En l'absence du sachant (l'intervenant sur les installations Eau & Assainissement), j'avais envisagé de ne pas assister à cette réunion, c'était une erreur, les absents ayant toujours tord.
Modestement, je pense que ce n'était pas inutile aussi bien pour préciser mon point de vue que pour bien comprendre celui des autres membres de la commission.
En l'absence de sachant, subsistent des points où des pratiques à risques perdurent en l'absence d'informations de bonne source.
L'idéal serait d'utiliser les services techniques du département destinés aux communes comme la nôtre qui ne disposent pas de services techniques, notre commune cotise pour bénéficier de ces services, qui plus est : neutre commercialement.
Dommage de ne pas y penser d'office !
En début de mon article du 16 septembre 2017, j'écrivais que ces réunions, telles qu'organisées étaient des réunions d'informations et non des réunions d'aide aux prises de décisions après discussion. Ici un exemple concernant le point "
Réflexion sur l'ancien captage".
Cette ressource en eau s'est tarie suite à la sécheresse qui entraîne une forte sollicitation de cette ressource à laquelle s'ajoute la période traditionnelle de vendange où cette ressource est également utilisée pour laver les machines à vendanger.
L'électricien, intervenant sur l'éclairage public a été mandaté pour vérifier le bon fonctionnement du pompage.
Rien à signaler, en état de marche, confirmation de présence du capteur "manque d'eau" au fond du puits comme prévu afin de protéger la pompe. (Coupure de l'alimentation électrique pour ne pas fonctionner à vide = détérioration définitive de la pompe.)
A l'occasion l'interrupteur de mise en marche de la pompe a été changé, le précédent fonctionnait ?
Tout laisse penser que la "
Réflexion sur l'ancien captage" était bien avancée avant la réunion ?
 |
Au 20ème siècle, même avec un presse étoupe (étanchéité sur l'entrée d'un câble électrique dans un boîtier), la réglementation (de bon sens) imposait d'arrivée au-dessous du boîtier selon l'exemple de l'ancien interrupteur.
Au 21ème siècle la réglementation, voire le bon sens ne sont plus les mêmes ?
Grand merci à ceux qui me lisent ! |
CR de réunion définitif. Validé par défaut (Absence de remarques des membres de la commission sous huitaine, soit avant le 27 septembre 2017)
Les passages en écriture bleue sont des commentaires ajoutés après la réunion, je ne désespère pas faire passer un jour des remarques qui vont vers des économies des ressources en eau, pour cette raison, il me semble que certains rappels peuvent servir à la longue.
Compte rendu de
la réunion du 19 septembre
Ordre du
jour du 13/9/2017 :
·
Travaux au captage, tuyau à remplacer.
·
Remplacement vessie du ballon de 200 litres des
surpresseurs.(A
l’origine : Remplacement vessie surpresseur)
·
Remplacement vanne station de remplissage.
·
Réflexion sur le fonctionnement de l’ancien
captage.
·
Questions diverses.
Étaient présents : Bernard Rieu (Maire), André Béteille (Adjoint), Hervé Depasse
(30 mn au début), Guy Vignal, Jérémy
Bonnaud et Michel Voisin (retard 45 mn)
Était absente excusée
: Régine Greer
Non
conviés : Nicolas Bouvard (Alliance Environnement (AE)) et Nicolas
Mourbrun employé municipal.
1. Travaux au captage (Tuyau à
remplacer) – Sujet
en cours de discussion à mon arrivée.
Une photo vaut mieux qu’un
long discours : A été utile pour recentrer et clarifier les
discussions.
 |
Aide à la discussion en salle de réunion en l'absence de visite du site. |
Peu
de membres de la commission ont lu mon CR par anticipation. Le plus important
ne se fait pas en réunion, mais entre les réunions.
Le tuyau de
couleur bleu à refaire se situe en bas à droite de la photo.
En cause
l’oxydation importante au niveau de la soudure du manchon recevant un robinet
de purge de la conduite allant au réservoir, également utilisé pour recueillir
des échantillons d’eau pour analyse.
Pour
l’instant il n’y a pas péril dans la demeure, sauf s’il y a rupture totale de
la soudure.
Il en résultera une fuite permanente
incontrôlable, donc à subir durant le pompage, ensuite vidage de la conduite
allant au réservoir.
Pour
info : Volume d’eau contenue dans cette conduite = 28 m3. (Données de base source Cereg Ing. -Schéma
Directeur EP-, cette conduite est longue de 2336 m en fonte Ø 125 mm, au
passage, ici et au réservoir ce n’est pas de la fonte mais de l’acier non inox).
C’est une
réparation obligatoire si possible en période de basse consommation, le
réservoir de 180 m3 ne sera plus alimenté en eau pendant une grande partie des
travaux.
Combien de temps sans alimenter le
réservoir ? (Là je « n’imagine
pas », je ne suis pas du métier.)
Ce sera un
chantier relativement lourd, il faut retrouver la suite du tuyau bleu autour du
cabanon.
Ensuite le
chiffrage de AE sera possible.
On me parle
de possibilité de carottage dans le béton du cabanon, de rejoindre la conduite
allant au réservoir en creusant sous le cabanon.
Pourquoi
pas, mais un peu du travail en aveugle pour enfiler un gros tuyau avec des
coudes ?
Personnellement,
après avoir mis au jour le départ du cabanon de la conduite allant au
réservoir, je sens mieux de traverser le mur du cabanon à l’horizontal, en
ligne avec le dernier tronçon de tuyau inox. De travailler dans de
meilleures conditions à la fabrication du tuyau de remplacement.
Chlorage
non conforme :
Quand j’ai
vu le maire, il a abordé le sujet « Tuyau à remplacer », mais pas le
sujet chlorage non conforme.
Or c’est
l’occasion opportune de corriger, coût quasi nul, un bossage
seulement en plus à prévoir !
Si le maire ne le signale pas, EA ne
prendra pas l’initiative, c’est regrettable, par ailleurs, EA est le
sachant, il a un devoir de conseils envers les élus.
Ici, j’insiste pour la mise en
conformité du chlorage. A inclure dans le devis et la commande.
Après
discussion sont retenues :
1) Traversée
du mur à l’horizontal, le hors gel du tuyau extérieur n’est pas un problème, (du simple tas de terre, ou caisson rempli de
terre comme à l’ancien captage, etc.).
2) Mise
en conformité chlorage.
3) Mise
hors crues de la pompe chlorage à gauche du coffret électrique. (Voir photo
page 1)
Et, je rappelle que cette non-conformité
chlorage est du fait de Lauriol, de moins de 10 ans, prédécesseur de AE, un
geste commercial serait donc logique.
2. Remplacement vessie sur le ballon de 200
litres des surpresseurs.
 |
Idem légende précédente image, où se situe cette vessie défectueuse sur site. |
Ce ballon
sert à éviter les coups de bélier sur le réseau, à « réguler » les
arrêts /démarrage des surpresseurs. Lorsque la consommation d’eau est faible,
le ballon est rempli d’eau, les surpresseurs s’arrêtent ballon plein (pression
= + 0, 7 bar env.), lors d’une nouvelle augmentation de consommation d’eau, le
ballon se vide, la pression chute, à un seuil de pression prédéterminé les
surpresseurs se mettent en marche.
Cette
vessie sépare le ballon en 2 parties, une partie réserve d’eau, une partie
chambre à air comprimé re gonflable comme une roue de vélo.
Cette
vessie est très sollicitée, la demande en eau fluctue en permanence au cours
d’une journée, le ballon se vide, se remplit, agit sur la vessie en permanence.
Dans notre
cas la pression d’utilisation est de 0,7 bar avec une tolérance en plus ou en
moins, côté « chambre à eau » idem côté chambre à eau.
Un
manomètre permet de vérifier les valeurs de pression coté air ou côté eau par
un jeu de vannes pour la sélection du côté. Info importante à connaitre pour le suivi de l’installation
surpresseurs.
Pour diverses
raisons, selon AE, cette vessie peut se percer (après 1 an ou 20 ans
d’utilisation) et ne plus remplir sa fonction.
Parmi ces raisons, une maintenance peu
suivie peut être la cause d’endommagement de la vessie, AE a prévu une
formation de maintenance afin de s’affranchir du risque de défaut de
maintenance.
A noter : l’employé municipal a été en
arrêt maladie de longue durée, habituellement visite hebdomadaire des
installations et relevé des compteurs captage réservoir avec saisie des relevés
sur un tableur. 49 jours se sont écoulés entre 2 saisies ?. J’avais pris
soin de demander à l’adjoint chargé de l’eau qui assurait les visites et
relevés en l’absence de l’employé, il m’a répondu que le service était assuré.
Dans le cas où une personne ne peut pas
assurer le service « intérim », il serait naturel d’informer la
commission afin de trouver une autre personne qui tient ses engagements.
Je souhaite
être informé du jour de cette formation et de suivre cette formation, ce n’est
pas à AE de m’y convier, c’est à un élu de m’y convier.
Pour
regonfler cette chambre à air, il faut un « tout petit » compresseur
sur place pour rendre l’opération de maintenance moins désagréable et
immédiate. Un mini compresseur de bricolage devrait suffire.
Je suggère un
geste commercial, que AE reprenne la pompe de cave devenue inutile après avoir
recréer l’existant (trous d’évacuation d’eau au point bas du local) et remplace
cette pompe par un mini compresseur.
Ce n’est pas la tasse de thé, ni la volonté
du maire de marchander, pourtant c’est un des moyens pour économiser les
deniers de la régie d’eau d’autant plus s’il y a eu intervention inutile.
D’après
Jérémy, une pompe à vélo suffit, en l’absence de AE en réunion, j’attends la
formation prévue pour confirmer. (Très
faible pression 0,7 b, certes, mais grand volume si j’ai bien compris ?)
Hors CR : Infos ultérieures à cette réunion prises auprès d'un frigoriste / chauffagiste : "En partant de la pression atmosphérique, augmenter la pression que de 0,7 bar avec une pompe à vélo nécessite beaucoup d'huile de coude pour un ballon de 200 litres, pour un appoint peut-être une pompe à vélo quand on ne dispose pas de compresseur ?"
Ces explications mon remémorées des souvenirs d'une sous station de chauffage de mon immeuble que j'ai suivi années 80 à 2005, il y avait 2 ballons de (500 litres de mémoire) sur le circuits de chauffage, ces ballons étaient équipés chacun d'un petit compresseur (d'air) automatisé pour maintenir la pression optimum de la vessie.
3. Remplacement
vanne station de remplissage.
Enfin !
Niveau de fuite mesurée en avril : 50 m3/an, consommation d’un ménage.
Revoir le
point « 45 » de la liste en fin de CR qui date de septembre 2016.
4. Réflexion
sur l’ancien captage. (Petit
retour sur ce sujet déjà traité pendant mon retard)
Petit historique :
Petit historique très utile, le maire doute toujours sur la
pompe de 3 m3/h d’origine.
Photo + temps de remplissage d’une cuve de 1000.litres pour mémoire.
Même approche que pour le
paragraphe 3, enfin examiner sérieusement ce captage du point de vue
gaspillage d’eau, pollutions organiques et pesticides, devenu dangereux en
l’absence de clapet antiretour depuis la mise en place du principe pompe
immergée.
Au départ
une pompe de
3 m3/h (
20 mn pour remplir une cuve de 1000 litres)
qui a gelé dans le local fermé,
muni d’un radiateur hors gel, mais en
position « Arrêt » !
 |
Un petit rappel au sujet de l'ancienne pompe, qui donnait satisfaction à une majorité d'utilisateurs, ne nuit pas. |
1ère réparation, AE installe une pompe immergée 6 m3/h (Ma cuve
remplie en 10 mn). Pompe au bout un tuyau flexible souple. Ce tuyau s’est
naturellement sectionné à force de réagir aux à-coups de démarrage de la pompe
2ème
réparation, AE installe une pompe de 12 m3/h. (Ma cuve remplie en 5 mn)
C’est un
gain de temps, certes, mais en 20 mn c’était plus dissuasif pour les grands
volumes prélevés, ressource ancien captage moins sollicitée.
A titre indicatif, à la maison, il me faut
40 mn pour remplir ma cuve de 1000 litres, c’est encore acceptable.
« Faut un
grand débit » ?. Je
ne connais pas cette unité de mesure utilisée par les « Mr
+ » ?.
Ce que j’ai
constaté, l’ancienne version à 3 m3/h convenait pour laver les machines à
vendanger, pour certains cas il faut compter une demie heure.
Donc 1,5 m3 d’eau utilisée avec la pompe
d’origine.
Et 6 m3 avec la pompe actuelle. Le temps de lavage est
resté le même, pour certains moins de 10 mn, pour d’autres une demie heure.
C’est 6 m3 d’eau gaspillés (moins 1,5 m3) par jour par chaque « Mr + ».
D’autres trouvent qu’il y a
trop de débit, tuyau difficile à tenir lors du remplissage de sulfateuses.
Relire éventuellement :
Réflexion :
En cette période de
sécheresse, cet ancien captage a été très utile avec des abus, des personnes
qui ne contribuent pas au budget eau & assainissement (par une facture d’eau) viennent se servir.
(Il en est de même pour la station de remplissage, des non-résidents
sont autorisés à l’utiliser sans contrepartie, les revenus des taxes foncières
sur le « non bâti » ne vont pas dans le budget eau &
assainissement, les élus sont trop généreux avec l’argent d’autrui -la régie
d’eau-.)
Autoriser ou s’autoriser à laver les
sulfateuses et « dés herbeuses » sur l’aire de l’ancien captage n’est
pas faire preuve de responsabilité par rapport à la ressource en eau et
la nature environnante.
Rappel : Ce captage
n’est pas réglementaire au regard de l’Agence de l’eau, s’il y a des amendes à
ce sujet, ce sont les usagers de la régie qui régleront les amendes, pas le
maire seul.
Groupe Protection Nature devrait pouvoir soutenir les réflexions qui sont
en accord son objectif.
Si le lavage des machine à
vendanger est autorisé, le « bon sens » voudrait que cette aire
de lavage soit un minimum aménagée, pente partant du puits (point haut) en
direction du fossé en face, plus éloigné possible de l’Alzon. Au minimum goudronné pour résister au
jet d’eau 12 m3/h actuels.
Enfin :
- Revenir à une pompe de 3 m3/h afin de faire durer
cette ressource en eau en cas de sécheresse.
- Réparer la conduite de refoulement (fuite
probablement sur un coude de traversée de boisseau dans le puits).
- Ne pas oublier de placer un clapet antiretour simple
à purger pour le mettre hors gel.
Ce qui a été retenu :
1)
Aménagement des abords du captage, pente pour
évacuer les eaux polluées vers le fossé via un trou de décantation afin de retarder
l’arrivée des eaux polluées dans l’Alzon. Rappel pour la énième fois, avec un débit de 12 m3/h
durant une demie heure, le trou de décantation devra être conséquent.
2) Eventuellement
un programmateur (horloge électrique + contact) de périodes de fonctionnement
de la pompe. (matin et soir)
3) Concernant
le clapet antiretour, la présence de AE aurait été bénéfique pour aboutir à une
solution simple, facile d’accès. Il m’a semblé que les membres de la commission
s’en font tout un monde alors que ce clapet ne sera pas plus vulnérable que
l’interrupteur « marche/arrêt » pompe, de ce fait beaucoup d’arguments
pour compliquer une prise de décision franche.
4) Réparation
de la fuite sur le tuyau de refoulement de la pompe.
5) Pour
la pompe surdimensionnée 12 m3/h, difficile d’admettre qu’elle est source de
gaspillage, argument imparable du maire : « On ne va pas changer
une pompe neuve qui fonctionne ! ». Moyen d’évacuer l’origine de
l’erreur de choix.
 |
Rappeler sans cesse est nécessaire. |
Photo ci-contre ajoutée le 21 septembre afin d’illustrer mieux ce qui se
passe avec seulement 1 m3 prélevé en 5 mn (pompe 12 m3/h). Sur un sol plus ou moins saturé
en eau, c’était le cas en avril, le m3 s’étale quasi sur le pourtour du
pavillon.
Après une demie heure, (donc 6 m3) soit une machine à vendanger
« hyper » nettoyée, à chacun
d’imaginer. Même avec une pente bien réalisée, s’il n’y a pas à minima
un bon goudronnage, par infiltration les eaux polluées retourneront dans le
puits.
Les agriculteurs nettoient l’aire de lavage au
tractopelle après les vendanges, soit, s’ajoute l’érosion à cause du débit
d’eau, si le sol n’est pas suffisamment résistant, nécessairement le sol sera
de nouveau creusé autour du puits. A la saison de vendange suivante, nous nous
retrouverons dans une configuration proche de l’actuelle.
Rappel : Avec le débit 3 m3/h d’origine, il fallait 20 mn pour arriver même
résultat que sur la photo de la page précédente, si ce n’est pas du gaspillage
d’eau quel est le mot qui conviendrait ?
L’absence de clapet antiretour est
abordée, et réglementairement en présence de pesticide, c’est un disconnecteur qui est nécessaire, comme à la station de remplissage, pas le même prix et beaucoup
plus encombrant.
Ma demande est donc bien à minima.
Pour appuyer encore plus : Ou BP10-17 = voir article du 10/10/2017.
Ce qui est décrit ci-dessus (en couleur bleue) ne devrait pas avoir lieu d'exister entre personnes soucieuses de l'intérêt général, qui vont également dans le sens de "Protection de la Nature", les formules à l'emporte pièces des décideurs afin d'évacuer le sujet m'y obligent. Quand le politicien (en général, pas une personne en particulier) + un égo mal placé prennent le dessus, il devient impossible d'aborder un simple sujet technique "de bon sens" dans la sérénité.
Toujours une "bonne" raison de ne rien faire !
Ce n'est pas la faute du décideur, c'est celle de .... (des autres) ?
C'est bien le décideur qui a passé les commandes sans consulter la commission Eau & Assainissement ?
Et aussi celle de l'intervenant en profitant du manque de connaissances du décideur. L'intervenant a devoir de conseil, mais le montant des factures améliore le chiffre d'affaire de l'intervenant.
Avec prise de recul, s'il en est ainsi c'est parce que le pot de confiture et la cuillère sont tenues par BP10-17, avec autoritarisme en cas de remarques, ce qui n’incite pas à défendre une position de "bon sens".
En rapport avec : "On ne va pas changer une pompe neuve qui fonctionne !" cité plus haut.
Parfois une idée intéressante est émise, (par exemple par GP10-17 concernant l'embellissement du village). BP10-17 s'en saisie en mesurant l'intérêt "politicien" immédiat. (C'est mon point de vue.)
Une certaine synergie (BP10-17/GP10-17) apparente en résulte, on ne va pas trop se contredire sur d'autres sujets tant que cette synergie d'apparence produit (ou devrait ! ?) son effet.
L'avenir risque de montrer que la restauration de la Place de l'Horloge telle que réalisée est une erreur, pourtant était une bonne idée au départ, mais détournée pour en mettre plein la vue aux administrés, d'où l'erreur, il faudra un peu de temps pour en convenir.
Sont retenus :
Au réservoir :
1) Bétonnage
des carreaux en verre au-dessus du réservoir. La réparation effectuée n’assure
plus l’étanchéité, après masticage peut servir de coffrage perdu pour couler un
bloc béton conséquent par-dessus.
2) Revoir
la réparation de la fenêtre, la ventilation du local ne se fait plus
suffisamment, risque de corrosion plus rapide des équipements.
Pour les réunions de la
commission, la présence de l’employé municipal est indispensable, c’est le 1er
à intervenir sur les installations, savoir le motivé fait partie du rôle des
élus.
Idem pour la présence de
Nicolas Bouvard, pour cette réunion, les conseils du sachant auraient été très
utiles.
Il
reste encore des points importants non traités. Encore principe ISO 9001,
lorsque des points sont notés sur un CR, ils doivent être traités, sinon ce ne
sont que des réunions pour enterrer des problèmes, ce n’est pas le but,
l’intérêt général est le plus important, ce doit être l’objectif d’une
commission de mon point de vue.
Par
exemple, il a été demandé au Sivom de Collorgues de visiter nos installations,
de nous faire part de conseils ou remarques, un CR de visite a été rédigé,
validé par le Sivom de Collorgues, la régie d’eau de Vallabrix n’en tient pas
compte ?
Ça
ne fait pas très sérieux par rapport au Sivom de Collorgues, 2 techniciens ont
passé un après-midi à Vallabrix gracieusement.
Par manque d’infos, peut-être la liste
ci-dessous serait à mettre à jour ?
Liste jointe au CR des 50 points inchangée, identique à celle du CR de réunion du 30 mars 2017.