vendredi 18 août 2017

Au jour le jour (16) Nouvelles plantations Place de l’Horloge

Cette restauration de la Place de l’Horloge a déjà été abordée dans certains de mes articles précédents, notamment absence de concertation des riverains, des élus municipaux « mitoyens » de cette place apparemment ni consultés, ni informés, découvrent la restauration en cours, tout comme l’administré lambda.
Nous constatons également que cette initiative a pour origine une majorité d’élus (2 sur 3 ?) et de quelques habitants, donc tous d’un autre quartier (sauf un élu peut-être), communément appelé le « nouveau village ». Cette remarque m’avait permis de placer l’expression, lourde au regard de l’histoire : « Faire le bonheur du peuple malgré lui ». J’aurais pu placer la sortie, naïve ou hypocrite, d’un cycliste célèbre déclaré dopé qui disait : « C’est à l’insu de mon plein gré », pour ceux qui doivent subir.

Inutile de plus se lamenter, la restauration de cette Place de l’Horloge fait maintenant partie du passé. Rappel d’une autre citation permettant de botter en touche autoritairement :
 « Le passé, c’est le passé, on oublie. ».
Autrement dit, peu importe le pourquoi du comment qui a conduit à une malfaçon, ainsi on se permet de reconduire des erreurs similaires indéfiniment du moment que les responsables, systématiquement, s’amnistient.

En conséquence, il faut faire avec et espérer que des solutions seront trouvées pour que tout se passe pour le mieux !.

Faire que notre quartier sera beau et bien au final.
Sans oublier l’énergie dépensée par des membres du Groupe Protection Nature qui font tout ce qui est possible pour tenter de sauver ces nouveaux massifs.

Dans l’article au sujet de la météo, et sécheresse, la comparaison des photos du massif Rue des Remparts à ceux de la Place de l’Horloge montre que Place de l’Horloge, il doit y avoir d’autres éléments qui nuisent aux nouvelles plantations.

Eléments possibles et commentaires :
·     Beaucoup plus d’animaux de passage (domestiques à quatre pattes) viennent se soulager dans ce secteur.
·   Beaucoup plus d’animaux de passage (à deux pattes) qui ne doivent pas avoir d’empathie particulière pour les plantations et pour ceux qui assurent l’arrosage et l’entretien des massifs en cette période difficile de sécheresse et chaleur.
·   Sommes-toutes, rien de bien nouveau, individualisme : il en va de même pour les dépôts sauvages que ce soit aux pieds des colonnes de tri ou dans la nature.
·   Coïncidence : De bonne source, j’ai appris le 6 août que le sujet « Plantations Place de l’Horloge » est à l’étude, des analyses ou constats similaires aux miens et à quelque autres personnes, sont donc établis par les décideurs, voire parvenus aux oreilles des décideurs, mais ça on ne le saura pas !
·    1) Dans les années 80/90 à Vaulx en Velin, les enfants qui vont à l’école, les personnes qui vont faire leur course tracent le meilleur chemin au milieu des espaces verts, souvent le plus court, les paysagistes prenaient les faits en compte et matérialisait le chemin créé.
·  2) Créer un passage dallé sur le grand massif au droit de la croix, mettre des plantes plus visibles, donc généralement plus respectées qui engagent plus de passer là où c’est prévu.     
·        Espace réduit entre les massifs Place de l’Horloge, peu propice à l’organisation d’évènements avec beaucoup de public dont la mise en place de tables et chaises à l’intérieur de l’enceinte créée par les massifs, les animaux de compagnie seront toujours présents, le chahut toujours possible qui immanquablement peut se terminer en piétinement involontaire des massifs.
·      Maintenant que cette réalisation Place de l’Horloge existe, on voit bien que les voitures ne sont pas les bienvenues proche de cet espace confiné, certaines plantes ne supportent pas trop les gaz d’échappement.
·    Bien qu’on ne voit quasi pas d’handicapé à Vallabrix, Place de l’Horloge, un seul passage prévu fréquemment réduit, voire obstrué par la présence d’une ou deux voitures.
·        Je me suis permis de rappeler : « Qui dans l’équipe de conception de ces massifs (Remparts et Horloge) est certifié « ISO 9001 » ? (ISO 9001 est une image pour dire qui avait le savoir-faire nécessaire.)
Ce sont des lieux publics modifiés, on n’est plus sur un pot de fleurs ajouté, il y a probablement des contraintes réglementaires, dont bordure de trottoir inutile et dangereuse, l’emplacement du massif en bas de la Rue des Remparts n’est peut-être pas idéal, d’où l’appellation « Rond-Point qui n’est pas rond » par certains. Je précise que je ne suis pas à l’origine de cette appellation

Remarque sur l’emplacement du massif des Remparts :
Ce massif déconcerte lorsque l’on vient du Chemin de Masmolène pour s’engager dans la Rue des Remparts. De quel côté du nouveau massif faut-il passer ?
Encore une fois, ce n’est pas critiquer pour critiquer, et certes, il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent dit-on également. … Si toutes les remarques sont systématiquement balayées d'un revers de main, peu de chance de faire mieux la prochaine fois !
Mais pour ceux qui pratiquent régulièrement ce carrefour, après la construction de ce nouveau massif, dès le premier passage en venant de Masmolène ou de la Rue de la Calade pour rejoindre la Rue des Remparts, la question où dois-je passer se pose. La solution n’est pas trop difficile, on s’adapte d’autant plus que la circulation n’est pas dense à cet endroit.
S’il n’y a pas de voiture en stationnement comme sur la photo, il est possible de passer au plus court. En présence d’une voiture en stationnement, il faut passer côté opposé du « Rond-point qui n’est pas rond », il faut se déporter légèrement sur la gauche afin d’éviter l’angle aigu du massif.
Admettons, ce petit désagrément ne va pas empêcher la terre de tourner dans le bon sens, soit ! Néanmoins c’est bien dans ce petit détail qu’il y a une nuance entre « Beau » et « Bien », le « Bien » se découvre à l’usage, notamment par les riverains.
Anticiper lorsqu’on n’a pas le savoir-faire suffisant n’est pas toujours évident en salle de réunion entre personnes même de bonne volonté.

Parfois il n’y a pas le choix, d’où limitation de vitesse à 30 km/h.
Pour concrétiser des problèmes liés à de petits détails, je fais un parallèle avec la sortie de la Rue Bel Air sur la D5 que très, très peu de personnes utilisent, seuls des véhicules gabarit 2 CV, 4 L, tracteurs type vigneron peuvent emprunter à cause d’un passage faible largeur de la Rue Bel Air.
Ce type de détails passe inaperçu aux yeux de la plupart des gens, seul le peu de personnes, essentiellement des riverains, contraintes de passer en ces lieux particuliers peuvent être amener à le constater.
A toutes fins utiles, je radote ou rappelle : ce qui suit n’est pas une critique pour critiquer, mais un simple constat.
Suite à la restauration de la D5 en 2015, la largeur de cette D5 a été « lissée », donc moins large au droit de la sortie Rue Bel Air en présence de deux malheureuses places de parking, pourtant bien nécessaires. Ceci rend la sortie de cette rue sur la D5 plus stressante pour celui qui en débouche et pour les automobilistes, peut-être un peu trop pressés, en direction de Bagnols.
Stop de sécurité, principe de précaution : Respect 30 km/h & priorité à droite ?
J’ai droit au klaxon de la part de ces automobilistes un peu trop pressés. Rappel : vitesse limitée à 30 km/h sur la D5. … Et probablement stressés en étant surpris par l’avant d’un tracteur qui se présente à leur droite. D’autant plus si les places de parking sont occupées, et qu’un autre véhicule arrive de Bagnols. Dans la traversée du village, la largeur de la D5 n’est pas celle d’une voie « express » !
Bien que je sois prioritaire selon le code de la route, je marque toujours un stop à la sortie de la Rue Bel Air avant de prendre la D5.
Voir photo pour le « stop » de sécurité ci-dessus à droite.
J’arrive franchement à la sortie de cette rue, Kubota en seconde vitesse, moteur à mi régime, ça doit correspondre à une vitesse impressionnante de 3 à 4 km/h. ! Pour un minimum de visibilité, l’avant du tracteur dépasse de moins d’un demi-mètre sur la D5 au point d’arrêt.

Coups de klaxon ? : Pour s’imposer peut-être, sauf que l’automobiliste pressé oublie qu’il devrait s’arrêter et laisser passer les véhicules qui se présentent à sa droite, ne serait-ce qu’un vélo.
Là aussi, ce sont les conséquences d’un individualisme devenu à la mode, leur cerveau a dû passer en dessous de la ceinture, c’est celui qui a la plus « grosse » qui a raison, l’empathie ou se mettre quelques instants à la place d’autrui, n’est plus de mise, sauf dans les discours de « Com. », donc sans suite.

Tout ce passage pour montrer que l’agencement d’un carrefour, ce n’est pas anodin, celui D5/Bel Air résulte de la configuration existante liée à un village de « caractère », « Faut faire avec ».

Pour revenir au massif des Remparts :

Un avis d’une personne qualifiée dans le domaine de la circulation routière aurait peut-être indiqué un meilleur emplacement pour ce massif, et autre forme (dont angles aigus arrondis) qui auraient matérialisés clairement la voie de circulation, voire également les zones destinées au stationnement.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire