sur d'autres sujets tant que cette synergie d'apparence produit (ou devrait ! ?) son effet. 
L'avenir risque de montrer que la restauration de la Place de l'Horloge telle que réalisée est une erreur, pourtant était une bonne idée au départ, mais détournée pour en mettre plein la vue aux administrés, d'où l'erreur, il faudra un peu de temps pour en convenir.

5.       Questions diverses

Toujours la liste ci-dessous non prise en considération, dont protection des ressources en eau captage et réservoir.
Re lien : https://vallabrixbm.blogspot.fr/2017/04/observations-au-jour-le-jour-suite-pour.html
Sont retenus :

Au réservoir :
1)      Bétonnage des carreaux en verre au-dessus du réservoir. La réparation effectuée n’assure plus l’étanchéité, après masticage peut servir de coffrage perdu pour couler un bloc béton conséquent par-dessus.
2)      Revoir la réparation de la fenêtre, la ventilation du local ne se fait plus suffisamment, risque de corrosion plus rapide des équipements.

Pour les réunions de la commission, la présence de l’employé municipal est indispensable, c’est le 1er à intervenir sur les installations, savoir le motivé fait partie du rôle des élus.
Idem pour la présence de Nicolas Bouvard, pour cette réunion, les conseils du sachant auraient été très utiles.

Il reste encore des points importants non traités. Encore principe ISO 9001, lorsque des points sont notés sur un CR, ils doivent être traités, sinon ce ne sont que des réunions pour enterrer des problèmes, ce n’est pas le but, l’intérêt général est le plus important, ce doit être l’objectif d’une commission de mon point de vue.
Par exemple, il a été demandé au Sivom de Collorgues de visiter nos installations, de nous faire part de conseils ou remarques, un CR de visite a été rédigé, validé par le Sivom de Collorgues, la régie d’eau de Vallabrix n’en tient pas compte ?
Ça ne fait pas très sérieux par rapport au Sivom de Collorgues, 2 techniciens ont passé un après-midi à Vallabrix gracieusement.

Par manque d’infos, peut-être la liste ci-dessous serait à mettre à jour ?
Liste jointe au CR des 50 points inchangée, identique à celle du CR de réunion du 30 mars 2017.

Le départ vers le réservoir en direction de la D5 était logique.
Découverte sur le coffret électrique d'un carnet (abandonné) de suivi du captage.
Le manque d'eau des années 80 à 93 enseigne la rigueur de gestion.
On hérite d'installations en bon état, tant que l'eau coule au robinet, on finit par oublier et ...
Mise à jour du 20 octobre 2017.
Suite au devis de réparation du ballon des surpresseurs (capacité 300 litres ?) pour un montant de 1135,20 €TTC et "enquête" auprès de l'intervenant et sur site, il s'agit en réalité d'un ballon de 300 litres, et non 200 litres comme indiqué dans ce compte rendu.
Et finalement, l'intervention ne sera pas le remplacement de la vessie défectueuse, mais le remplacement pur et simple du ballon.
Selon l'intervenant, le remplacement de la vessie serait plus onéreux. De mon point de vue, remplacer le ballon est moins risqué pour l'intervenant, de plus il ne s'engage pas du point de vue garantie, il conserve la garantie fournisseur. Pour la régie d'eau ? Chaque intervention est payée sans négociation.
Plus généralement :
"Y-a du boulot" avant d'être ISO 9001, être conforme au plan établi par le maître d'oeuvre n'est pas encore entré dans les habitude.
Il en va de même pour le schéma directeur eau potable où nombre d'écarts apparaissent entre le schéma et la réalité du terrain.

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