Cette
restauration de la Place de l’Horloge a déjà été abordée dans certains de mes
articles précédents, notamment absence de concertation des riverains, des élus
municipaux « mitoyens » de cette place apparemment ni consultés, ni
informés, découvrent la restauration en cours, tout comme l’administré lambda.
Nous
constatons également que cette initiative a pour origine une majorité d’élus (2
sur 3 ?) et de quelques habitants, donc tous d’un autre quartier (sauf un élu peut-être), communément
appelé le « nouveau village ». Cette remarque m’avait permis de
placer l’expression, lourde au regard de l’histoire : « Faire le bonheur du peuple malgré lui ».
J’aurais pu placer la sortie, naïve ou hypocrite, d’un cycliste célèbre déclaré
dopé qui disait : « C’est à l’insu de mon plein gré », pour ceux
qui doivent subir.
Inutile
de plus se lamenter, la restauration de cette Place de l’Horloge fait
maintenant partie du passé. Rappel d’une autre citation permettant de botter en
touche autoritairement :
« Le
passé, c’est le passé, on oublie. ».
Autrement
dit, peu importe le pourquoi
du comment qui a conduit à une malfaçon, ainsi on se permet de reconduire des
erreurs similaires indéfiniment du moment
que les responsables, systématiquement, s’amnistient.
En
conséquence, il faut faire avec et espérer que des solutions seront trouvées
pour que tout se passe pour le mieux !.
Faire que notre quartier sera beau et
bien au final.

Dans
l’article au sujet de la météo, et sécheresse, la comparaison des photos du
massif Rue des Remparts à ceux de la Place de l’Horloge montre que Place de
l’Horloge, il doit y avoir d’autres éléments qui nuisent aux nouvelles
plantations.
Eléments possibles et
commentaires :
· Beaucoup plus
d’animaux de passage (domestiques à quatre pattes) viennent se soulager dans ce
secteur.
· Beaucoup plus
d’animaux de passage (à deux pattes) qui ne doivent pas avoir d’empathie particulière
pour les plantations et pour ceux qui assurent l’arrosage et l’entretien des
massifs en cette période difficile de sécheresse et chaleur.
· Sommes-toutes,
rien de bien nouveau, individualisme : il en va de même pour les dépôts
sauvages que ce soit aux pieds des colonnes de tri ou dans la nature.
· Coïncidence :
De bonne source, j’ai appris le 6 août que le sujet « Plantations Place de
l’Horloge » est à l’étude, des analyses ou constats similaires aux miens et
à quelque autres personnes, sont donc établis par les décideurs, voire parvenus
aux oreilles des décideurs, mais ça on ne
le saura pas !
· 1) Dans les années 80/90 à Vaulx en Velin, les
enfants qui vont à l’école, les personnes qui vont faire leur course tracent le
meilleur chemin au milieu des espaces verts, souvent le plus court, les
paysagistes prenaient les faits en compte et matérialisait le chemin créé.
· 2) Créer un
passage dallé sur le grand massif au droit de la croix, mettre des plantes plus
visibles, donc généralement plus respectées qui engagent plus de passer là où
c’est prévu.
· Espace réduit
entre les massifs Place de l’Horloge, peu propice à l’organisation d’évènements
avec beaucoup de public dont la mise
en place de tables et chaises à l’intérieur de l’enceinte créée par les
massifs, les animaux de compagnie seront toujours présents, le chahut toujours
possible qui immanquablement peut se terminer en piétinement involontaire des
massifs.
· Maintenant que
cette réalisation Place de l’Horloge existe, on voit bien que les voitures ne
sont pas les bienvenues proche de cet espace confiné, certaines plantes ne
supportent pas trop les gaz d’échappement.
· Bien qu’on ne
voit quasi pas d’handicapé à Vallabrix, Place de l’Horloge, un seul passage prévu
fréquemment réduit, voire obstrué par la présence d’une ou deux voitures.
· Je me suis permis
de rappeler : « Qui dans l’équipe de conception de ces massifs
(Remparts et Horloge) est certifié « ISO 9001 » ? (ISO 9001 est une
image pour dire qui avait le savoir-faire nécessaire.)
Ce sont des lieux publics modifiés, on n’est plus sur un pot de fleurs ajouté, il y a probablement des contraintes réglementaires, dont bordure de trottoir inutile et dangereuse, l’emplacement du massif en bas de la Rue des Remparts n’est peut-être pas idéal, d’où l’appellation « Rond-Point qui n’est pas rond » par certains. Je précise que je ne suis pas à l’origine de cette appellation.
Ce sont des lieux publics modifiés, on n’est plus sur un pot de fleurs ajouté, il y a probablement des contraintes réglementaires, dont bordure de trottoir inutile et dangereuse, l’emplacement du massif en bas de la Rue des Remparts n’est peut-être pas idéal, d’où l’appellation « Rond-Point qui n’est pas rond » par certains. Je précise que je ne suis pas à l’origine de cette appellation.
Remarque sur l’emplacement du massif
des Remparts :
Ce massif déconcerte lorsque l’on vient du Chemin de
Masmolène pour s’engager dans la Rue des Remparts. De quel côté du nouveau
massif faut-il passer ?
Encore une fois, ce n’est pas critiquer pour
critiquer, et certes, il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent
dit-on également. … Si toutes les remarques sont systématiquement balayées d'un revers de main, peu de chance de faire mieux la prochaine fois !

S’il n’y a pas de voiture en stationnement comme sur
la photo, il est possible de passer au plus court. En présence d’une voiture en
stationnement, il faut passer côté opposé du « Rond-point qui n’est pas
rond », il faut se déporter légèrement sur la gauche afin d’éviter l’angle
aigu du massif.
Admettons, ce petit désagrément ne va pas empêcher la
terre de tourner dans le bon sens, soit ! Néanmoins c’est bien dans ce
petit détail qu’il y a une nuance entre « Beau » et
« Bien », le « Bien » se découvre à l’usage, notamment par
les riverains.
Anticiper lorsqu’on n’a pas le savoir-faire suffisant
n’est pas toujours évident en salle de réunion entre personnes même de bonne
volonté.
Parfois
il n’y a pas le choix, d’où limitation de vitesse à 30 km/h.
Pour concrétiser des problèmes liés à de petits
détails, je fais un parallèle avec la sortie de la Rue Bel Air sur la D5 que
très, très peu de personnes utilisent, seuls des véhicules gabarit 2 CV, 4 L,
tracteurs type vigneron peuvent emprunter à cause d’un passage faible largeur
de la Rue Bel Air.
Ce type de détails passe inaperçu aux yeux de la
plupart des gens, seul le peu de personnes, essentiellement
des riverains, contraintes de passer en ces lieux particuliers peuvent
être amener à le constater.
A toutes
fins utiles, je radote ou rappelle : ce
qui suit n’est pas une critique pour critiquer, mais un simple constat.
Suite à la restauration de la D5 en 2015, la largeur
de cette D5 a été « lissée », donc moins large au droit de la sortie
Rue Bel Air en présence de deux malheureuses places de parking, pourtant bien
nécessaires. Ceci rend la sortie de cette rue sur la D5 plus stressante pour
celui qui en débouche et pour les automobilistes, peut-être un peu trop pressés, en direction de Bagnols.
![]() |
Stop de sécurité, principe de précaution : Respect 30 km/h & priorité à droite ? |
J’ai droit au klaxon de la part de ces automobilistes
un peu trop pressés. Rappel :
vitesse limitée à 30 km/h sur la D5. … Et probablement stressés en
étant surpris par l’avant d’un tracteur qui se présente à leur droite. D’autant
plus si les places de parking sont occupées, et qu’un autre véhicule arrive de
Bagnols. Dans la traversée du village, la largeur de la D5 n’est pas celle
d’une voie « express » !
Bien que je sois prioritaire selon le code de la
route, je marque toujours un stop
à la sortie de la Rue Bel Air avant de prendre la D5.
Voir photo pour le « stop » de sécurité ci-dessus à droite.
J’arrive franchement à la sortie de cette rue, Kubota
en seconde vitesse, moteur à mi régime, ça doit correspondre à une vitesse
impressionnante de 3 à 4 km/h. ! Pour un minimum de visibilité, l’avant du
tracteur dépasse de moins d’un demi-mètre sur la D5 au point d’arrêt.
Coups de
klaxon ? : Pour
s’imposer peut-être, sauf que l’automobiliste pressé oublie qu’il devrait
s’arrêter et laisser passer les véhicules qui se présentent à sa droite, ne
serait-ce qu’un vélo.
Là aussi, ce sont les conséquences d’un individualisme
devenu à la mode, leur cerveau a dû passer en dessous de la ceinture, c’est
celui qui a la plus « grosse » qui a raison, l’empathie ou se mettre
quelques instants à la place d’autrui, n’est plus de mise, sauf dans les
discours de « Com. », donc sans suite.
Tout ce passage pour montrer que l’agencement d’un
carrefour, ce n’est pas anodin, celui D5/Bel Air résulte de la configuration existante
liée à un village de « caractère », « Faut faire avec ».
Pour
revenir au massif des Remparts :
Un avis d’une personne qualifiée dans le domaine de la
circulation routière aurait peut-être indiqué un meilleur emplacement pour ce
massif, et autre forme (dont angles aigus
arrondis) qui auraient matérialisés clairement la voie de circulation,
voire également les zones destinées au stationnement.
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